Pourquoi l??uf flotte-t-il quand il est vieux ? La mayonnaise est-elle une émulsion ? Quel principe permet de faire des ?ufs en neige ? Comment faire rebondir un ?uf sans le casser ?...
10 expériences faciles et étonnantes pour découvrir de grands principes scientifiques grâce à? un ?uf !
Un livre écrit par Cécile Jugla et Jack Guichard et illustré par Laurent Simon.
Il fallait combattre les allemands, oui, mais surtout combattre les idées nauséabondes du nazisme ! D'autant plus qu'elles s'installaient chez nous !
- C’ÉTAIT LES PREMIERS ALLEMANDS QUE JE VOYAIS ET J'AI MÊME PAS PU LES REGARDER !
- Y EN AURA D'AUTRES, TU SAIS ! BEAUCOUP D'AUTRES !
Tu sais, François, il y a des moments dans la vie où il faut savoir désobéir. Surtout si l'on sait que c'est pour une juste cause !
Je garde la tête baissée. Mon copain m'attrape la main. Sans rien dire.
Face à l'horreur, les mots sont faibles.
Moi, je pense à mon père.
Je l'imagine blessé. Ligoté sur une chaise.
Harcelé de questions. Torturé peut-être.
Je sais qu'il ne parlera pas.
Qu'il restera digne.
Et libre. Jusqu'au bout.
Qu'y a-t-il sous un plâtre ?
Un os cassé. Immobilisés par le plâtre, les deux morceaux vont se "recoller".
Moi, je sais que les hommes ne se limitent pas à leur nom, leur couleur de peau ou leur religion. Je suis un garçon, français, qui vit à la campagne. Mais je ne suis pas que cela. Lisa est une fille, une citadine, une Allemande. Mais elle est plus que cela.
Les véhicules s'immobilisent. Les Allemands sautent de l'arrière du camion. L'officier Hortz, le chef de la Kommandantur, jaillit de sa voiture et se plante devant notre bonhomme. Il n'a pas l'air d'apprécier le portrait que nous avons fait de... Hitler. Pourtant, avec son casque-entonnoir, sa mèche tombante, sa moustache charbon et sa grimace hargneuse, il est très réaliste. La preuve : l'officier l'a tout de suite reconnu ! Mais plutôt que de lui rendre son salut nazi en hurlant : « Heil Hitler ! », il se met à crier :
- Le maire ! Den Bürgermeister holen gehen*'!
* Allez chercher le maire !
Face à l'adversité, on doit se serrer les coudes ...
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Personnellement, je n'aimais pas ce besoin de se changer les idées. Les gens acceptaient déjà trop la défaite à mon goût. Partout, c'était le renoncement, l'aveuglement pour la survie immédiate.