Les mollets de Fezziwig étaient absolument comme deux astres. C'étaient des lunes qui se multipliaient dans toutes les évolutions de la danse. Ils apparaissaient, disparaissaient, reparaissaient de plus belle. Et quand le vieux Fezziwig et Mme Fezziwig eurent exécuté toute la danse : Avancez et reculez, tenez votre danseuse par la main, balancez, saluez ; le tire-bouchon ; enfilez l'aiguille et reprenez vos places ; Fezziwig faisait des entrechats si lestement, qu'il semblait jouer du flageolet avec ses jambes, et retombait ensuite en place sur ses pieds comme un I.