Cecily von Ziegesar

Pour avoir suivi quelques bribes de la série télévisée Gossip Girl, une fois tombée sur cette version livre, je me suis dit pourquoi ne pas commencer par le commencement c'est-à-dire avec ce premier tome, pour voir ce qu'il en est. Ici le personnage de Gossip girl est mieux perçu et beaucoup plus intéressant que dans le film où il n'apparait que comme une simple voix de commérages, s'immisçant dans les histoires qui ne lui regardent pas. Par contre ici, Gossip girl est comme une espèce de l'œil qui voit tout, qui perce les secrets les plus enfouis des personnages, un regard de l'auteur qui dénote ces natures déjà cabossées depuis l'intérieur pour ne laisser que l'élégance au travers des apparences. Un regard qui nous fait dire que paraitre nous éloigne bien de l'être, et ça fragilise, non sans effort, les relations, les amitiés où fulminent les complots, les trahisons, les jalousies, les vengeances dans ce monde des huppés de l'upper East Side...

Par manque d'intérêt véritable à cette saga, je ne pense pas continuer avec les autres tomes!

Gossip girl, j'en entendais beaucoup parler (notamment la série télévisée), mais je n'avais encore jamais lu le(s) livre(s), ni vu l'adaptation télévisée qui en a été faite. D'ailleurs, ça ne m'intéressait pas plus que ça. Mais quand je l'ai vu en librairie en fouinant dans les rayons, je me suis dit "Pourquoi ne pas tester le premier tome ?" Je suis partie dans l'idée qu'un poche ne coûte pas très cher et que je pourrais arrêter là si ça ne me plaisait pas.



Le verdict ? Ce n'est pas de la grande lecture mais franchement je l'ai lu très vite, étant vraiment prise dans l'histoire. D'autant que le livre est court. J'ai eu du mal à le lâcher.

Pourtant au début de ma lecture ce n'était pas gagné. Je trouvais assez antipathique les personnages. En même temps, je pense que c'est le but de l'auteur puisque l'on suit la jeunesse dorée de New York. Des jeunes gens encore mineurs de dix-sept ans environ, qui font ce qu'ils veulent, qui peuvent boire, qui organisent des soirée de charité, qui sont beaux et riches. Une histoire finalement un peu plate...

Néanmoins, l'intérêt est le personnage de Serena qui revient à New York après plus d'un an d'absence et qui va se trouver complètement rejetée par ses anciens amis. Alors du coup, on découvre l'envers du décor : les jalousies, les mesquineries, les rumeurs qui court vite et que tout le monde croit. D'autant plus que la mystérieuse Gossip Girl entretient ces racontars sur son blog.

Je me suis totalement attachée à Serena, cette fille belle comme un coeur, que tout le monde regarde mais qui, rejetée de son cercle, va se sentir complètement déboussolée. L'auteur n'a pas voulu faire d'elle une personne imbue d'elle-même ; bien qu'elle est née dans un milieu où on ne peut résister à la flatterie...



C'est une lecture vraiment sympa, même si pas exceptionnelle. Le problème malheureusement c'est que j'ai envie d'en savoir plus et que du coup je viens de me faire happer par la saga (et il y a beaucoup de tomes ! Heureusement sortis en format poche !).

Je ne peux pas dire que je conseille cette lecture, mais j'avoue que j'aime ce genre de roman détente. Je ne regrette donc pas d'avoir acheté ce livre malgré mes réticences du début.

J’ai souvent peur d’être déçue par les histoires avec les chevaux, par crainte qu’elles manquent de réalisme, ou encore de passion. Mais les masses critiques de Babelio sont aussi là pour tenter, alors j’en ai profité. D’autant que Cecily Von Ziegesar est cavalière, et qu’elle est l’auteure de Gossip Girl, qui a rencontré un grand succès. Un intermède agréable dans ma lecture de mille pages dont je vous parle bientôt.





L’auteure choisit de nous plonger dans la jeunesse dorée new-yorkaise avec Merritt, 16 ans. Du fait d’un double deuil mal vécu, et du manque d’amour de la part de ses parents qui ont tendance à prendre plus de temps pour eux que pour elle, Merritt va fuguer le jour de ses examens d’entrée à la fac. Débordés par la situation, ses parents la placent dans un centre spécialisé pour jeunes à problème, où la rééducation se fait par les chevaux.





Il se trouve que dans ce centre est aussi hébergé Red, un poulain de course réformé pour avoir provoqué un accident sur la piste qui est aussi mal dans sa tête que l’est Merritt. Mal aimé et mal traité par les cavaliers qui ont tenté de l’approcher par la suite, Red s’est renfermé sur lui-même et a décidé de ne plus aimer les humains : Il sème donc la panique partout où il passe, mordant, tapant, ruant, ouvrant les boxes etc… Ces deux-là vont se comprendre et se soigner au-delà de toute espérance ; Enfin ça, c’est ce que l’on croit...





*****



Peut-être ne le savez-vous pas, mais mon premier choix de métier était l’équithérapie (le fait que Word ne connaisse pas ce mot est extrêmement révélateur…). Du coup forcément, l’histoire m’intéressait. Elle a le mérite de faire connaître le principe de guérison au contact de cet animal, qui ne vous juge pas mais est le miroir de vos émotions, et se comporte avec vous de la manière dont vous le traitez. Sans parole mais avec beaucoup d’affection, il donne les leçons de vie qui s’imposent, aide à resocialiser les personnes, à réapprendre la patience et beaucoup d’autres qualités, comme le respect de l’autre puisqu’il demeure le plus fort.





Le petit plus de l’histoire, c’est que l’auteur alterne les chapitre racontés par Merritt et ceux raconté par Red : Car oui, Red a la parole et nous avons l’immense privilège de nous balader dans sa tête, de pouvoir alors saisir les pensées et sentiments qu’il ne peut exprimer par la parole et qui, souvent, le rendent illisible et inquiétant aux yeux des profanes. Bien sûr, ce faisant, l’auteure lui prête des pensées d’humain ; Mais en même temps, c’est tellement proche de l’idée que tout cavalier peut se faire des pensées de son cheval sans en avoir conscience, que ça se lit très bien. D’ailleurs, l’auteure en joue en prêtant une touche d’humour et de mélomanie à Red qui nous le rend encore plus sympathique.





Il est également très touchant de voir Merritt et lui se rapprocher, dès que Merritt le voit enfin comme un être doté de sensibilité et non comme un objet synonyme de corvées. Percevoir que Merritt le respecte et prend soin de lui donne à Red envie de se faire aimer d’elle pour rester son cheval. Merritt quant à elle ressent enfin de l’affection. Elle parvient alors à s’ouvrir à Red ce qui permet à la thérapeute de l’aider. Ensemble, ils rafleront tous les concours. Jusqu’au jour où Merritt va rencontrer un autre cavalier, Carvin, qui va la déconcentrer un peu… et faire ressortir de vieux démons tout justes enfouis.





Je ne vous en dis pas plus sur cette histoire, dont j’ai aimé autant le scenario que la manière de le raconter et même la transcription des ambiances de concours et des attitudes très plausibles de chacun. Ca reste un livre de détente dont le ton est léger, mais qui aborde parfaitement des sujets plus profonds en brossant des portraits de personnages très réussis. J’ai juste été un peu frustrée par la fin, qui a pourtant le mérite de clore l’histoire par de l’espoir et sans eau de rose : Parce que je m’étais attachée à Carvin (et que mon cœurs de midinette commençait à avoir certaines attentes) et qu’après l’hécatombe qu’on venait de vivre, j’aurais apprécié un beau bouquet final… A part ça, si vous cherchez un livre de détente, c’est un agréable moment de lecture.


Lien : http://onee-chan-a-lu.public..

Au rayon des feel bad books, Indomptables est en tête de gondole.

On nous vend sur la 4e de couverture une fille à problèmes et un cheval rebelle qui se rencontrent, tous les deux indomptables. Si cela ne promet pas l'originalité, ça peut au moins faire une histoire sympa.

Ca pourrait oui, c'est compter sans le désenchantement de l'époque. Les ados sont livrés à eux-mêmes (et ne se débrouillent pas si mal), faute d'adultes dignes de ce nom. Il ne serait même pas possible de se révolter contre eux, les adultes sont insaisissables : parents runners aux 4 coins du globe indifférents à leur fille, mère alcoloo/dépressive (française, cela va de soi), père businessman qui ne pense qu'au ... business, grand-mère alcoolique, coach joueur et noceur. Cela va jusqu'au centre thérapeutique où la brave personne qui se fait appeler docteur n'est même pas médecin mais assistante sociale, comme le fait remarquer l'héroïne. Et ne prend jamais le parti des jeunes.

Les jeunes sont donc névrosés, mais ça se comprend !

Quand aux chevaux, ils sont utilitaires, soit au centre équestre, ils voient passer des gamins, soit comme compétiteurs, ils font gagner de l'argent.

Malheur à l'ado qui s'attacherait à un cheval, et vice-versa.



Evidemment, c'est l'histoire, les 2 indomptables, fille et cheval, s'attachent l'un à l'autre. Sauf que dans cette vie où les adultes se fichent des enfants qu'ils ont fait, un jour, on ne sait pas pourquoi, et où les chevaux ne servent qu'à gagner de l'argent, c'est pas possible.

Roméo et Juliette version fille/cheval.

Vous vous souvenez de la fin de Roméo et Juliette ? Non, ça ne se termine pas pareil, mais c'est déprime totale quand-même, et en plus, l'écriture, c'est pas du Shakespeare.

Ce roman m'a mis très mal à l'aise : certains sujets graves sont effleurés, culpabilité, manque d'amour des parents, homosexualité.

En revanche, les sujets déprimants s'accumulent sur le dos de l'héroïne (et du cheval) sans aucune lueur d'espoir. C'est gris gris gris. A tel point que j'ai voulu en avoir le coeur net et, prise d'angoisse, j'ai voulu savoir la fin avant d'avoir achevé le livre (ce qui n'est pas dans mes habitudes).

J'ai pu lire dans les critiques précédentes que cet ouvrage avait plu. Certes les 2 héros sont attachants , mais je ne vois pas l'intérêt de faire un livre aussi noir sans dénoncer ou sans avoir un style brillant. L'écriture est insipide, et cet ouvrage ne fait qu'effleurer les situations.

En ce qui me concerne, je me suis bien gardée de le faire lire aux ados de mon entourage. Cet ouvrage n'apporte que de la tristesse.

Sinon, il s'adresse aux 13/14 ans et décrit l'atmosphère des écuries, compétitions équestres.



PS : A noter quand-même, un truc sympa au début mais lourd à la fin : un chapitre c'est la fille qui parle, un chapitre c'est le cheval (oui je sais, c'est louche). Comme le cheval écoute la radio, il fait plein de références à des tubes rock'n roll !

Cecily Von Ziegesarm autrice américaine, connue pour sa série des Gossip Girl, nous offre un nouveau roman intitulé "Bons baisers de Brooklyn" paru en mai 2021.

Personnellement, non adepte de ce type de roman, je me suis laissée séduire par la couverture attrayante qui me donnait l'impression que j'allais passer un très bon moment.

Au terme de cette lecture, je ne dirais pas que ce roman est une pépite. Il est d'ailleurs truffé de clichés et cet aspect m'a empêché d'adhérer complètement à l'histoire.

Pour le reste, je dirais que ce livre est assez bien écrit, facile à comprendre, même si le nombre importants de personnages peut parfois amener à des incompréhensions. La paronymie de certains prénoms ("Mandy"/"Wendy") ou le ridicule de certains autre ("stuart little" qui arbore des tatouages de souris!!) pourrait faire penser que l'auteur vous nous faire rire. Mais à d'autres moments, le style est plus tragique et amène à une réflexion plus profonde.

Ce roman est davantage destiné à des ados et j'ai passé ce stade depuis quelques années mais j'ai souvent trouvé de fabuleux romans dans cette catégorie. En revanche, cette fois-ci, je ne garderai pas ce récit comme un incontournable. Je ne le conseillerai pas non plus au fan de ce genre littéraire, mais il faut admettre que j'ai trouvé deux-trois passages intéressants, surtout à la fin où chacun se révèle vraiment.

j'ai adoré ma lecture, je ne peux pas le nier, mais la fin de ce roman est catastrophique sur tout les plans : sur celui de l'émotionnel mais aussi sur celui du message à faire passer. Du coup, à chaud, comme cela, j'ai vraiment du mal à donner mon avis... Ce roman m'a réellement fait vibrer c'est sûr, toute une partie de l'histoire est magnifique, porteuse d'espoir, prend les tripes. Mais la fin à massacré tout le travail préalable...

Lire ma chronique :
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Aperçu:



Un roman signé Cécily V. qui fourmille de ragots croustillants!



Olivia et Serena vivent une vie trépidante dans un quartier chic de New York.

Mais attention, L'upper East Side cache bien des secrets !!



Ce premier tome de Gossip Girl tient toutes ses promesses.

La ressemblance avec la série est bluffante, seul bémol Blaire est Olivia

dans le livre et ce petit détail est un brin perturbant.



Avouez-le ça fait tellement de bien de dire du mal, non?



Bisous Bisous

Gossip Girl

Gossip Girl, c’est une fille indéterminée (c’est peut-être même un mec, tiens) qui commente la vie de son petit quartier, l’Upper East Side, où il se passe plein de choses intéressantes : Bidule a une nouvelle robe à 3000 dollars, Truc essaie de coucher avec Machine, la sœur de Machin, qui bave sur Chouette, qui paraît-il a pondu un bâtard en France. Eh ouais, les ados c’est plus ce que c’était… Enfin, tout est dans le résumé, inutile de s’étendre.



Comme tu l’as certainement compris, c’est un genre de Sex and the City sauce teenagers pourris gâtés. Ben bizarrement, j’ai plutôt apprécié (peut-être grâce à la platitude momentanée de mon encéphalogramme, certes). C’est clairement destiné aux ados, mais Cecily von Ziegesar nous épargne généreusement les vierges nunuches, les gentils garçons mous du zizi et le vocabulaire d’analphabètes attardés (non, non, je ne vise personne, surtout pas Meg Cabot). On a beau ne pas être de ce monde-là, on se prend tout de même facilement au jeu et on suit les petites aventures de cette bande de jeunes qui se la jouent blasés avec un plaisir parfois un peu pervers (ouais, tu l’as bien mérité, ‘spèce de bi-atch !… comme on dit chez moi). C’est pas une grande révolution dans la littérature, mais ça fait quand même du bien.
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une écriture vraiment simplette pour servir une histoire pleine de stéréotypes. Il ne faut surtout pas chercher plus loin que ce qui est écrit, ce n'est pas dans Gossip Girl que vous trouverez des leçons de moral ou des réflexions psychologiques.



On ne devrait néanmoins pas sans plaindre puisque les adolescent sont de toute évidence le seul lectorat que l'auteur et la maison d'édition ont cherché à attirer.



L'histoire: des ragots, des histoires d'amour, des préoccupations de jeunes riches (toutes absolument jubilatoires tant elles sont ridicules).



Je le confesse : mon péché mignon de l'été dernier.



Car oui il n'est d'autres endroits plus agréables pour déguster ces feux de l'amour version jeunesse new yorkaise que sur la plage à bronzer. On se laisse tout à fait entrainer dans une rêverie où nous serions à la place de Blair, Serena, ou encore Jenny (selon votre physique et votre caractère).



En définitive: on passe un bon moment à le lire, on rigole bien puis arrivé à la fin on se dit "ah ouais quand même c'est naze".

Aussi bien, j'avais un avis relativement mitigé sur le premier tome autant que pour celui-ci, le titre a été relativement inspirant. En effet, j'ai bien aimé ce second tome, je l'ai, disons la vérité, trouvé hyper intéressant et intrigant.







J'ai pour la première fois depuis que je lis des romans après avoir vu la série et/ou film complètement oblitéré les personnages que j'avais vu (sauf dans le cas de Blair/Olivia c'est vraiment le seul truc où mon cerveau n'a jamais réussi à lire le prénom d'Olivia mais continuait avec le prénom de Blair, ce qui n'est relativement pas choquant).







J'ai un ou deux petits trucs que je n'ai pas apprécié. L'auteur en tant que femme aurait dû ne pas se focaliser sur la poitrine de Jenny, chaque fois qu'on voyait le caractère de Jenny, chaque fois on avait droit à la même sérénade "Jenny et sa poitrine opulente", je pense qu'en parler une ou deux fois ça passe mais toujours remettre sur le tapis, c'est énervant. On a compris qu'elle avait une forte poitrine inutile d'en parler autant de fois.







Je trouve également dommage que la plupart des personnages doivent fumer et/ou se droguer et/ou boire, j'aurais aimé au moins un personnage relativement correct (peut-être Jenny mais à voir pour la suite).







On sent bien que l'auteur a quand même réussi un pari risqué: parler de la jeunesse dorée de Manhattan qui est aussi pire que son livre (il suffit de regarder les documentaires et les télé réalités pour constater que le livre n'est pas tellement fictif).







Quand j'avais fini le premier tome, je m'étais dit que je ne lirais peut être pas la suite mais que je me ferais quand même une idée en lisant le second tome. Je pense avoir changer d'avis et me mettre à lire le 3e tome et peut être toute la série.
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En continuant cette série, c'est ce tome là (le dernier que j'ai lu) que j'ai le plus apprécié !



Beaucoup d'action, toujours entrecoupés des messages de la fameuse gossip girl, qui devient de plus en plus mystérieux !



Dévoré avec le même plaisir et la même facilité que les six premiers tomes, il ne me reste plus qu'à acheter la suite !

Il y a une chose que je ne peux nier, j’adore les ragots et je peux dire que je suis merveilleusement bien servi avec Gossip Girl ! « Vous m’adorez, ne dites pas le contraire » est exactement dans la même lignée que le tome précédent.



Nos héros sont tous confrontés à leur avenir : ils doivent choisir la meilleure université ! On peut dire que les entretiens ne se passent pas tellement comme prévu… Olivia perd ses moyens et déballe sa vie privée sur un plateau d’argent, Serena essaye de mentir désespérément, Dan prend une leçon de vie grâce à ses lectures fétiches et Nate va se faire forcer la main alors qu’il n’a pas envie de rentrer à la fac dans l’immédiat. À tout cela, il faut rajouter le mariage de la mère et du beau père d’Olivia (qui tombe le même jour que son anniversaire…) où elle gagne un demi-frère – Aaron.



Deux triangles amoureux, dont un déjà existant dans le premier volet, sont présents : Serena – Dan – Vanessa et Olivia – Nate – Jenny. Nate, ayant marre des folies passagères d’Olivia, jette son dévolu sur Jenny. Dans le cas de Dan, c’est un peu plus ambigu…



Je déplore la presque non-présence de Chuck dans ce deuxième volume de la saga… Il a droit à quelques lignes durant le mariage alors qu’il est, d’après moi, un personnage essentiel ! Reviendra-t-il en force dans « Je veux tout, tout de suite » ?



On retrouve certaines situations qui pourraient arriver à tous adolescents ; mais dans les dernières lignes, on n’est un peu perdu car on ne sait plus très bien qui sort avec qui…



La plume de Cecily von Ziegesar n’est pas admirable mais elle est très épurée, ce qui permet une lecture facile et agréable. Elle intègre à ces personnages des stéréotypes permettant à n’importe qui de s’identifier aisément.



Point positif : le parallèle entre l’histoire et le site web de Gossip Girl rend la lecture plus vivante.
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J'ai acheté ce livre dans une sorte de brocante, avec une amie. En fait, je ne connaissais rien de l'histoire, et je pensais que Gossip Girl était une série de la génération de mes parents, du style de Friends. J'avais tout faux, je m'en suis rendue compte plus tard.

En fait, j'ai surtout acheté ce livre pour l'âme qu'il semblait avoir. Un livre jauni et usé sur les coins, qui paraissait vieux et sentait l'époque. J'adore ça.

Enfin bref. J'avais donc commencé ce livre il y a plusieurs mois, poussée par une envie de lire de « l'ancien ». Je ne connaissais rien de Gossip Girl, et j'avoue ne pas avoir fait attention à l'univers auquel je m'ouvrais. Je n'ai donc pas accroché à l'histoire lors de ma première lecture. J'avais vraiment du mal à me plonger dedans. Je l'ai finalement laissé de côté, pour essayer de le relire plus tard.

Entre temps, j'ai regardé la série adaptée des livres. C'était plus du hasard qu'autre chose… Mais, une fois finie, j'ai eu envie de relire le tome 1 en ma possession.

J'ai donc recommencé Gossip Girl, mais en connaissant cette fois-ci, les personnages et leur univers de par la série. Et cette fois, le livre m'a semblé bien plus clair. J'ai beaucoup aimé le point de vue omniscient par lequel l'auteur nous conte l'histoire. Ça ajoute une touche de mystère qui m'a bien plu. Je n'ai pas l'habitude de lire une histoire à travers un genre de caméra pensante. C'était vraiment intéressant.

J'ai aussi beaucoup aimé le fait que les personnages soient plus profonds dans les livres que dans la série. Et beaucoup de situations sont différentes entre les livres et la série. J'ai ainsi eu comme l'impression de découvrir une nouvelle version de l'histoire, avec les mêmes personnages et une fin similaire. Ça m'a encore plus donné envie de poursuivre ma lecture tout au long du livre…

Je n'ai pas les tomes suivants en ma possession, et j'avoue que je m'en désole un peu. j'aurais bien aimé continuer de plonger dans l'Upper East Side avec ces personnages. Les redécouvrir, en quelque sorte.

Quoi qu'il en soit, je trouve que Gossip Girl est un bon roman léger pour ado, qui peut plaire à beaucoup. C'est vraiment intéressant de voir une vie différente de la sienne, bien plus riche, et de se rendre compte que leurs problèmes sont les mêmes que les nôtres, malgré tout…

Je suis contente de retrouver les aventures de Serena et de ses amis ou presque. J'avais laissé les livres de côté un petit moment, c'est une chose que je ne fait pas souvent de laisser des suites sans connaître la fin.

Un tome qui se lit vraiment très vite comme les premiers tomes, un tome qui tourne surtout sur Olivia, ainsi que le nouveau couple Jenny et Nate. Dan et Vanessa c'est je trouve du secondaire ainsi que Serena et un Chuck assez invisible pour le coup.

Le passage à Saint Bart m'a beaucoup fait rire entre Olivia et sa mère, ainsi la prise de tête qu'elle se donne pour entrée à Yale.

J'ai passé un bon moment.

Une histoire avec comme sujet principal les chevaux, c'était fait pour moi ! Alors je n'ai pas hésité un seul instant avant de le commencer. Et j'ai été agréablement surprise de ce que nous offre l'auteure à travers cette histoire remplie d'amitié, de tendresse et de sensibilité. Cependant, quelques points négatifs en ressortent, mais j'ai vraiment apprécié ma lecture.



Merritt est issue de la jeunesse dorée New-Yorkaise et a tout ce qu'elle veut, quand elle veut. Sauf ses examens... Et quand elle prend une décision qui aura un impact sur son futur, ses parents prennent une décision qui ne lui plaît pas : ils l'envoient dans un centre de réinsertion, avec comme objectif principal de créer un lien avec l'un des chevaux présents dans cette pension. Autant dire que l'idée ne lui plaît absolument pas. En parallèle, nous suivons aussi Red, un cheval récalcitrant avec un caractère de feu. Pur-sang de 4 ans, il n'hésite pas à faire vivre la misère aux gens autour de lui. Lui aussi débarque dans ce centre équestre, mais hors de question de devenir sage. Mordre, ouvrir les portes et libérer ses congénères sont ses activités principales et il prend un malin plaisir à rendre fous ces humains qui ne le comprennent pas.



Comme vous le savez (ou non), les chevaux et moi, c'est une grande histoire d'amour. Ayant fait 6 ans d'études dans ce domaine, il va sans dire que je commence à connaître ces bêtes imposantes et que je les aime très fort. Alors il était évident que ce livre, j'allais le lire. D'autant plus que le speech de base m'a beaucoup plu. Et avec ce livre, j'ai été surprise dès le départ, et dans le bon sens.



Tout d'abord, parce que je ne m'attendais pas à avoir deux points de vue et encore moins celui de Red, le cheval. C'est une excellente idée qu'a eu l'auteure, je dois bien l'avouer. Car on ne sait jamais vraiment ce que pense un cheval, et avoir son avis à lui, a apporté un gros plus au récit. On était dans sa tête, on comprenait mieux son comportement, on s'attachait donc mieux à lui. Et le second point c'est que chaque terme professionnel, qui n'est donc pas connu de tous, a son explication en bas de la page. Il est évident que si on parle à une personne qui ne connaît pas ce milieu de « chanfrein », « liste », « balzane », « toupet », « encolure », on risque d'avoir des yeux ronds et des questions. Eh bien l'auteure a pensé à ceux qui aiment les chevaux mais qui ne connaissent pas forcément les termes spéciaux de ce milieu, et rien que pour ça, je trouve ça vraiment génial.



Parlons tout de même un peu de l'histoire, non ? Par où commencer ? J'ai beaucoup aimé la relation qui se tisse peu à peu entre Merritt et Red. Une vraie amitié se crée entre eux et elle est vraiment belle. Au fil du temps, il finissent par ne plus pouvoir se quitter, et quand ils sont éloignés, ils ressentent ce manque douloureux. Mais en dehors de cela, Merritt essaye aussi de remonter la pente, suite à un bouleversement qu'elle a vécu quelques semaines plus tôt et qui la fait peu à peu sombrer et se refermer sur elle-même. De ce fait, le rapprochement avec Red est une bouffée d'air frais pour elle et lui permet de voir la vie d'une autre manière. D'une manière plus joyeuse, plus vivante. Quant à Red, cette relation lui offre un plus. Il voit que tous les humains ne sont pas tous pareils, que certains peuvent être gentils et attachés à eux. Et grâce à Merritt, il s'adoucit... un temps.



Car oui, par la suite, je dois avouer qu'il m'a déçue et même énervée. Il devient méchant, mesquin et ne se rend pas compte du mal qu'il peut faire autour de lui. Certes, il est très attaché à Merritt, mais être jaloux parce qu'elle se fait des amis, je trouve ça un peu abusé. Il n'y va pas de main-morte non plus pour ne l'avoir qu'à lui ! Et j'ai trouvé ça vraiment dérangeant et triste. De ce fait, mon attachement à lui s'est étiolé au fil des pages, mais l'histoire en elle-même a su me tenir jusqu'au bout, parce qu'à part leur relation, il y a une vraie intrigue qui est très intéressante et prenante à sa façon. Le domaine des concours était aussi très bien décrit, et j'ai retrouvé cette ambiance que j'ai pu connaître une ou deux fois, ça m'a vraiment fait replonger dans mon adolescence et fait comprendre que monter à cheval me manquait beaucoup.



En résumé, un livre qui a su me toucher par la relation humain/animal qui est très belle, très juste et très bien décrite. Un côté professionnel avec des termes spéciaux mais expliqués pour ceux qui ne connaissent pas était une excellente idée. Ainsi que d'avoir le point de vue de Red, permettant ainsi de savoir réellement ce qu'il pense et ressent. Quant à l'intrigue, elle nous tient jusqu'au bout et on veut savoir comment tout cela se termine. Je conseille cette lecture à tout le monde, autant ceux qui connaissent l'univers des chevaux comme les novices. Ce livre est vraiment accessible à tous ! Une bonne découverte pour moi, en tout cas.



Je remercie Camille et Michel Lafon pour leur confiance ! *



Justine P.
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Comme je n’ai jamais regardé la série, je ne savais pas du tout à quoi m’attendre avec ce roman. Finalement, même si ce n’est pas du tout de la grande littérature, je suis contente de l’avoir sorti de ma PAL.



Ce petit bouquin se lit très vite et est un très bon moment de détente entre deux grosses briques.



J’ai beaucoup aimé les passages de "Gossip Girl.net" qui entrecoupent l’histoire et qui nous permettent de nous plonger encore un peu plus dans l’univers Chick-Lit de cet ouvrage.



Au niveau des personnages, je n’ai pas réussi à m’attacher à un personnage en particulier mais je me suis beaucoup amusée à suivre leurs aventures et à me demander ce qui allait se passer pour eux.

Ce premier tome m’a convaincu de continuer à découvrir la suite si j’ai l’occasion de les trouver en occasion et pourquoi pas d’essayer de regarder un épisode de la série.



En bref, si vous aimez la Chick-lit et que vous cherchez un bouquin sans prise de tête pour vous détendre je vous recommande de découvrir le début de cette série.
Lien : http://lestribulationsdunele..

Donc, que dire? J'avoue avoir commencé ce livre avec pleins de préjugés dans la tête, notamment à cause de la série (j'ai vu qu'un épisode mais je l'ai trouvé nulle, chiante tout ça). Alors certes oui ça parle de niaiseries sur des riches, de sexe, d'alcool, d'argent, de drogue, de problèmes d'adolescents élevés dans des maisons avec piscine chauffée et autres jaccuzis, et non ça ne va pas changer la face du monde et ce n'est pas une histoire qui vole bien haut non plus. Cependant, j'ai été agréablement surprise, notamment par l'écriture qui est délicieuse. Assez sarcastique et cynique, on voit que l'auteur se moque elle même de ses personnages et c'est juste trop bons. Gossip Girl est une vraie garce, mais en même temps c'est le secret du "mais qui est-ce, comment fait-elle pour en savoir autant et blablabla", et puis j'ai trouvé les personnages marrants, et même pour certains plutôt sympa (du genre Serena, qui sort un peu du cliché de la fille populaire mais grosse pétasse hypocrite. Au contraire, elle est populaire, mais super gentille, et même plutôt naïve par certain côté, alors j'ai bien aimé). J'aimais aussi beaucoup Jenny et son frère Dan =D (j'ai longtemps hésité à savoir qui je préférais entre lui et Nate, mais vu la fin du livre, mon choix s'est évidemment porté sur Dan, il est TROP mignon en fait). J'ai également vachement apprécié la manière dont on avait pleins de point de vue différents, d'un côté par exemple les pétasses qui disaient du mal de Séréna (genre "ouais elle s'habille mal pour montrer que tout lui va"), et ensuite la version de Séréna qui pense qu'elle a mis la chemise de son frère parce que celui-ci lui manque. Donc chacun avait sa façon de voir les choses puis on avait le fin mot de l'affaire, et c'était bien foutu. Bref, ça passe le temps, ça se lit très vite et très facilement, c'est même pas si cucul que ça. Et puis franchement certaines phrases m'ont fait mourir de rire. Donc c'est à lire, au moins à essayer. Et je regrette pas.

C'est le premier roman que je lis de Cecily Von Ziegesar, mais j'avoue être fan de sa série Gossip Girl. Lorsque j'ai vue ce livre à la bibliothèque, j'ai tout de suite sauter dessus, m'attendant aux même genre d'intrigues...





Mais j'ai vraiment été déçue. Je ne crois pas que l'écriture en tant que tel soit en cause, car j'ai lue ce livre assez rapidement alors que je n'apportais pas grand intérêt à l'histoire.





J'ai trouver le tout complètement fade, il n'y a pas réellement d'intrigue, on nous relate de façon bien superficielle la vie d'une poignée de personnes toutes reliés au même collège.





Aucun des personnages n'a réellement su connecter avec moi. Comme le résumé l'explique si bien, les yeux de tous convoite Shipley, une grande blonde qui selon moi n'a rien de bien spécial.



En gros, ce n'était pas pour moi...

J'ai lu ce livre dans le cadre du Baby challenge Chick-lit sur livraddict.

Je n'ai jamais vu la série donc je ne savais pas trop à quoi m'attendre avec cette lecture.



Sexe, drogue, argent , célébrité ... voilà qui résume bien ce premier tome.

Nous sommes à new-york, mais pas avec n'importe quel genre de personnage, nous somme là dans le New-York huppé.

Serena, Olivia, Vanessa, Nate, Chuck et Dan : pour moi les personnages principaux.



L'histoire commence avec le retour de Serena qui était en pensionna en Europe. Son retour est le sujet principal et les ragots vont bon train.

Son amitié avec Olivia n'est plus ce qu'elle était ... Elle ne sera plus invité aux soirées ...

Et avec ça, Gossip girl, la personne qui tient le blog, ne va rien faire pour calmer le jeu ... Je dirais même qu'elle va jeter de l'huile sur le feu.



J'ai bien aimé cette lecture sans prise de tête, une écriture fluide, simple. Un livre qui se lit vite ...

si vous recherchez un livre bien pour la plage, le train, l'avion, la voiture ... il est fait pour vous!



Je reste encore septique quand à lire la suite ... J'ai bien peur que les autres tomes ne soient pas plus connvainquant voir moins ...



Je lui donne la note de 3/5

J’ai été longue à le lire, je n’ai pas tant accroché que ça 😔



Ce qui m’a attirée dans ce livre est l’autrice ! Un nouveau livre de l’autrice de Gossip Girl que j’avais adoré, il y a un petit paquet d’années : je devais le lire !



On suit 4 couples un peu loufoques qui ont la quarantaine et la cinquantaine. On a, entre autres, une ancienne rock star, une artiste, un inventeur, un auteur. On suit chacun des personnages dans leur réflexion souvent lunaire. Certains ont des enfants qui paraissent plus équilibrés (enfin, il y a quand même un enfant pyromane 🙄).



Je n’ai pas retrouvé ce qui m’avait tant plu dans les Gossip Girl. C’était peut être trop décalé pour moi. Trop de substances illicites également 🙈



Malgré tout, il se lit globalement bien dans le sens où je pouvais lire une cinquantaine de pages d’un coup, sans m’en rendre compte.



Mais j’ai été déçue, je m’attendais à autre chose. Et vous me connaissez : j’ai été déçue d’avoir été déçue !
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