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3.84/5 (sur 25 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

Catherine Price est journaliste scientifique freelance et auteure.

Elle est diplômée de l'Université Yale et de la UC Berkeley Graduate School of Journalism de l'Université de Californie à Berkeley.

Catherine Price est journaliste au New York Times, au Los Angeles Times, au San Francisco Chronicle, à The Best American Science Writing, au Popular Science....

Grande voyageuse, elle a décidé de faire le tour du monde du pire. Elle en a rapporté les "101 lieux à ne pas voir avant de mourir" (101 Places Not to See Before You Die, 2010).

En 2018, elle a publié "Lâche ton téléphone !: Programme de détox digitale" (How to Break Up With Your Phone).

Elle vit à Philadelphie.

son site : http://www.catherine-price.com/
Twitter : https://twitter.com/catherine_price
page Facebook : https://www.facebook.com/catherinepriceauthor/
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Bibliographie de Catherine Price   (4)Voir plus

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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
La plupart des utilisateurs créent leur compte pour se sentir connectés à leurs proches, mais de nombreuses études suggèrent que plus nous passons de temps sur les réseaux sociaux, moins nous sommes heureux. L’American Journal of Epidemiology a suivi un groupe de volontaires sur deux ans pour savoir si leur présence sur Facebook était à l’origine de leur mal-être 38 (l’autre hypothèse étant qu’un mal-être préexistant les rendait simplement davantage susceptibles d’utiliser Facebook). Les résultats ont montré qu’il y avait bien une relation de cause à effet. « Nous avons constaté de manière nette que le fait d’aimer des publications comme de cliquer sur des contenus prédisaient de façon significative une baisse (déclarée par les sondés) de leur santé physique, de leur santé mentale et de leur satisfaction générale 39 », expliquent les auteurs de l’étude dans la Harvard Business Review.
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Vous voyez ce sentiment grisant que nous éprouvons au début d’une histoire d’amour, quand rien ne pourrait nous faire plus plaisir que de passer du temps avec l’être aimé ? Eh bien, là encore, c’est la dopamine qui est à l’œuvre. Nous en produisons chaque fois que nous vivons une expérience nouvelle. Elle crée en nous cette petite pointe d’excitation si agréable.

Passée cette phase de découverte, la concentration de dopamine diminue. C’est un peu la fin de la lune de miel ou du « tout nouveau tout beau » qui voit de nombreux couples se séparer. Mais nous n’allons pas jusqu’à envisager de nous séparer de nos smartphones, car ces derniers (et les applications qui vont avec) sont pensés pour nous abreuver constamment de nouveautés – et donc entretenir notre afflux de dopamine.

Vous vous ennuyez, vous êtes un peu tendu ? Ouvrez donc votre boîte mail. Rien d’intéressant par là ? Eh bien, rabattez-vous sur vos réseaux sociaux. Toujours pas satisfait ? Essayez de vous connecter à un autre compte, puis peut-être à un autre encore. Distribuez quelques « j’aime » ici et là. Abonnez-vous à de nouveaux profils, et voyez s’ils vous suivent en retour. Jetez un dernier coup d’œil à votre messagerie, on ne sait jamais. C’est si facile de se laisser ainsi absorber pendant des heures sur son téléphone, à papillonner d’une application à l’autre sans jamais fixer son attention plus de quelques secondes d’affilée.

Il est bon de rappeler que cette bouffée d’excitation qui accompagne la dopamine ne nous rend pas véritablement « heureux ». Mais essayez de dire ça à votre cerveau…
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Tu es la dernière chose que je regarde avant de me coucher et la première que je cherche à peine réveillée.
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Le voyage doit être une aventure et non une corvée. Si l'on passe ses vacances à cocher des listes, quel intérêt y-a-t-il à sortir de chez soi?
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