« Déjà alors, je craignais l’écriture. Au fond de moi je savais qu’elle était liée à une observation douloureuse , mais je n’imaginais pas qu’avec le temps elle serait un abri, un refuge , ou non seulement je me retrouverais, mais où je retrouverais aussi ceux que j’avais connu et dont les visages avaient été conservés en moi » ….
AHARON APPELFELD, Mon père et ma mère .( Traduit par Valérie Zenatti) .