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Citations de Catherine Cuenca (148)


Le soleil amorçait son déclin lorsque les cavaliers quittèrent la voie romaine pour s'engager sur un chemin grossièrement empierré qui serpentait entre les labours.

(p. 67)
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La paix revenue, les femmes qui avaient vaillamment remplacé les hommes à tous les niveaux de la société et dans tous les métiers étaient priées de rentrer chez elles. Sans aucune reconnaissance ni contrepartie pour les efforts consentis pendant quatre ans.
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est-ce vraiment dans cette direction que je devrai envoyer mes balles, pour abattre tant d'hommes innocents? " Oui, il le faudra ", pense Etienne.Pourquoi?Parce que sinon, c'est moi qui mourrai. Pourquoi ne pas mourir? Parce que l'espoir idiot me tient que la guerre finira un jour et que je pourrai encore profiter de la vie.
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Chère Marie-Pierre,

Hier mon bataillon est monté à l'assaut. Quelle misère de voir les camarades tomber à la renverse dans le boyau, touchés avant même d'avoir eu le temps d'armer leur fusil! Il faut sauver sa peau, du moins le plus longtemps possible.

Votre poilu qui vous embrasse bien fort;

Etienne
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Mogiane le comparait à un vieux renard, de ceux qui connaissent toutes les ruses et quil est vain de chercher à duper
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" Il faut sauver sa peau, du moins le plus longtemps possible. Pourquoi ? Je ne sais pas. Nous ne sommes plus des hommes, nous ne sommes pas des bêtes. Nous somme beaucoup plus bas. "
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Les héros, je l'ai enfin compris,ne sont pas ceux qui tombent proprement, touchés d'une balle en plein cœur, comme je le pensais autrefois,mais ceux qui affrontent la mort tous les jours et qu'ils l'acceptent.Ce sont les seuls, les vrais héros.
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C'est l'histoire d'Eugène et Matthias deux amis d'enfance, malgré son jeune âge, Eugène veut faire la guerre avec son ami, ils se font des faux papiers, des fausse autorisations parentales et vont faire la guerre sans prévenir personnes, mais simplement en laissant une lettre.
Ce que j'ai aimer dans ce livre c'est l'énorme envie de ces jeunes garçons d'aller faire la guerre, sa montre a quelle point ils sont courageux, qu'ils veulent absolument gagner cette guerre.
Ce qui était triste c'est quand Eugène et son cheval Grison se sont séparé car l'armée réquisitionnait tout les chevaux, et aussi quand Matthias meurt par des gazs dans la forêt d'Argonne.
Ce qui était bien c'est que Eugène et Lucie la sœur de Matthias ce son mariée.
On voit bien que Eugène et Matthias était des amis fidèles.
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C'est alors qu'elle comprit. Elle ne retournerait jamais au XVIIIè siècle. Elle ne reverrait jamais Léandre.
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"Cher Étienne,
je vous envoie quelques provisions, en espérant,qu'elles vous parviendront intactes. Comme j'aimerais que Noël soit un trêve qui vous redonne force & espoir ! Je prie chaque jour pour vous. Quoi qu'il advienne, écrivez moi. Je vous embrasse affectueusement.
Marie-Pierre
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Pire que d'avoir été violée, c'est de parler de leur viol qu'on reproche aux victimes.
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Paris, 2 août 1818
Les bras chargés d’un plateau-repas, Mélia sort de la conciergerie et se dirige vers l’escalier. Le hall de la maison est noyé dans l’obscurité. L’œil-de-bœuf, au-dessus de la porte d’entrée, ressemble à une lune jaunâtre, suspendue dans le néant. Précipitée par de noirs nuages d’orage,
la nuit est tombée très tôt ce dimanche. Les ténèbres recouvrent le Faubourg du Roule alors qu’il est à peine dix- neuf heures.
Éclairée par la lumière d’une chandelle posée sur le plateau-repas, entre une tourte à la viande et un bol de pêches, Mélia s’engage prudemment dans l’escalier. Il
y a vingt-deux marches jusqu’au premier étage. Vingt-deux marches en pierre, incurvées, polies et rendues
glissantes par des décennies d’allées et venues. Il su t d’une maladresse pour dégringoler...
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Etienne est le personnage principale de l'histoire. Cette histoire parle de la guerre dont Etienne, Gaspard et d'autres compagnons font parties. Ils partent pour aller combattre les lignes ennemies, les allemands. Des coéquipiers d'Etienne se firent tué par des pluies d'obus.
Pour garder le moral, Etienne entretient une correspondance avec Marie-Pierre, sa marraine de guerre.
Elle lui avait envoyer des lettre avec de la nourriture, ce qui le rassurai Etienne. Il eut une permission pour sortir de son campement, il décida d'aller voir sa famille et il en profita pour rendre visite a sa marraine. De retour au front, Etienne se fut ensevelir par de la terre qui a été projeté par une explosion d'un obus. Deux jours plus tard, ils retrouve Etienne vivant et l'emmène a l'hôpital. pour Etienne la guerre est fini, il peut donc aller retrouver sa famille. Puis l'armistice se fit signer.
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- On doit trouver les moyens d'agir ! décrète l'ancienne receveuse d'un ton chargé de révolte. Ces quatre dernières années, nous avons démontré que nous valions autant que les hommes et on ne nous a accordé aucune reconnaissance, d'aucune sorte ! On ne peut pas se soumettre à une telle injustice ! Tu acceptes de vivre comme avant, toi ?

- Non, concède Agnès. Mais que pouvons-nous faire ?

- Il paraît que les députés débattent d'une proposition de loi pour nous accorder le droit de vote, chuchote Renée. Ils essaieront sûrement d'enterrer le projet en prétendant que les femmes, par nature, n'aspirent à rien d'autre que de s'occuper de leur famille et de leur maison. Le club organise une réunion la semaine prochaine pour discuter de la manière de les pousser à prendre la bonne décision. Il paraît que Madeleine Pelletier viendra tout exprès de Paris pour y assister, tu te rends compte ?
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- Cette guerre a tout foutu en l'air, assène Célestin. A cause d'elle, je me retrouve estropié et toi tu passes tes journées aux manettes d'un tramway. Tu parles d'une chance !

Agnès est ébranlée. Voilà longtemps qu'il avait cessé d'évoquer son travail. Elle pensait qu'il avait accepté son choix de ne plus travailler à l'usine. Comment peut-il comparer le métier de wattwoman à une infirmité ?
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"- Ôte tes médailles, au moins !
- Tu me reproches de m'être bien battue ? D'avoir voulu m'engager pour venger notre famille ?
- Jamais de la vie ! Mais tu sais comment sont les gens ici : pour eux, une femme normale ne va pas faire la guerre. Si l'une d'elles revient en affirmant avoir tué cinquante-trois ennemis, il y a vraiment quelque chose qui cloche ! C'est injuste mais c'est ainsi.
- Nous avons été près d'un million à être mobilisées. Dans l'armée, nous nous sommes battues aux côtés de nos frères d'armes, avec autant de courage et de sacrifice qu'eux. Je n'ai pas honte de ce que j'ai fait. Jamais je ne le renierai.
- Il ne s'agit pas de renier ton passé, mais de t'adapter pour survivre. Comme tu le faisais sur le front !
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- Vous n'êtes qu'une poignée à vous agiter, comment peux-tu parler au nom de toutes les femmes ? soupire Célestin. Pourquoi tu ne peux pas te comporter comme les autres ? Comme une femme normale !

- C'est quoi, au juste, une femme normale ? Une boniche sans cervelle, une esclave que tu sonnes quand tu as besoin d'elle ?

- Ces saletés de gouines t'ont tourné la tête, ma parole !
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Le tonnerre éclate de nouveau, plus proche, plus violent. La porte de l’appartement frémit et s’entrouvre sur un rai d’obscurité.
- Monsieur Géricault ? répète Mélia, tandis que Moussaillon, souple et silencieux, se faufile dans l’entrebâillement.
Personne ne répond. La jeune fille pousse la porte d’un coup d’épaule. Une bouffée d’air vicié s’engouffre dans ses narines. Un mélange d’odeurs de peinture, d’huile de lin, de sueur… et de cadavre. Ces dernières semaines, Géricault s’est procuré des restes humains dans un hôpital, pour les étudier en vue de la réalisation de son prochain tableau.
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Etienne est le personnage principale de l'histoire. Cette histoire parle de la guerre dont Etienne, Gaspard et d'autres compagnons font parties. Ils partent pour aller combattre les lignes ennemies, les allemands. Des coéquipiers d'Etienne se firent tué par des pluies d'obus.
Pour garder le moral, Etienne entretient une correspondance avec Marie-Pierre, sa marraine de guerre.
Elle lui avait envoyer des lettre avec de la nourriture, ce qui le rassurai Etienne. Il eut une permission pour sortir de son campement, il décida d'aller voir sa famille et il en profita pour rendre visite a sa marraine. De retour au front, Etienne se fut ensevelir par de la terre qui a été projeté par une explosion d'un obus. Deux jours plus tard, ils retrouve Etienne vivant et l'emmène a l'hôpital. pour Etienne la guerre est fini, il peut donc aller retrouver sa famille. Puis l'armistice se fit signer.
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𝑱𝒆 𝒏'𝒂𝒊 𝒒𝒖'𝒖𝒏 𝒔𝒆𝒖𝒍 𝒄𝒉𝒐𝒊𝒙. 𝑳𝒂 𝒍𝒊𝒃𝒆𝒓𝒕𝒆́ 𝒐𝒖 𝒍𝒂 𝒎𝒐𝒓𝒕. 𝑺𝒊 𝒋𝒆 𝒏𝒆 𝒑𝒆𝒖𝒙 𝒑𝒂𝒔 𝒂𝒗𝒐𝒊𝒓 𝒍𝒂 𝒑𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆̀𝒓𝒆, 𝒂𝒍𝒐𝒓𝒔 𝒋𝒆 𝒗𝒆𝒖𝒙 𝒍𝒂 𝒔𝒆𝒄𝒐𝒏𝒅𝒆. 𝑪𝒂𝒓 𝒑𝒆𝒓𝒔𝒐𝒏𝒏𝒆 𝒏𝒆 𝒑𝒆𝒖𝒕 𝒎𝒆 𝒇𝒂𝒊𝒓𝒆 𝒑𝒓𝒊𝒔𝒐𝒏𝒏𝒊𝒆̀𝒓𝒆.
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