Moi, Grande Royale, je n'aime pas l'école étrangère. Je la déteste. Mon avis est qu'il faut y envoyer nos enfants cependant. L'école où je pousse nos enfants tuera en eux ce qu'aujourd'hui nous aimons et conservons avec soin... Ce que je propose c'est que nous acceptions de mourir en nos enfants et que les étrangers qui nous ont défaits prennent en eux toute la place que nous aurons laissée libre.
L'école étrangère est la forme nouvelle de la guerre que nous font ceux qui sont venus
Nos meilleures graines et nos champs les plus chers, Ce sont nos enfants
L'école où je pousse nos enfants, tuera en eux ce qu'aujourd'hui nous aimons et conservons avec soin, à juste titre...
La parole se suspend, mais la vie, elle, ne se suspend pas.
J'ai choisi l'itinéraire le plus susceptible de me perdre.
L 'école où on pousse nos enfants ,tuera en eux ce qu'aujourd'hui nous aimons et conservons avec soin ,à juste
titre .
En parlant des français:
"- Maître, ils n'ont plus de corps, ils n'ont plus de chair. Ils ont été mangés par les objets. Pour se mouvoir, ils chaussent leurs corps de grands objets rapides. Pour se nourrir, ils mettent, entre leurs mains et leur bouche des objets en fer..."
un roman est miroir que' on promène le long du chemin
La mer! Voici la mer! Salut à toi, sagesse retrouvée, ma victoire! La limpidité de ton flot est attente de mon regard. Je te regarde, et tu durcis dans l'Etre. Je n'ai pas de limite. Mer, la limpidité de ton flot est attente de mon regard. Je te regarde, et tu reluis, sans limites. Je te veux, pour l'éternité.