Adriano n’est jamais parti. Ce qu’il vit à présent n’est donc pas un retour, mais une secousse. L’annonce d’une fièvre tropicale, violente et fugitive, telle une passion du bout du monde. Pour ceux qui tombent du ciel, l’aéroport d’Urbe est la banlieue agonisante d’une étoile.