Il n'y a que le face- à -face qui soit vrai. Il n'y a que le face- à -face entre deux personnes, l'haleine, le souffle, les yeux, les cils qui puissent révéler de vrais états d'âme. Pas la peine de parler, pas besoin de langage, celui qui, justement, a besoin de consoler: seul ce genre de consolation , fruit d'une convergence naturelle, est à même de chasser les soucis et la peur. (p. 134)