Le mieux, pour cela, à son avis de policier, c’était encore l’assassinat pur et simple du président, attentat que l’on transformerait, selon les réactions de l’opinion en un geste héroïque inspiré par l’amour de la liberté, ou en un acte odieux, dont on attribuerait la responsabilité aux impérialistes ou aux communistes, selon le sens d’où soufflerait le vent guatalpatèque à ce moment-là.