Gontran est fermement décidé à trouver sa voie : il voudrait devenir cycliste mais à la première course, c'est bon dernier qu'il franchit la ligne d'arrivée !
Dans un coin de la cour d'école, sous le vieux tilleul, est assis Gontran le dragon. Il se sent très seul. On se moque toujours de lui, car il ne sait pas cracher de feu.
Il y avait une fois Jacques Côté, bûcheron de métier et malchanceux en général. Une fois Jacques Côté qui rencontre au dehors une bête qu’il a en dedans.
C’est une fois, trois fois peut-être, l’histoire qui se répète d’une histoire qui ne se produit pas. Sous le ciel de l’hiver, une histoire ben terrible où gît un livre de bois.
Jacques Côté avait déjà mangé. C’est ce qu’on appellerait plus tard l’ellipse de l’œuf. La scène ne rimait à rien. Elle avait été pour l’ensemble un ramassis inutile de mots échangés et d’impressions sans relief, et je ne peux d’ailleurs dire qu’elle ne le fut par ma seule faute, car à trop chercher l’exactitude quand il suffirait de me borner à l’essentiel, souvent je me retrouve à farfouiller dans les périphéries.
Pourquoi c’est toujours à lui que toute arrive, pourquoi pas à moé?
– Ben trouve-toi-z’en un beau grand livre, sa mére!