Quarante-neuf ans. Voilà qu’elle fuyait de partout : calcium, collagène, œstrogènes, rien de tout cela ne voulait plus rester dans son corps. Bientôt, elle ressemblerait à une cosse sèche et, si elle restait assez longtemps sans bouger, on finirait par l’empailler et l’exposer dans un musée comme une momie. Même sa relation de couple semblait vide et desséchée. En fait, c’était ça le pire et elle aurait préféré ne pas y penser.