Cécile Aubry

Là ,on touche à mon enfance,au dimanche soir , au feuilleton tiré du livre de Cécile Aubry. Là , maintenant , au moment où je vous parle , j'entends le générique . Je regarde l'épisode avec gourmandise , avec émotion , avec tout ce débordement d'amour , moi qui n'en manquais pas ....Ce livre , je l'ai lu , relu , vécu et ...il fait partie de moi , tout comme Robinson Crusoë dont j'ai parlé par ailleurs et quelqu'un l'a mis en images , en belles images .Il n'y avait qu'une chaîne en noir et blanc à cette époque, une chaîne qui offrait aux jeunes que nous étions , une image incroyable d'un monde lointain , inaccessible , un eldorado qui , à travers les yeux d'un enfant et de son amour pour un chien constituait une sorte" d'innaccessible amour",comme aurait dit Jacques Brel . Alors ,oui ,vous allez me dire, vous nous parlez d'un feuilleton , pas d'un livre. Je vous répondrai qu'à mes yeux les deux se sont toujours confondus . Je vous parle du " vrai " Belle et Sébastien ,celui de mon enfance . Le plus récent film tiré du livre est très beau ,sans aucun doute mais,j'avais vieilli , hélas, et je l'ai beaucoup moins apprécié, comme quoi , il faut être là ,au bon endroit et au bon moment...Vivre le présent...

Attention , nous vivons tous un ou plusieurs moments littéraires magiques au cours de notre enfance...Ecoutons nos enfants , peut- être le lisent-ils , le vivent - ils en ce moment . Quant au nôtre , moment magique , s'il n'est pas le leur,tant pis ou tant mieux , ils sont tellement mignons qu'ils nous le laissent , avec un sourire que l'on croit ironique , mais qui n'est qu'adorable...Et oui....

Ah , j'oubliais . Dès le générique de fin, j'embrassais ma grand - mère, je prenais mon sac et j'allais prendre le train. Une semaine d'internat m'attendait .Là pas de Belle , pas de Sébastien , pas le bagne non plus , mais une semaine...Et quand on a onze ans, parfois , c'est long . Heureusement , il restait le rêve ...Belle ...Sebastien.....Je ne vous ai jamais oubliés.

Je lis régulièrement de la littérature jeunesse, un peu en prévision de ce que je pourrais proposer à mon petit bonhomme quand il saura enfin lire et aussi parce que la manière d'écrire quand on s'adresse à un public (plus ou moins) jeune m'intrigue. Doit-on adapter son style pour être mieux compris ? Comment choisir les sujets abordés pour intéresser un certain lectorat ? Autant de questions qui me traversent quand j'aborde un livre jeunesse.



J'avais envie depuis un moment de (re)lire de la littérature jeunesse à l'ancienne (paradoxe !), de celle qui avait empli mes journées à l'époque, de la bibliothèque rose à la bibliothèque verte. Un livre récupéré dans une brocante me faisait de l'oeil depuis un moment, dans une édition plus grand format, ce Poly à Venise de Cécile Aubry.



Le nom de l'auteure ne m'était pas étranger, et pour cause puisqu'il s'agit également de l'auteure de Belle et Sébastien. Comédienne par ailleurs, elle avait raconté avant le succès de son grand chien blanc des montagnes, les aventures du poney Poly qui connut les joies d'une adaptation télévisée dès 1961. Poly était accompagné de Pascal, interprété par Mehdi, fils de la comédienne... et futur Sébastien !



Poly n'a pas traversé les époques et les genres (au contraire de Belle et Sébastien, sorti en 1963 à la télévision, adapté en dessin animé dans les années 80 puis repris au cinéma en 2013 par Nicolas Vannier). J'avoue que je ne connaissais pas du tout le héros équin, mais cela doit je pense parler à beaucoup de Babeliotes puisque le feuilleton télé eut plusieurs versions jusqu'en 1973 tout de même.



Pour ce qui est du livre, tout cela est bien niais tout de même et a plutôt mal vieilli. On est plutôt dans l'ordre du conte, le poney Poly sert plutôt d'ornement avec ses pérégrinations dans Venise. Il a perdu son Pascal en route et rencontre un petit italien Pippo, jeune violoniste pauvre élevé par sa maman seule... et malade... (oui on a réuni pas mal d'ingrédients pour émouvoir, sans que cela ait beaucoup de cohérence d'ensemble). L'intrigue centrale concerne plutôt des personnages extérieurs au héros puisque ce sont deux jeunes hommes, un simple gondolier (et oui, on est à Venise, faut que ça serve) et un riche... riche (on ne comprend pas trop ce qu'il fait à part avoir de l'argent) qui se disputent les faveurs d'une jeune et jolie orpheline (enfin on suppose puisqu'elle est élevée par son oncle). Évidemment le gondolier est gentil et le riche absolument imbuvable. C'est pour ça qu'il faut pas devenir riche, ça rend méchant, consolez-vous comme ça si vous êtes pauvre.



Les mésaventures sont assez lassantes, on court dans les petites ruelles, on passe sur les ponts (on est à Venise on vous a dit, rentabilisons le voyage). Rien de transcendant, on s'ennuie un peu mais ce n'est pas trop long alors on s'en contente. Il faudra que je me lance dans la relecture des héros de mon enfance (Club des Cinq, Fantomette) pour vérifier si l'impression de creux est la même. En vérifiant rapidement, je me rends compte que le démarrage de ses séries date à peu près de la même époque (même plus ancien pour le club des cinq, années 40), ce qui ne présage rien de bon. Peut-être ai-je lu les opus écrits dans les années 80... ou peut-être la brume de l'enfance orne-t-elle ces lectures d'une aura particulière. Autre test possible, faire lire ce genre de livres à des jeunes lecteurs d'aujourd'hui... pour avoir lu quelques livres jeunesses récents, je pense qu'ils risquent d'être déçus...

Ayant reçu cet ouvrage en don à la médiathèque pour laquelle je travaille mais ne pouvant malheureusement pas l'intégrer à mon fonds en raison de son état, je voulais quand même le lire avant de le pilonner et lui offrir une petite critique sur babelio, une sorte d'adieu (eh oui, je deviens sentimentale !).

Certes, cet ouvrage n'est pas tout récent mais je pense qu'il a du faire son petit effet fut un temps auprès des jeunes filles, passionnées de cheval ! Car oui, notre héros (parmi d'autres) est bel et bien un jeune poulain prénommé Poly. Ce dernier a été offert à la jeune Caroline qui vit dans une immense demeure, Beauregard, par des parents trop souvent absents. Elle qui d'habitude est assez méfiante, va vite s'amouracher de cette ravissante créature avec son camarade de jeux, le jeune Grégoire. Tous les trois, aidés par celui que l'on nomme François-la-rose, François-le-mendiant ou encore François-le marin vont alors devenir un quatuor inséparables et venir en aide à la jeune et belle Marielle, que ses oncle et tante avaient espérer marier à leur fils afin de récupérer les terres que celle-ci, devenue orpheline très tôt, avait en sa possession...mais cela était, comme je vous le disais sans l'intervention de Caroline, Grégoire, François...sans oublier Poly bien sûr (il faut vous imaginer qu'un poney puisse être d'une quelconque utilité dans toute cette histoire).



Une histoire gentillette, quoiqu'un peu démodée mais qui reste une lecture agréable néanmoins ! A découvrir !

Je ne sais pas si la nostalgie est toujours ce qu'elle était !

Ce que je sais, maintenant, c'est qu'elle se fait, parfois, mauvaise conseillère.

"Le jeune Fabre" était un bon souvenir de la télévision de mon enfance.

Il était donc tentant, aujourd'hui, d'y retourner voir du côté du livre.

Paru en 1975, Il a été écrit par Cécile Aubry.

Avec Mehdi, Paul Guers, Jean-Roger Caussimon, Daniel Ceccaldi et quelques autre visages connus, on reste en famille.

Quelques photos viennent, en fin volume, nous les remettre en mémoire ...

Jérôme Fabre vient d'être renvoyé de la pension.

Le rapport psychologique, qui le suit, est sans appel !

Il souffre d'un complexe affectif, d'une inadaptation à la vie en société et d'un traumatisme général dû à une absence de vie familiale.

D'ailleurs, son père, Daniel, peintre à Montmartre ne l'attend pas.

Il est une fois de plus absent.

Heureusement, Julia, sa vraie-fausse belle-mère, tendre et attentionnée, est toujours là pour Jérôme.

Et que dans la famille Caderousse, une jeune fille de son âge, Isabelle, ne semble avoir d'attention que pour lui ...

Jérôme est Mehdi.

Chadoun est Jean-Roger Caussimon

Et Isabelle est Véronique Jeannot !

Que de souvenirs ...

Malheureusement le livre est décevant, vraiment décevant.

L'histoire, monotone, s'écoule, s'écoule et s'écoule, sans aspérité, sans un véritable rebondissement qui serait venu lui donner du rythme.

De plus, le récit n'est pas soutenu par le style de l'écriture qui n'est rien moins qu'ordinaire.

On n'y cherche vainement un je-ne-sais-quoi de fantaisiste, un peu de tendresse, de sincérité ou de profondeur.

Les personnages ne sont qu'à peine esquissés alors qu'ils auraient mérités mieux.

Le personnage de Chadoun, tenu dans la série par Jean-Roger Caussimon, est une mine.

Celle-là, comme les autres, n'a pas été exploitée.

Dommage !

Au bout de ce livre, il ne reste que quelques photos et de bons souvenirs un peu gâchés ...

N'ayant jamais lu l'œuvre originale de Cécile Aubry (honte à moi ! je sais... mais je compte bien y remédier à l'occasion) et n'ayant pas vu les adaptations à l'écran non plus, je n'ai donc pas de point de comparaison et ce n'est finalement pas plus mal.



Et je dois dire que je viens de passer un excellent moment de lecture. Il y a juste ce qu'il faut de description pour "voir" le décor que l'on imagine splendide. On s'attache à Sébastien, ce petit homme au grand cœur, et bien sûr à la célèbre Belle, magnifique chienne des Pyrénées. L'histoire, qui se déroule en plein cœur des montagnes sous l'occupation allemande, est passionnante, touchante, belle, triste. J'ai même, à plusieurs reprises, eu du mal à retenir mes larmes...



C'est un joli roman, une très belle découverte pour moi !



[Lecture octobre 2020]

Ah cette série mythique des ' Sébastien ' , j'ai dévoré toute la série , que de souvenirs , d'autant plus que la série passait à la télévision avec ' le beau Medhi ' , le fils de l'auteur .

Ici Sébastien a grandi ( nous aussi d'ailleurs ) et nous le suivons dans ses nouvelles aventures en Bretagne .

La mary- morgane , un nom qui m'a fait rêver pendant de nombreuses années .

Allez les nostalgiques de la série , faites vous connaître .

Dès le mois de mai, soit plusieurs mois avant la sortie du film sur nos écrans, Xo éditions avait publié la "novelisation" du film, c'est à dire est en fait la retranscription très fidèle en roman du film de Nicolas Vanier..

. Les enfants qui ont adoré le film pourront se le faire lire par ses parents, pour prolonger la belle aventure de cette amitié flamboyante entre ce petit garçon et son chien. Et pour ceux qui ne pourront pas le voir au cinéma, ils peuvent aussi se rabattre sur le livre, mais il manque quand même l'essentiel, la beauté des images...

On pourra toujours les chercher sur Internet et les regarder en même temps qu'on se plonge dans la lecture, mais ca ne sera pas pareil que filmé par Vanier, vous vous en doutez :o)


Lien : http://www.baz-art.org/archi..

Sébastien a bientôt huit ans et César s'est laissé persuader de l'envoyer à l'école du village avec le couple d'instituteurs, Monique et François Cordier. Sébastien y rencontre Séverine Albin, la fille de l'architecte parisien qui vient d'acheter la maison de la regrettée Augustine Danieli. Sébastien et Séverine se lient d'amitié. Aussi, quand Séverine apprend que sa mère Sandra, mannequin, est rentrée à Turin chez ses parents, sans que son père Jacques ne le lui ai dit, elle demande à Sébastien de lui faire passer en secret la frontière. Évidemment, les deux enfants vont être confrontés avec Belle à une tempête de neige.



Belle et Sébastien est un feuilleton télévisé de treize épisodes décrit et réalisé par Cécile Aubry et diffusé à partir de 1965 sur l'ORTF, il fut suivi par deux autres saisons, Sébastien parmi les hommes puis Sébastien et la Mary-Morgane. Devenue une série culte, Belle et Sébastien contribue à façonner la culture télévisuelle des enfants de l'époque. La série a été adaptée une première fois en dessin animé en 1980 au Japon sous le nom de Meiken Jolie. Un nouveau dessin animé, produit par Gaumont Animation et par le groupe canadien PVP, a été diffusé à partir de 2017. En 2013, Nicolas Vanier réalise Belle et Sébastien en reprenant la trame du scénario de la série. Le film est un succès (2,8 millions d'entrées en France) et en 2015, Christian Duguay réalise une suite : Belle et Sébastien : L'aventure continue. En 2017, Clovis Cornillac réalise un troisième film, Belle et Sébastien 3 : Le Dernier Chapitre. - source : Wikipédia





Cette série est étonnante car si elle procède de l'écriture cinématographique avec un séquençage rapide, elle est avant tout à hauteur d'enfant dans la justesse des dialogues et de l'observation des réactions enfantines. Par ailleurs, Cécile Aubry a un goût pour les mots, elle n'hésite pas les jeux de répétition, de succession d'adjectifs pour mieux décrire une situation et elle n'hésite pas quelques envolées lyriques pour célébrer la beauté de la nature et le charme de l'amour.

J'ai honte...

J'ai fini ce livre dans les délais accordés par Masse Critique (je remercie Babelio pour cela) et j'ai trainé bien inutilement pour faire cette critique.

Lire Belle et Sébastien fut une aventure très particulière pour moi. J'étais toute petite, sans doute pas plus de 6 ans, quand j'ai vu cette vieille série à la télévision en noir et blanc de l'époque. J'en avais de vagues souvenirs tournant tous autour de la montagne (que je croyais être les Pyrénées, va savoir pourquoi) d'une chanson et bien entendu, d'un gamin et de son gros clébard.



Les histoires des adultes, quasiment aucun souvenir tout simplement parce qu'ils ne m'intéressaient pas. Un vague souvenir d'un vieux monsieur ronchon mais gentil et d'une belle jeune fille à qui je rêvais sans doute de ressembler plus tard. L'époque me semblait actuelle.

Et puis c'est tout.



C'est donc avec émotion que je me suis plongée dans ce livre que j'ai lu en moins d'une semaine malgré le travail. Une fois refermé, je suis toute songeuse... Mes souvenirs sont totalement perturbés. Normal, c'est une deuxième écriture, une reprise des persos, une nouvelle époque car il s'agit de la seconde guerre mondiale. Sans doute pour faire monter la sauce dramatique. On retrouve toujours l'histoire d'un gamin attachant et de son gros toutou, mais il passe rapidement au second plan (avec malheureusement quelques raccourcis un chouilla trop faciles) au profit du drame romantico-historique.

Par contre, j'ai découvert avec une second plaisir les lieux où sont sensés se passer ces évènements, des lieux que j'ai déjà visités et qui me sont chers : les Hautes-Alpes, le Parc des Ecrins. Je vous conseille de faire des recherches internet pour voir en photos les magnifiques paysages où se situe l'action de ce roman.



J'ai lu que cette adaptation a été tournée et devrait bientôt être diffusée (ciné ou télé ?)... ceci explique cela.

Je recommande ce livre à tous, vieux, grands et même les moins grands...

Trop bien cette histoire d'amitié entre ce chien et l'enfant ; A conseillé.

Roman d'espionnage (ou presque), mais surtout ode à la montagne et à l'amitié, celle qui lie Belle, grande chienne de berger, à Sébastien, enfant né par un soir d'hiver dans cette montagne.

Bon, ce n'est pas de la grande littérature mais c'est une bonne lecture pour enfants. J'ai aimé quand j'avais dix ans, je doute d'apprécier maintenant.

Roman que j'ai lu l'été dernier, je connaissais déjà Belle et Sébastien pour l'avoir vu en film ^^

(Avis que j'avais noté dans mon Carnet de Lecture) :

Très bon livre ^^ mais je pense qu'un jour je le relirai pour mieux comprendre les passages faisant allusion à la guerre, des Juifs, etc...

Belle histoire émouvante , bien racontée !

La persévérance d'un jeune garçon ne voulant pas se séparer du chien que tout le monde craint au village !

En retrouvant ce roman de mes 10 ans, une petite larme à l’œil m'est venue. C'est une merveilleuse histoire d'amitié et d'amour entre deux enfants: un petit garçon montagnard et une petite fille de la ville.

J'en garde un souvenir émouvant.

Dévoré très jeune ainsi que Sébastien parmi les hommes et Sébastien et la Mary-Morgane , en vraie fan et déjà dévoreuse de livres.

Cécile Aubry a fait rêver des milliers d'enfants avec les aventures de Sébastien portées à l'écran et jouées par son fils Medhi.

Qui ne se souvient de la musique de ce feuilleton enchanteur?

Dans ce chapitre des aventures de Sébastien, j'ai apprécié le mystère et la fabuleuse évocation de la Bretagne.

Ceci, c'est toute mon enfance! J'ai tellement aimé le film, dessin animé et toutes les adaptations à écrans grâces à ce livre. Et quand j'ai enfin lu le livre, j'ai oublié tout mes soucis du plus profond de moi et qui me faisait le plus de mal car notre cher jeune Sébastien en a de bien plus grave que moi.

Petite anecdote : mon petit frère n'appelle pas ce fameux chien "Belle"mais "Babybel " >

Sébastien est né dans un refuge sur les hauteurs du Grand Baou par une nuit de tempête. Sa mère, inconnue au village, est morte en lui donnant la vie. Le vieux César le nomme Sébastien et l’acceuil au sein de son foyer où grandissent ses petits enfants, Angelina, qui sera un peu comme une mère, et Jean. Au même moment, plus bas dans la vallée, née Belle, un chien des Pyrénées, promise à un colporteur. Mais pendant que Sébastien grandit heureux, Belle va passer d’un foyer à un autre pour finir dans un chenil d’où elle s’enfuira pour redevenir sauvage, à l’image de ses ancêtres, et perdre toute confiance en l’Homme. Ce faisant elle se rapproche de son destin inéluctable et sa rencontre avec Sébastien.



Grand classique de la littérature jeunesse française, Belle et Sébastien est une histoire qui met en avant les valeurs d’amitié, de tolérance, de respect et d’entraide. Dès les premières pages nous nous attachons à ses deux héros et c’est un plaisir que de suivre l’évolution de chacun jusqu’à leur rencontre, puis d’assister à la naissance des liens puissants qui se tissent entre eux. Lu à trois voix avec mes filles (7 ans), ce roman nous a touché par la beauté de son histoire fluide à la construction agréable et ses personnages attachants.



J’avais hésité sur le choix de l’édition, et je ne regrette pas mon choix pour le grand format et le texte de grosse taille qui facilite clairement la lecture pour l’enfant.
Lien : https://sirthisandladythat.w..

Sébastien grandit et par en vacances avec des amis. J'ai aimé le livre mais il ne m'a pas emporté de la même façon que Sébastien parmi les hommes ou Sébastien et la Mary Morgane....



N'empêche que j'ai adoré les description de la Camargue.

Je n'avais jamais vu la série, je n'ai pas vu le film non plus. Bien sûr, je connaissais de nom, je savais qu'il s'agissait vaguement d'une histoire d'amitié entre un garçon et un chien à la montagne... mais ça s'arrêtait là !

J'étais donc curieuse de lire cette histoire pour la découvrir enfin, d'autant plus que j'avais déjà lu et apprécié "le dernier trappeur" de Nicolas Vanier. Pourtant, j'ai été un peu déçue : j'ai trouvé le style faible, simpliste. L'histoire est intéressante mais est livrée sans passion, vraiment je ne m'attendais pas à trouver ça un peu trop plat.

Peut-être est-ce le parti pris de cette collection bibliothèque rose qui a voulu rendre le récit accessible aux plus jeunes ? mais du coup, je suis passée à côté.

Malgré tout, une jolie histoire d'un petit garçon qui va trouver un but et une joie de vivre grâce notamment à son amitié avec cette chienne avec également en toile de fond la résistance et le rôle des passeurs.