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Citation de dictus


[Qu'importe le manque de soutien...]
(...) François Mitterrand ne s'émeut pas trop de voir ces appuis prendre souvent la forme de la corde du pendu (…) Il a compris, lui, que la logique de la candidature présidentielle, c'est le primat d'un homme et non d'un appareil. Il n'a pas de parti ? La belle affaire ! Des partis encombrent ses rivaux. Et puis, il a ses amis et aussi les anciens prisonniers. Car personne, au Parti socialiste ou au Parti radical, ne s'empresse de l'aider à organiser sa campagne. Il fait donc donner les grognards, toujours les mêmes : André Rousselet, Georges Dayan, Georges Beauchamp, Claude Estier, Louis Mermaz, Roland Dumas, Marie-Thérèse Eyquem, son frère Robert. Et les anciens prisonniers de guerre.
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