Ô Olisabinigwe, les glorieux anciens disent que, lorsqu'un homme pénètre en pays inconnu, il redevient un enfant.
Ô Egbunu, le silence est souvent la forteresse où se réfugie l'homme brisé, car c'est là qu'il peut communier avec son esprit, son âme et son chi.
pp. 215 et 248