Depuis la découverte des corps de femmes en tchador, aucune disparition correspondant aux victimes n'avait été signalée à police. Comme si ces femmes assassinées n'avaient ni mère, ni père, ni frères, ni sœurs, ni mari, ni famille, ni amis, ni enfants...C'étaient des parias dont nul ne s'était inquiété ou que nul n'avait osé rechercher auprès de la police. (p.33)