« Le suffrage universel est notre maître à tous. Quand il a fait entendre sa
voix, chacun doit s'incliner devant son verdict. » C'est un fait que nul ne s'incline. On s'incline devant la force. Mais le vaincu hait le vainqueur à proportion de sa victoire. Il travaille à la tourner et à la fausser.
Le citoyen use du vote pour sa commodité du jour. Il n'use
pas du vote pour s'imposer une contrainte ou pour assumer un fardeau public.