Comment pouvons-nous parents, enseignants, éducateurs limiter le développement du burn-out chez les enfants? Au lieu, de se focaliser sur le temps accordé aux devoirs, les auteurs nous invitent en prenant appui sur plusieurs recherches en psychologie, à préférer se concentrer sur le but de ce travail et sur le sens que l’on souhaite lui attribuer.
Le redoublement est également questionné. Selon plusieurs études, il serait inefficace car il ancrerait « un sentiment d’échec chez l’élève et ne tient pas compte de la diversité de ses acquis ».
Si la psychologie a trois missions distinctes: soigner la maladie mentale, faire en sorte que la vie de chacun soit plus épanouie, et détecter et développer les talents, et si on considère qu’elle s’est détournée de sa deuxième mission, voire de la troisième, la vocation de la psychologie positive est donc non seulement de prendre en charge la souffrance mais aussi de détecter et de développer les talents.
Dans une certaine mesure, les psychologues ont considéré les êtres humains comme des créatures plus ou moins passives : un stimulus survenait et provoquait des réponses. Les renforcements externes affaiblissaient ou augmentaient les réponses. Ils croyaient que pulsions, besoins, instincts et conflits de l’enfance bousculent chacun d’entre nous.
Le corps humain est organisé par un squelette de 206 os qui se rejoignent au niveau des articulations. Environ 600 muscles permettent les mouvements de toutes sortes.