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2.96/5 (sur 81 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

Charlie Jane Anders est une écrivaine américaine de science-fiction et de fantasy.

Elle est la fondatrice et la coéditrice, avec Annalee Newitz, du blog de science-fiction io9. Elle a quitté ses fonction en avril 2016 pour se consacrer totalement à l'écriture de fictions.

Sa nouvelle "Six Months, Three Days" a remporté le prix Hugo de la meilleure nouvelle longue 2012.

Son premier roman de science-fiction, "Tous les oiseaux du ciel" (All the Birds in the Sky, 2016), a remporté le prix Nebula du meilleur roman 2016 ainsi que le prix Locus du meilleur roman de fantasy 2017.

Elle vit avec sa compagne Annalee Newitz depuis 2000.

son site : http://charliejane-anders.tumblr.com/
Twitter : https://twitter.com/charliejane

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The Paranoid Optimist | Charlie Jane Anders | TEDxHarvardCollege


Citations et extraits (16) Voir plus Ajouter une citation
La société, c'est le choix entre la liberté aux conditions d'un tiers ou l'esclavage que l'on s'inflige soi-même.
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- (...) Je ne peux utiliser que des décès soudains et dont l’influence se fait sentir.
- C’est une règle débile.
Jemima hausse les épaules.
- C’est une science qui ne sera inventée que dans plusieurs siècles. Comme je t’ai expliqué il s’agit que de distorsions causale. La causalité est comme une toile qui nous maintient tous ensemble, mais dans laquelle apparaissent parfois des trous par lesquels on peut se glisser.
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Il se dit que le carrelage sous ses pieds était vraiment déprimant. Quelqu'un le lavait tous les jours, et il brillait pendant une heure, le temps de sécher, puis, après le passage de centaines de gamins, il redevenait collant et couvert de traces de cire. Au final, il paraissait sans doute plus sale que si on ne l'avait pas nettoyé.
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Ils convirent tacitement qu'ils passeraient la nuit ensemble lors de leur troisième rendez-vous ; Sérafina avait une brosse à dents et des préservatifs dans un étui de son sac à main en vinyle à l'effigie de Twiki, le robot de Buck Rogers. Conseil de pro : éviter de penser à "bidi bidi bidi" quand on fait l'amour la première fois avec la femme la plus belle du monde, au risque de devoir ensuite quelques explications (même si le mouvement qui agite le cadre du lit évoque le rythme de ce "bidi bidi").
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C'est dingue ce qu'on peut apprendre sur les gens rien qu'à leurs pieds dit-elle. Les chaussures dévoilent tout.
- Mais pas dans notre cas, dit Laurence. Nos godasses n'ont rien de particulier. Elles n'évoquent rien sur nous.
- Parce que ce sont nos parents qui les choisissent. Tu verras, quand nous seront adultes, nous aurons des chaussures démentes.
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- Vous pensez que bruler une sorcière de temps en temps permet de maintenir la cohésion de la société ?
(...)
- En fait, une société qui doit bruler des sorcières pour maintenir sa cohésion ne fonctionne déjà plus, même si elle ne le sait pas encore.
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Et oui, une telle merveille d’ingénierie pouvait être à la fois belle et gratifiante. Brillante et robuste. Elle ressentait la même affection pour cet engin que pour les vieilles machines à écrire que vendait la galerie hipster sur Valencia ou pour un joli moteur à vapeur. Ces choses naissaient d’un excès d’orgueil, parce qu’elles finissaient toujours par cesser de fonctionner, ou pire, par tout casser. Mais peut-être que Laurence avait raison et que ces appareils rendaient les êtres humains uniques. Nous fabriquions des machines, de la même façon que les araignées produisent de la soie.
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Les enfants, dit Theodolphus Rose avec un sourire, sont des adultes qui n'ont pas encore appris à manipuler la peur.
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La librairie ne sentait pas le " vieux livre " moisi et dégageait une agréable odeur de chêne qui devait ressembler, se disait Laurence, à celle des tonneaux de whisky avant que l'on y verse le liquide pour le faire vieillir. C'était un endroit parfait pour prendre de l'âge.
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Mais la jeune fille sentait que leurs cœurs blessés ne laissaient planer aucun doute : à la moindre occasion de s'intégrer à un groupe de personnes qui leur ressemblaient, ils n'hésiteraient pas à se détourner l'un de l'autre. (...) Elle comprit que cela résumait bien ses relations avec lui. Il se montrait amical et la soutenait tant qu'il avait l'impression de vivre une grande aventure. Mais dès que les choses coinçaient ou prenaient une tournure bizarre, il se détournait.
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