Ce n’est pas la nature de l’union qui est importante, encore moins sa durée. C’est sa richesse dans le présent, c’est sa touffeur humaine, c’est cet aliment infiniment nécessaire à l’humain que l’union porte en elle, cet aliment de cohumanité, de meute qui se lie en direct, l’aliment les autres sans lequel nous ne serions pas des humains.