Cécile Gambini

Sale temps pour les saucisses. Perdues et fauchées elles remettent leur sort à des phoques affamés mais il faudra aussi compter sur des oursons aux ventres vides.

Avec son humour décalé je ne sais pas si les enfants trouveront drôle cette histoire mais les parents s'en réjouiront sûrement. Ce onzième album d'Escoffier que je lis me met encore en joie et en appétit.

En ayant collaborée avec cet auteur lyonnais, la prolifique Cécile Gambini a montré son talent d'illustratrice.

J'apprécie beaucoup ces personnages découpés sur papier ou carton donnant un dynamisme différent à chaque page et des perspectives changeantes.

Enfin Escoffier s'est amusé avec des jeux de mots qui font fourcher la langue quand on lit à haute voix.

Un livre réjouissant à dévorer.



Je vous laisse: une odeur de viande grillée m'attend!

Du continent américain au continent asiatique, en faisant escale en Afrique et en Océanie, part à la découverte de seize arbres hors du commun, des bizarbres qui vont te parler d’eux et te raconter leur histoire. De l’arbre à pluie à l’arbre arc-en-ciel, en passant par l’arbre à l’envers et l’arbre bouteille, tu vas faire un fabuleux voyage empli de belles rencontres.

Mon avis : Quel magnifique documentaire que celui-ci ! Un peu encombrant certes, du haut de ses 38 sur 28 centimètres, mais il fallait bien cela pour nous faire découvrir des arbres hors du commun dont le moins que l’on puisse dire c’est qu’on n’en croise pas tous les jours sur notre route. Chacun d’entre eux s’est vu consacrer une double page pour prendre la parole et nous parler de lui et de ses particularités étonnantes. Le texte se trouve sur la page de gauche : en titre, le nom poétique de l’arbre, écrit en belles majuscules stylisées et délicatement colorées, suivi de sa nomination scientifique. Puis l’arbre prend la parole à l’aide d’une très fine écriture cursive. L’un emploie le ton humoristique, l’autre poétique, un autre encore se décrit sous forme de recette de cuisine ou de guide de voyageurs… ce qui contribue grandement à en faire des arbres vraiment à part, presque personnifiés, tout en nous livrant de nombreuses données documentaires. Sur la page de droite, l’illustration picturale grand format magnifie l’arbre dont il est question en rappelant ce qu’il a de singulier par rapport aux autres. Enfin, chaque double page est bordée d’une frise qui lui est propre, nous laissant imaginer à quel point chacune pourrait faire l’objet d’un encadrement nous offrant de la sorte un beau tableau nature. Au début et à la fin de l’ouvrage, sur les pages de garde, on trouve un planisphère nous permettant de situer facilement chaque spécimen dans son environnement géographique. D’aucuns reprocheront peut-être l’absence de photographies prises à l’état naturel, mais pour moi ce documentaire est un vrai coup de cœur… Il va surprendre les enfants de par son sujet, puis les émerveiller mais aussi probablement titiller leur curiosité… de là à ce qu’ils fassent des recherches complémentaires pour savoir si ça existe en vrai et comment c’est, je suis sûre qu’il n’y a qu’un pas… je suis bien placée pour savoir qu’ils ne pourront pas résister…

Public : à partir de six – sept ans mais jusqu’à pas d’âge

Si vous voulez vous rendre sur le site de l’auteure, Bernadette Pourquié, vous pouvez suivre cette adresse :

http://bernadette.pourquie.fr/

Si vous voulez vous rendre sur le blog de l’illustratrice, Cécile Gambini, vous pouvez suivre cette adresse :

http://pavupapri.blogspot.fr/

🐺 Bizarbres mais vrais !



Je ne pouvais pas mieux tomber pour présenter cet album étant moi-même bizarre et déjantée 🙃🤫



🌳🌳🌳 Il y a des arbres à pain, des arbres-dynamite, des arbres aux fantômes,...



Faites cette plongée immersive avec moi à travers le monde entier et vous ne verrez plus jamais les arbres de la même façon ! 🌱🌱🌱



Éditions Petite Plume de Carotte 🥕🥕🥕

Avant tout ce qui me plaît dans ce livre c’est sa composition. Il fait parti de la collection « Petits contes du tapis ». Il permet aisément de raconter à un groupe comme à un enfant seul.

Vous ouvrez le livre devant vous et les illustrations apparaissent en grand devant eux. Pour le texte, il suffit de replier la dernière page de votre côté. Des numéros vous indique à quel endroit vous vous trouvez.



J’ai choisi aussi ce livre pour l’illustratrice Cécile Gambini. Je trouve qu’elle met de la poésie et de la magie dans ses illustrations. Elle utilise divers supports de papiers (cartes topographiques, pages de livres…), les met en couleur et les colle.



Ensuite, j’ai découvert ce conte dont l’histoire est assez simple mais toujours aussi efficace. Trois poissons, l’un intelligent, le deuxième un peu moins et le dernier un peu nigaud qui n’écoute pas les conseils des autres. Je vous laisse donc deviner ce qui peut arriver à celui-ci.



Dans la même collection « Pourquoi la carapace de la tortue ? » de Benjamin Lacombe m’avait beaucoup plu.



Si vous souhaitez découvrir l’univers de Cécile Gambini, allez jeter un œil sur son blog :

http://pavupapri.blogspot.fr/

Déprimé? Fatigué? Bagbada le crapaud vous emmène en voyage pour vous redonner le sourire.

Les illustrations sont magnifiques et très originales! Un aperçu de celles-ci en cliquant sur le lien ci-dessous :

Un petit tour du monde sur les différentes traditions de noël, de quoi en apprendre d'avantage sur d'autres cultures. C'était très intéressant, bien illustré, accessible à la lecture. Un court ouvrage qui ouvre la curiosité et incite au voyage. Nous avons passé un très bon moment de lecture.

Ce livre vous propose de découvrir 16 arbres qui poussent dans la nature et dont vous ne connaissez peut être (voir sans doute) même pas l'existence. Sur 40 pages, avec une double-page par arbre (une page de texte et une page d'illustration), vous verrez l'arbre à pain, l'arbre arc-en-ciel ou encore l'arbre qui marche, pour ne citer que ceux-là. Plutôt que de découvrir ces arbres d'une façon scientifique, grâce à ce livre vous allez pouvoir connaître directement leur histoire, racontée par l'arbre lui-même.

A quoi il ressemble, d'où il vient, ses fruits sont-ils comestibles, les croyances qui existent autour de lui... Aucun de ces arbres n'aura plus de secrets pour vous !

Au début et à la fin du livre, une carte du monde montre à quel(s) endroit(s) se trouvent les arbres qui nous racontent leur histoire, ce qui est un petit plus non négligeable.



Les textes de Bernadette Pourquié sont parfois poétiques, parfois amusants, mais sont vraiment tous bien écrits et touchants. Et ce n'était pas forcément évident sachant que les personnages principaux sont des arbres ! Et puis mine de rien, même s'il s'agit d'un album avec des histoires, chaque texte contient tout de même un tas d'informations techniques, telle la hauteur de l'arbre quand elle est digne d'être mentionnée, ou bien les spécificités de l'écorce, des feuilles. Il y a même quelques mots dans un petit encadré pour ajouter quelques informations supplémentaires.



Les illustrations de Cécile Gambini sortent de l'ordinaire et accompagnent très bien cet ouvrage peu ordinaire lui-même. Chaque arbre a ses propres couleurs, son style, qui colle bien avec le texte correspondant. L'illustratrice trouve toujours une façon d'amener un peu plus de vie à la page, avec des personnages, des animaux. Un album illustrant des arbres pourrait sembler ennuyeux, et bien ça ne l'est pas du tout.

De petits dessins des fruits ou des fleurs de l'arbre viennent illustrer la page de texte, et donner une idée plus précise de ce qui est décrit aux lecteurs.

Alors attention, on n'est pas dans le dessin scientifique et précis. Encore une fois, il s'agit d'un album, et l'illustration, bien que fidèle au texte, est tout de même assez libre et créative. Si vous cherchez quelque chose de botaniquement précis, ce livre ne sera sans doute pas ce que vous cherchez...



Que l'on soit adulte ou enfant, on est forcément émerveillé par cet ouvrage. On prend en pleine face les surprenantes merveilles que la nature peut créer. On se rend compte qu'il y a tellement de choses incroyables à voir et découvrir, et cela dans la nature, pas dans un musée ou un bâtiment. Cet ouvrage permet une ouverture sur la nature et sur le monde. On voyage rien qu'en feuilletant ses pages.

Pour moi, c'est un livre à mettre entre les mains de tous les enfants, pour les éveiller aux merveilles que la nature pour nous offrir.



Une ouverture sur le monde et sur la nature qui enchantera les lecteurs.


Lien : http://lepetitmondedulivreje..

C’est l’histoire de la jeune Tine qui, un beau matin décide de braver ses peurs et de combattre ses cauchemars. Un par un elle va les rencontrer au cours de sa journée, trouver leurs points faibles puis les rendre inoffensifs de bien étranges façons : en les dessinant, en dansant, en éternuant, en jouant une samba… Tine est une héroïne à l’imagination fertile qui réussit à occuper sa journée pluvieuse en repoussant ses idées noires.

Si l’idée est bonne, j’avoue que le côté très métaphorique de la chose peut facilement déstabiliser le lecteur. Les enfants seront peut-être plus sensibles aux idées véhiculées alors que les adultes, à l’esprit peut-être plus étriqué et moins imaginatif, auront un peu de mal à se laisser complètement embarquer. C’est en tout cas ce qui m’est arrivé.

En revanche, côté texte, j’ai apprécié les jeux avec les sonorités et les mots inventés mais assez imagés pour qu’on comprenne de quoi il s’agit (un peu à l’image de Lewis Carroll dans sa Chasse au Snark). Lu à voix haute ce doit être encore plus flagrant.

Si les métaphores me laissent un peu perplexe, je suis en revanche totalement convaincue par l’aspect visuel de cet album. Je suis complètement sous le charme du coup de crayon de Cécile Gambini et de la technique qu’elle utilise pour poser les couleurs. Je ne sais pas de quoi il s’agit mais le rendu possède un charme désuet dont je suis très friande. C’est vraiment un très bel album à feuilleter, plein de jolies images et a priori excellent pour l’imagination !
Lien : http://bazardelalitterature...

Superbe album !



Mais comment Tine, petite sauvage, va se débarrasser de ses petits monstres personnels ? Ils l'ont suivi pendant longtemps, maintenant ils doivent trouver une autre victime.

Le charme de Tine, c'est qu'elle est aussi une victime consentante. Elle s'est habitué à ses monstres et il faut bien quelques petits gestes rituels pour les envoyer au loin.



Les idées noires au placard : une histoire fantastique sur les émotions noires dont il faut savoir se défaire.

Bagbada est un crapaud tout enjoué, en forme, plein de peps. Il croise Oxycat, le chat, qui est flappy et déprimé.



Bagbada est un vrai pote. Il essaie de remonter le moral d'Oxycat. Petit à petit, cela marche. Et quand le duo croise un troisième larron qui n'a pas le moral, c'est Oxycat qui se met en devoir de lui remonter le moral à son tour.



Jolie fable autour de l'amitié. Si l'histoire est un peu faiblarde, les illustrations sont impeccables, chaque personnage étant composé de plusieurs éléments, tissus, écorces, matières diverses, à l'instar des meilleurs tomes de Didier Jeunesse.

L'aventure est facétieuse et lègère.

Six saucisses prendront hotel dans un igloo chez des phoques? Quelle idée!

Quelle allure, ces saucisses?

Une à carreaux, une à pois, à boutons, une en carte du monde décorée.

Mais des saucisses restent des saucisses, vous couperaient les phoques en habits d'hôteliers.

Pourquoi vous diraient-ils cela?



Bienvenue à l'igloo-hôtel des phoques, il ne vous en coûtera que deux sous, voire six sur la promotion sur l'edredon.

Mais les saucisses n'ont pas de sous?

Les sans-le-sou ne prennent jamais chambre si c'est payant, tout le monde sait ça.

Alors pourquoi le phoque personnel les invitera tout de même à entrer?

Quelle générosité, me dites-vous?

Quelle fourberie, vous voulez dire!

Parce qu'attend t-on d'un paquet de saucisses?

Après les saucisses à roulettes se présenteront des ours touristes.

Pourra t-on aussi s'entendre sur le prix à payer?

Ils n'ont pas de quoi payer la chambre, les draps et les édredons.

Tel est pris qui croyait prendre, dit-on dans ces cas.



L'affaire sera pleine d'humour, fantaisiste dès le début, avec ces six saucisses qui rouleront sur une casserole à roulettes et ces phoques distingués sur talons à ressorts ( on imaginera le mouvement à chaque pas, c'est adorablement absurde).



L'art décoratif du collage de Cécile Gambini viendra soutenir l'humour malicieux de Michaël Escoffier.

Tout est un peu dingue, d'une fantaisie enfantine et rythmé presque comme une comptine, ce qui est agréable à lire.

Cela devrait plaire aux plus jeunes

Un magnifique ouvrage aux illustrations somptueuses qui retrace l’histoire de 16 arbres bizarres mais pourtant réels. Au fil des pages vous retrouverez donc l’arbre qui marche ou l’arbre arc-en-ciel, mis en valeur par un texte fictionnel retraçant les propriétés étranges de ces arbres et par une illustration totalement magnifique mettant en valeur l’arbre choisi.



Les éditions de la Salamandre propose ici un ouvrage mêlant science et imaginaire. Chaque arbre intègre une part de récit à travers un court texte plongeant dans le rêve et une autre part de texte décrivant l’arbre physiquement ainsi que ses propriétés essentielles. Le format du livre est très grand et les pages sont dans un très beau papier qui permet au dessin de prendre toute sa place. Sous le titre aux belles lettres se trouve le nom véritable de l’arbre et les deux intérieurs de couverture possèdent un planisphère permettant de localiser les arbres traités dans l’ouvrage.



Les dessins me laissent sans voix et mériteraient à eux seuls un livre. Ils subliment réellement cet ouvrage et en font un objet exceptionnel. Ils apportent à la fois une touche de réalisme puisqu’ils nous montrent l’arbre en situation, avec sa bizarrerie imagée, mais ils apportent surtout cette part de rêve et d’onirisme qui lance le lecteur dans un autre monde. On sent notre curiosité s’éveiller et lorsque l’on referme le livre on est obligé de faire des recherches supplémentaires pour avoir plus d’informations sur les arbres que l’on vient de découvrir !!



On ne se lasse pas de feuilleter les pages. Le texte d’un arbre a la longueur idéale pour être l’histoire d’avant sieste. Mais les plus grands se régaleront aussi de découvrir des anecdotes qu’ils ignoraient et de pages en pages pourront au gré de leur envie, voyager avec ces arbres bizarres mais essentiels.
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L’héroïne (l’auteur ?) a vraiment une vie de merde, surtout cet été, qu’elle nous raconte en quatre nouvelles.

La poire :

On retrouve sa mère, grabataire et fort mal en point, dans la buanderie de l’hôpital, en train de manger une poire, le rose aux joues après une évasion rocambolesque par la fenêtre.

L’anniversaire :

Depuis six moi elle a un petit ami, mais bon, il n’est pas top et castagneur, avec lui, c’est un festival ! « T’es avec un gars depuis si mois que te fait rêver un jour sur vingt-six, il t’en a fait voir de toutes les couleurs de l’arc-en-ciel (c’est-à-dire du violet foncé au marron clair), t’as malheureusement dû tomber un peu trop dans ses yeux bleus et ce soit c’est ton anniversaire. », Après une chute, il se retrouve au CHU de Clermont-Ferrand et elle découvre un chapelet de petites amies qui l’appellent sur le portable.

Mémé-vaudou :

« A midi il y a E. qui doit venir manger. Comprenez l’amour de sa vie passe et ce serait bien que vous, la remplaçante de fortune intérimaire, disparaissiez momentanément pour laisser s’épanouir ce moment privilégie de complicité tant attendu ». Bien sûr, elle obtempère, que faire d’autre lorsque l’on est comme elle. Attention là, elle fait intervenir mémé vaudou… A savoir une bague en or des fiançailles de sa grand-mère et lui lancer un « au secours mémé » et… ça marche. E. a eu un accident et a terminé au CHU de Cl… non de Bordeaux !

La pasteurellose d’été :

Elle sauve un chaton, un sacré de Birmanie qui, pour la remercier il lui chope le doigt et…. direction le toubib. Le vétérinaire de la fourrière l’informe que ce fameux chat est mort de la rage ou du typhus. Donc, direction CHU de Clermont-Ferrand. Non c’était la pasteurellose, mais bon….

Ce qu’elle raconte devrait être triste ou, pour le moins gris. Mais non, ses dessins très doux contrastent avec son écriture ironique, insolente, gaie, poétique. Cette fille a un grain mais alors, comme j’aime son petit grain de sel, de poivre, de miel.

J’adore la fin : « L’été, il y a ceux qui partent en vacances et ceux qui préfèrent aller au CHU, les gentils. »

A la fin du livre, il y a un résumé aux petits oignons :

« Quand ta mère vole des poires à la buanderie tu crois aux miracles, t’offres tes os contre un chaton, t’apprivoises les cafards et t’invoques mémé-vaudou pour exorciser le tout. Voilà le programme court, en quatre actes chirurgicaux, pour votre plaisir… »

Une petite perle de mots et de dessins. Cécile Gambini, j’aime votre univers


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Le Moyen Age, dévoile à travers ce nouveau ouvrage destiné aux touts petits, le quotidien. Comment vivait les gens? Comment est un château? Comment s'appelle la tour?



Quelques pages simplement expliquées mais tout en étant clair et limpide. Les dessins colorés sont efficaces et la page transparent séparant les explications de l'illustration est une très bonne méthode d'apprentissage à laquelle j'adhère. On pourrait faire la même chose pour les grands, il ni a pas de raison.



Les mots sont expliqués et contextualisés directement. En plus, à la fin du livre les mots sont de nouveaux présents et dans l'ordre alphabétique. A la toute fin du livre, pour rendre encore plus interactive la découvertes des rébus et des charades.



Une passionnante lecture sur une époque riche. J'ai hâte de poursuivre la découverte de cette collection.

Cette histoire humoristique et loufoque signée Michaël Escoffier est écrite en quatrains, ce qui confère une belle musicalité au texte volontairement répétitif et agrémenté de jeux de mots. Cécile Gambini souligne à merveille le propos avec des illustrations pleines de charme et de menus détails.
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Un joli recueil sur l'amitié. Car oui les amis sont là pour faire la fête mais aussi pour nous aider à faire face aux épreuves de la vie, d'autant plus les jours où on se sent un peu triste.

Une illustration très originale et sortant des sentier battu du célèbre adage: "tel est pris qui croyait prendre". ...? Avec des personnage et une esthétique quand même assez hors du commun. A recommander!

Cécile Gambini invente, virevolte, brode avec passion un univers aussi enchanté que ragoutant. Ah, ce petit monstre qui a mangé trop de myrtilles au point qu'elles fermentent dans son estomac !
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sujet traité la déprime