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3.97/5 (sur 376 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Cécilia City est une autrice de romance qui vit à Nancy.

son site : http://www.ceciliacity.com/
page Facebook : https://www.facebook.com/ceciliacity/
Wattpad : https://www.wattpad.com/user/CeciliaCity

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Citations et extraits (67) Voir plus Ajouter une citation
Vous m'avez très bien entendue, agent Lombardi. Si ce n'est pas le cas, je vous conseille de passer des tests médicaux et de laisser votre place à un individu qui n'a pas le canal auditif encombré par toutes les pensées nombrilistes, autoritaires et phallocentriques qui tournent en boucle dans sa tête, lui asséné-je en le doublant définitivement pour monter au deuxième étage.
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Chapitre 1 :
«…
— Je n’ai rien insinué de tel.
— Très bien, dans ce cas, il n’y a rien à dire.
— Au contraire. Tes actes parlent d’eux-mêmes. Tu t’es mise de danger cette nuit. Tu as failli te noyer. Ne recommence plus jamais cela.
— Pardon ?
— Laisse-moi finir. Tu te sens mal, je le conçois. Tu me parles, tu parles à ta mère ou à Ariel. Tu peux hurler, crier, te déchaîner, frapper contre les murs. Mais plus jamais le genre de chose que tu as fait hier.
— Tu ne comprends pas, Sébastien. Je…
— Je veux faire un bout de chemin avec toi, si ce n‘est ma vie. Je ne te laisserai pas te détruire, Chloé.
Je l’écoute, très attentivement.
— Maintenant, ce n’est plus seulement toi, c’est nous. Nous deux.

— Mais c’est récurrent chez moi, il n’y a que les choses extrêmes qui m’apaisent. L’eau en était une.
— Laisse-moi être cet extrême, répond-il le plus sérieusement du monde en me fixant de son regard perçant.
— Si tu envisages vraiment de me garder auprès de toi. »
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Tu peux encore me repousser. Me demander d'arrêter. M'obliger à m'éloigner de toi, à ne plus te toucher.
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Chapitre 2 :
« …Je n’étais pas sotte, les retombées économiques d’une telle publicité gratuite allaient être gigantesques. Prenant mon courage à deux mains, je me suis lancée. Le culot payait parfois.
— Votre carte de visite, s’il vous plaît.
L’air circonspect, il s’est figé un instant.
— Dans quel but ?
— Vous êtes odieux, et pourtant vous allez récolter la gloire d’une rencontre hasardeuse.
— D’une rencontre hasardeuse ? Je dirais plutôt d’une périlleuse chute. Il ne fait pas bon se retrouver sur votre chemin.
Je me suis plantée devant lui.
— Je recherche un poste.
— Vous êtes maladroite.
Il a reculé et m’a dévisagée avec cette fois un air curieux. Deux fossettes se sont creusées aux abords de ses joues. Mme Laurent et son assistante ont assisté à la scène bouche bée, attendant la suite d’un scénario inattendu. Je n’avais pas d’argent, je n’avais que ma gouaille et mon culot pour m’en sortir… Autant tenter le tout pour le tout.
— Donnant-donnant. Dois-je le comprendre ainsi ?
— Je vous accompagne à l’inauguration en tant que l’affreuse jeune femme qui a perturbé vos festivités, vous en retirerez tous les lauriers. Vous passerez pour un homme bon, attentionné et complaisant. Ça ne sera pas du luxe étant donné votre réputation.
Je n’ai pas réussi à déterminer si ma phrase lui avait déplu. Impassible, il a simplement haussé un sourcil.
— En contrepartie, je ne demande qu’un poste en alternance. Vous n’entendrez plus parler de moi, sauf si mon travail vous plaît et que l’envie vous prend de me proposer un contrat à durée indéterminée.
Le culot… Le culot !
...»
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L'amour, le vrai, est fait de nuances, de compromis, de concessions. L'amour, le vrai, est inattendu. Il nous tombe dessus sans prévenir et est sans limites.
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- Alors, si je peux vous donner un conseil d'amie à ami, Stan, dites-le-lui. Il n'y a pas plus beau cadeau pour une femme que d'entendre l'homme pour lequel son cœur palpite s'engager sans limites et sans crainte. Vous êtes prêt à gravir des montagnes, traverser des océans et aller chercher le lune pour Alessia. Ne vous contentez pas de penser qu'elle le sait. Il n'y aura jamais plus belle preuve d'amour.
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Chapitre 3 :
« … J’ai senti mon cœur s’emballer. En haut des marches, j’ai déposé le chaton sur le sol et posé mon verre sur un meuble. Prise de vertiges, j’ai vu flou. Appuyée contre les murs pour m’empêcher de vaciller, je suis parvenue à m’approcher de la porte de la chambre qu’il y a dix minutes encore, je partageais avec Victor. Ma respiration s’est faite plus courte, je me suis sentie oppressée. J’ai basculé, sans réussir à saisir la poignée, emportant au passage un vase posé sur un meuble laqué.
Le bruit a réveillé Victor qui a ouvert la porte.
— Ben voyons. Tu n’en finis plus avec tes malaises imaginaires.
La porte a claqué.
La lumière du couloir m’a paru s’assombrir et j’ai cru sentir mon cœur déchirer ma poitrine.
La porte s’est entrouverte.
— J’hallucine. Lève-toi, je ne rigole pas. Enquiquineuse.
Parcourue d’une sorte de douleur intense dans le ventre, j’ai serré les poings et poussé un cri à peine audible.
— Livia, ça suffit, s’est retourné Victor, s’apprêtant à repartir se coucher.
Me voyant à la limite de l’agonie, il est revenu sur ses pas.
— Livia. Livia ? Livia !
J’ai reçu quelques claques avant de rendre mon dîner.
— Livia ! Merde. Alphonse ! Alphonse !
Victor m’a lâchée. Il a parcouru le couloir d’un bout à l’autre et s’est précipité sur l’interphone pour joindre le maître d’hôtel logeant dans la dépendance. « Appelez les pompiers ! Immédiatement ! »
— Livia ! Reste avec moi !
Parcourue de spasmes, j’ai tremblé. À bout de forces, se sentant vidé, mon corps a fini par s’immobiliser. J’ai manqué d’étouffer, Victor m’a mise en PLS. Je vivais la scène sans en être pleinement consciente. J’entendais de faibles sons, la lumière transperçait sensiblement mes paupières entrouvertes.
— Respire, Livie. Respire, a susurré Victor à mes côtés.
De peur de me blesser, il s’empêchait de trop me toucher.
— Livie ! S’il te plaît ! Livie !
Mon mari tentait de me garder éveillée et je luttais pour ne pas m’enfoncer dans les méandres d’un monde obscur...»
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Notre étreinte me rappelle à quel point l'amitié est fondamentale, plus importante que tout le reste. Un peu comme la famille. Il faut profiter des gens qu'on aime et des gens qui nous aimeent. Saisissons le bonheur lorsqu'il se trouve sous notre nez.
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Chapitre 6:
Pilules magiques
« … Nul doute que la présence de Machan, le sens-gêne, ne sera pas de tout repos. Peut-être est-ce cela dont j’ai besoin, d’une personne qui ne prend pas de pincettes pour être entendue.
— Bon, Danaé. C’est pour aujourd’hui ou pour demain ?
J’hallucine.
— Je ne vous permets pas…
Et voilà qu’il réapparaît sans la poubelle.
— Je n’ai pas demandé la permission, notifie Machan posté à l’entrée de la chambre.
— Vous êtes rustre et sans-gêne. Ce n’est pas l’impression que vous m’avez donnée hier.
Se redressant, il hausse un sourcil.
— Danaé voudrait-elle bien accélérer la cadence ? Me demande-t-il d’une voix douce en se forçant à me sourire de toutes ses dents.
La moue froncée, je le dévisage.
— Vous êtes à mon service !
— Je peux repartir d’où je viens.
— Et d’où venez-vous Telfer ?
— Des Highlands en Écosse. Autant vous dire que je ne me suis pas déplacé pour vous regarder dormir.
Il lui manque une case.
— Attention… Vous allez repartir avec un rapport, le menacé-je. Quel culot !
— Désobéissant, culotté, obstiné et mauvais joueur. Vous avez tiré le gros lot, madame.
Il prend un main plaisir à appuyer sur ce foutu «madame» !
— Malheureusement pour vous, poursuit-il, quand il s’agit de sécurité il n’y a pas de période d’essai...»
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Chapitre 4:
Telfer
« … Machan Stuart, quant à lui me dévisage sans détourner le regard lorsque je plisse les yeux pour lui signifier mon embarras.
— Machan va être votre ombre. Il ira là où vous irez. Cette fois, hors de question de limoger un agent affecté à votre sécurité. L’ordre vient d’en haut.
La menace plane-t-elle de nouveau ?
— Et puis qui encore ? S’agace William en passant autour de ma taille un bras que je repousse discrètement.
— La menace est sérieuse. Danaé ne peut pas se balader ou aller travailler seule. Nous ne pouvons pas écarter le risque d’un nouvel enlèvement.
— Nous nous passerons des services de M. Stuart, annonce William, sur un ton péremptoire.
— Et William aura-t-il un garde du corps ? Pourquoi n’entrerions-nous pas en discuter à l’intérieur ?
— Votre époux m’a très sympathiquement mis à la porte de votre demeure, plaisante le capitaine. Nous pensons qu’il n’a été qu’un dommage collatéral.
Depuis le début de l’enquête les relations entre William et le capitaine Coursin sont compliquées… William ne supporte pas les suspicions des agents de police à son encontre. Tous pensent qu’il lorgne sur mon héritage d’une valeur de plusieurs millions d’euros.
Machan ne bouge plus d’un cil. Ce ne’st plus moi qu’il observe attentivement, mais William...»
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