Ce que nous racontons est comme le milieu d’un énorme boa, qu’un ignorant prend pour un tronc d’arbre et sur lequel il s’installe pour une prise de tabac… Oui, nous attaquons notre petite histoire, les yeux fous et la langue déliée…. L’histoire survit à la guerre et au guerrier, parce qu’elle se poursuit lorsque les tambours de guerre se sont tus avec les exploits des combattants intrépides … l’histoire est notre maitre et nous conduit.