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Critiques de Chloe Liese (23)
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Des étincelles sous le gui

Des étincelles sous le gui et dans mon coeur !

Une lecture parfaite pour la fin d'année qui m'a vraiment comblée. De l'humour, de l'amour, des étincelles, la magie de Noël dans un cadre idyllique (une librairie).

Jonathan Frost et Gabby Di Natale (j'adore les noms de famille) travaillent dans la même librairie, la librairie des bailey's. Ils sont aussi différents que le blanc et le noir. De caractères très différents, la tension s'accroit lorsque la librairie connaît des déboires financiers (concurrence de gros groupes plus achat en ligne). L'un des deux risque de perdre son travail. Jonathan et Gabby ont un mois pour remonter le chiffre d'affaires.

Si Jonathan tape sur les nerfs de Gabby, il ne la laisse pas du tout indifférente ce qui l'énerve encore plus.

J'ai adhéré à 200%. l'ambiance de Noël. Les idées pour donner vie à la librairie (j'ai trouvé ça génial).

Les deux héros ont des spécificités que j'ai beaucoup appréciées. Plutôt rares. J'ai trouvé que cela changeait vraiment et donnait pas mal de peps au récit.

Je remercie Babelio et les éditions Kobo pour cette lecture et leur confiance renouvelée.



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Des étincelles sous le gui

Pour cette dernière masse critique Kobo de l’année, quoi de plus normal qu’une belle romance en pleines fêtes de fin d’année.

C’est donc sous le gui de la librairie des Bailey’s que Jonathan et Gabby, co-gérants de la boutique, vont trouver l’amour. Et pourtant on ne peut pas dire que ces deux là s’entendent très bien. Tout est parti de travers entre eux depuis le début. Lui est un bougon, rigide et directif, chargé de redresser le bilan financier désastreux de la librairie, elle est d’une nature extrêmement sensible, créative et entière. Ils sont tous deux à l’opposé, mais ne dit-on pas que les opposés s’attirent.

Charmante romance à lire pour les fêtes de Noël. Le thème du handicap et de la différence y sont abordés en toute délicatesse. Il est vrai que certaines situations ne sont pas toujours comprises comme elles le devraient quand on ne sait pas lire les codes sociaux.

La majeure partie du livre est narrée par Gabby, Jonathan ne donnant son ressenti qu’à la fin. C’est agréable, facile à lire, un joli moment de détente. Et surtout l’histoire se passe dans un lieu qui nous fait tous rêver, nous lecteurs passionnés : une librairie. On s’y sent chez soi et à l’abri en compagnie de nos chers livres.

Et l’enjeu est de taille, faire survivre une petite librairie indépendante face aux grosses chaînes du livres. Un gros défi pour Jonathan et Gabby.

Encore un gros merci à Babelio et la masse critique spéciale Kobo Originals pour ce dernier livre de l’année. L’opération aura été un bon moment de découvertes de romances contemporaines.





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Des étincelles sous le gui

Je remercie Original Kobo de m’avoir permis de lire Des étincelles sous le gui de Chloe Liese en échange de mon avis. Et je remercie Svet Mori d’avoir accepté de relire mon avis avant sa parution afin de vérifier que certains de mes propos n’étaient pas blessants pour les personnes autistes, n’ayant pas accroché à l’héroïne elle-même autiste. Bien sûr, chaque personne est différente et aucun avis n’est universel, mais je tenais à avoir l’opinion d’une personne concernée.



Adorant les romances enemies to lovers et les livres, le résumé et la couverture Des étincelles sous le gui m’ont tout de suite attirée. Malheureusement, et je suis la première à le regretter, la magie n’a pas opéré. J’aime quand les personnages se titillent et se chamaillent, or ici, la seule personne à vraiment se chamailler est Gabby qui se montre extrêmement agressive envers son collègue et co-dirigeant de la librairie indépendante dans laquelle elle travaille. Quoi qu’il fasse, elle lui prête systématiquement les pires intentions, l’érigeant en grand ennemi, quand il aurait été plus avisé d’en faire un allié pour sauver la librairie au bord de la ruine.



Il faut dire que Gabby et Jonathan sont les opposés. La première est créative, adore Noël et se montre toujours prête à donner de bons conseils aux clients ; le second est plus froid et rationnel, cherchant à faire des économies quitte à contrecarrer certains projets de Gabby. Chose que la jeune femme vit comme une attaque personnelle alors qu’il s’agit avant tout de décisions professionnelles basées sur le rapport coût/bénéfice. Ce manque de recul, d’analyse du contexte économique ultra concurrentiel et la mauvaise foi de Gabby ont eu le don de régulièrement m’agacer, et de me faire louer la patience de Jonathan, qui tente juste de rendre la librairie pérenne, sans pour autant sacrifier son âme représentée à merveille par Gabby.



Heureusement, au fil des pages, Gabby semble réaliser que ses préjugés et ses appréhensions, que l’on ne peut que comprendre à mesure qu’on apprend à la connaître, tendent à déformer le miroir de la réalité… Bien que je n’aie pas réussi à m’attacher à Gabby, j’ai apprécié que l’autrice aborde le thème de l’autisme à travers son héroïne, d’autant qu’il s’agit d’un roman ownvoices. Je me suis parfois reconnue dans certaines des réactions de Gabby, notamment au niveau des interactions sociales, et sa tendance à se montrer vraiment elle-même derrière un écran. J’ai également apprécié son évolution et celle de sa relation avec Jonathan, un personnage dont la construction et la personnalité m’ont beaucoup plu.



Loin d’être l’homme froid que Gabby dénonce, c’est un homme qui a les pieds sur terre, ce qui ne l’empêche pas de démontrer une certaine sensibilité et compréhension, même partielle, des schémas de pensée de sa collègue. Nous sommes dans une romance de Noël, alors on se doute de comment l’histoire va se terminer, mais cela ne nous empêche par de lire avec attention leurs échanges, leurs regards et leur rapprochement autant physique qu’émotionnel. J’ai néanmoins regretté que l’autrice abuse de certaines répétitions du style « il scrutait ma bouche », « sans quitter ma bouche du regard » qui m’ont fait lever les yeux au ciel. J’ai tendance à me focaliser sur certains détails, mais cela ne gênera probablement pas la majorité des lecteurs, qui devraient apprécier cette romance de Noël réunissant les ingrédients inhérents au style, tout en mettant en scène une héroïne différente. L’autrice propose également une sous-intrigue avec une amitié amoureuse sur Internet cousue de fil blanc, mais qui apporte une certaine tension, puisque contrairement à Gabby, les lecteurs en comprennent vite les tenants et aboutissants, ainsi que les éventuelles implications…



Quant à l’écriture de Chloe Liese, elle est accessible, fluide et légère, rendant la lecture facile qu’on adhère ou non aux personnages. Pour ma part, j’ai beaucoup apprécié les propriétaires de la librairie et les amis de Gabby que j’adorerais retrouver dans des tomes compagnons. Il y a matière à de savoureux échanges et de nouveaux moments emplis de complicité et d’humour. De la même manière, tout le décorum est fort sympathique, a fortiori quand on aime les livres et qu’on est attaché à la défense des librairies indépendantes et à leur charme si particulier. Sans retrouver la finesse de l’analyse de Zola dans Au bonheur des dames, on retrouve cette lutte des petits commerces contre des mastodontes à la stratégie marketing rodée et aux moyens financiers importants, qui se montrent prêts à tout pour écraser la concurrence. Mais c’était sans compter sur l’association redoutable de la créativité et du sens inégalé du service client de Gabby à la rationalité économique de Jonathan, mise service des livres et de la librairie et non de l’uniformité culturelle et du profit à tout prix !



En conclusion, Des étincelles sous le gui de Chloe Liese devrait plaire aux amoureux des livres et aux lecteurs attachés aux librairies indépendantes, à la qualité de leur service, à la personnalisation de leurs conseils et à leur charme si particulier. Mais ce roman devrait également ravir les amateurs de romance de Noël qui aiment les histoires où l’amour est sublimé par cette période propice au rapprochement, même entre deux personnes qui, a priori, n’ont rien en commun. N’ayant pas réussi à m’attacher à l’héroïne, je n’ai pas ressenti les petits frissons que j’attendais, mais j’ai apprécié de découvrir une histoire ownvoices mettant en scène une héroïne autiste dans un contexte professionnel qui me fait rêver, celui d’une librairie. Emplie de beaux sentiments et d’importants messages, de moments de partage, d’amour et d’amitié, une romance parfaite pour se plonger dans l’ambiance des fêtes de fin d’année. 
Lien : https://lightandsmell.wordpr..
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Des étincelles sous le gui

Septième et dernier livre de l'opération Masse Critique Kobo Originals, opération qui m'a permis de lire des livres que je n'aurais jamais lus autrement.



Une romande de Noël, ma foi, pourquoi pas.

Le cadre en est une librairie de quartier mise en danger depuis l'implantation d'une librairie appartenant à une grande chaîne.



Petite librairie dirigée par deux employés qui ne s'entendent pas du tout.



Cela me rappelle vaguement quelque chose, mais oui bien sûr, c'est évident, tout cela ressemble très fort au film "Vous avez un message".



Je pensais vraiment passer un bon moment avec ces deux personnages qui vont forcément tomber amoureux à un moment où l'autre.



Hélas, trois fois hélas, il ne se passe pas grand chose et on est loin, très loin de l'ambiance romantique et drôle de ce film dont le livrer semble s'inspirer.



Une héroïne définie comme autiste, hum hum, je sais bien que c'est à la mode mais Gabriella me semble presque neurotypique dans la façon dont elle agit.



Le héros est supposé être intelligent mais se conduit comme un parfait abruti lubrique.



Les deux derniers chapitres sont muy caliente, avec des dialogues complétement affligeants de débilité.



Une romance ? Vraiment ?



Mille mercis à Babelio et à Kobo originals pour cette Opération Masse Critique qui a égayé cette année 2022.
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Des étincelles sous le gui

Voici mon retour sur le dernier ebook reçu dans le cadre de la #massecritiquebabelio #kobo



Gabriela et Jonathan sont co-gérants de la Librairie Bailey. Il ne s’agit pas d’un couple. Ils sont plutôt comme chien et chat. Mais les propriétaires ont fait ce choix pour leurs compétences respectives, à la fois nécessaires et complémentaires pour faire tourner la boutique.



Gabriela est une fille sensible et créative, qui bouillonne d’idées pour animer la librairie et attirer la clientèle. Jonathan a plutôt le profil du gestionnaire, avec un côté bougon et rigide dès qu’il s’agit de dépenses et de budget.



Mais lorsque les propriétaires les alertent sur la situation financière désastreuse de la librairie, et leur demandent de tout mettre en œuvre pour qu’elle reste à flot, au lieu d’unir leurs forces pour faire bloc, ils s’engagent dans une course du « chacun pour soi » qui décidera de leur avenir au sein de la librairie.



Jusque là tout allait bien et se dessinait déjà dans ma tête le chemin « convenu » qu’allait emprunter cette romance de Noel. J’ai même pensé qu’elle serait au dessus du lot quand j’ai découvert que l’autrice plaçait en toile de fond le thème du handicap « invisible » , cette différence qui ne se détecte pas d’un seul regard.



Mais rapidement certaines scènes et échanges entre Gabriela et Jonathan m’ont renvoyé des portraits de gamins immatures plutôt que d’adultes responsables dont l’avenir professionnel est menacé. Du coup je suis sortie du charme de la romance sans avoir pu m’attacher aux personnages.



Ca reste une romance qui respecte les codes du genre, légère et facile à lire. Et si ça n’a pas matché avec moi, ça matchera peut être avec vous. Un ressenti est toujours très personnel.



🔥🔥 🔥 Les scènes de la fin du roman sont par contre celles d’adultes et même « d’adultes consentants ».

Remarquez, en cette période de restriction énergétique, c’est peut être une solution pour se réchauffer sans faire tourner le compteur 😂😜
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Des étincelles sous le gui

Des étincelles sous le gui est le septième et dernier roman que j'ai eu l'opportunité de lire dans le cadre de la masse critique Babelio x Kobo Originals, je remercie donc Babelio ainsi que Kobo de m'avoir permis de le découvrir.



Sur le papier, Des étincelles sous le gui avait tout pour me séduire : une romance, de Noël, (donc parfaite pour la saison), se déroulant au sein d'une librairie indépendante ! La fan de Noël et de livres que je suis ne pouvais rêver mieux et j'étais impatiente de m'y plonger.



Malheureusement, je suis ressortie de cette lecture un peu mitigée. Certaines choses m'ont plu, d'autres en revanche ont peiné à me convaincre.



Mais commençons par le positif : j'ai beaucoup aimé la plume de l'autrice, que j'ai trouvée fluide et agréable. Le roman se lit vraiment tout seul, ce qui est toujours plaisant.



J'ai également particulièrement aimé le fait qu'il mette en scène une héroïne neuro divergente, à l'orientation sexuelle peu souvent représentée en littérature (du moins c'est la première fois que je croisais un personnage de cette orientation dans une de mes lectures). Et j'ai trouvé ça d'autant plus intéressant car je ne connaissais la demi-sexualité que de nom avant de lire ce livre, il m'a donc permis d'en apprendre davantage sur le sujet. De plus, le fait que l'autrice sache de quoi elle parle, étant elle-même concernée, est également appréciable.



Mais malheureusement, en ce qui concerne l'histoire, je n'y ai pas adhéré plus que ça. Elle se résume à peu de choses près à l'attirance et au désir dévorant de Gabriella pour Jonathan, qu'elle a pourtant en horreur, avec en toile de fond le destin incertain de la librairie dans laquelle ils travaillent tous les deux en tant que co-gérants.



D'une manière générale, ce qui m'a le plus dérangée c'est que j'ai eu beaucoup de mal à cerner les personnages. Par exemple, je ne suis jamais parvenue à déterminer quel âge pouvait avoir Jonathan : parfois j'avais l'impression qu'il avait la vingtaine, puis dans le chapitre suivant la quarantaine en fonction de la façon dont il se comportait ou s'exprimait. Je sais que ce n'est pas très important en soi, mais ça m'a tout de même empêchée de me faire une idée précise de lui. Surtout si on ajoute à ça le fait que la description qu'en fait Gabriella ne colle pas du tout avec l'impression que j'avais de lui.



D'ailleurs, j'ai également eu du mal à adhérer à la relation entre Gabriella et Jonathan, car je ne comprenais pas pourquoi elle le détestait à ce point. Elle avait beau le décrire comme détestable, froid, calculateur et j'en passe, je n'ai jamais réussi à percevoir ça chez lui, ce qui m'a un peu laissée perplexe. J'avais bien en tête que l'une des caractéristiques du trouble de Gabriella est la difficulté à lire et cerner les gens, mais même comme ça, son ressenti sur Jonathan était difficile à comprendre pour moi.



Je l'ai d'ailleurs trouvée incohérente à plusieurs reprises (et ce, toujours en prenant en compte ses spécificités), ce qui m'a un peu gênée. Je reconnais que je n'ai que peu de connaissances sur l'autisme, et c'est peut-être pourquoi certains de ses comportements m'ont paru paradoxaux alors qu'ils ne l'étaient pas forcément, mais en me basant sur ce qu'elle décrit de ses particularités et de la façon dont elle fonctionne, j'ai trouvé que sa façon d'agir ou de penser ne correspondait pas toujours à ce qu'elle expliquait quelques pages plus tôt, et j'ai donc eu un peu de mal à la comprendre. Et même si les détails que j'ai trouvé incohérents sont justifiés par la suite, ça m'a laissé un sentiment de maladresse dans la manière dont les éléments sont amenés.



En réfléchissant, je me suis dit que c'était peut-être une façon pour l'autrice de nous faire vivre ce que traverse Gabriella chaque jour de manière efficace et immersive. On partage sa confusion et ses difficultés à déchiffrer la communication non-verbale des autres. Si c'était volontaire, alors c'est effectivement très réussi car j'ai eu autant de mal que Gabriella à percevoir la véritable personnalité de Jonathan. Dommage que je ne puisse pas savoir avec certitude.



En tout cas, en raison de cette incompréhension, il m'a fallu la moitié du roman avant de commencer à apprécier les personnages, ce qui est un peu long. J'ai cependant fini par les trouver un peu plus attachants à la fin du livre.



En conclusion, malgré un pitch prometteur qui avait tout pour me plaire, des personnages atypiques et de bonnes idées, Des étincelles sous le gui a finalement été une lecture en demi-teinte pour moi. Malgré les détails qui m'ont paru incohérents, l'ambiance était plutôt plaisante et l'histoire ne m'a pas déplu, j'ai même passé un plutôt bon moment en la lisant. Je regrette juste de ne pas avoir davantage apprécié les personnages.
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Des étincelles sous le gui

Dernier livre de l'opération masse critique Kobo Originals, cette fois-ci, c'est une lecture de saison puisqu'il s'agit d'une romance de Noël.

Jonathan Frost, qui porte bien son nom, et Gabriella Di Natale, qui adore Noël, travaillent tous deux à la librairie Bailey. La situation financière étant désastreuse, il va falloir mettre les bouchées doubles s'ils ne veulent pas que l'un d'entre eux se retrouve au chômage. Ils décident que celui qui vendra le plus de livres en décembre gardera le poste, la compétition est lancée et tous les moyens sont bons pour gagner. Tandis que Jonathan passe beaucoup de temps sur l'ordinateur, Gabby fait tout son possible pour rendre la librairie accueillante et y organiser divers événements dans un cadre chaleureux.

Gabby est autiste et de son côté Jonathan a un autre problème que je vous laisse découvrir. Quelques aspects de l'autisme sont bien décrits, mais il est évident que Gabby je souffre pas d'une forme d'autisme sévère.

J'ai aimé passer du temps dans la librairie avec ces deux personnages que tout semble opposer, mais bien entendu, j'ai rapidement vu ce qui allait se passer. La fin du roman se devine trop facilement à mon goût...

Une lecture sympathique en cette période de l'année, mais j'émets des réserves sur certains passages ''torrides'' des derniers chapitres dont on aurait vraiment pu se passer.

Je remercie Babelio et Kobo Originals pour ces lectures qui ont agrémenté mon année.
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Des étincelles sous le gui

Dernier livre reçu du partenariat entre babelio et Kobo original. Une belle année de découvertes d'auteurs, une incitation à lire leurs autres livres ou les suites de ceux reçus. Merci beaucoup d'avoir pu partager cette année quelques impressions entre nous.



Gabriella est une jeune femme autiste, son état doit être a priori léger mais provoque des problèmes de compréhension avec les autres. Les ressentis sont assez présents pour nous interpeller sur les neuro divergents. L'autrice le fait d'autant plus qu'elle est elle-même concernée. Je pensais tomber sur une simple romance de Noël avec des ennemis to loyers. Mais là les ennemis sont plus dans l'esprit de Gabriella, elle prend mal toutes les actions de Jonathan. Lorsque l'on s'intéresse à son personnage sans se focaliser sur les ressentis de Gabriella, on se rend compte qu'il s'agit d'un homme très prévenant, soucieux de rentabiliser la petite librairie. Mais on est loin du loup arrogant et très libéral des ressentis de Gabriella. J'ai pu également découvrir la demi sexualité, attirance seulement en cas de sentiments. Tout un aspect des sentiments et impressions des protagonistes inattendu.



Une plume fluide, une histoire un peu en décalé par rapport à nos romances de Noël classiques. Une belle découverte pour finir le partenariat avec Kobo original
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Des étincelles sous le gui

Je termine mon expérience d'ambassadrice de la Masse-Critique Babelio x Kobo en beauté. J'ai adoré découvrir chaque romance sélectionnée. Triste que ce soit finit mais heureuse d'avoir été choisie. Une romance de Noël pour le moins originale pour terminer cette aventure tombait à pic. J'ai découvert l'histoire de Gabriella et Jonathan ainsi que leurs profils atypiques pour la norme de la société. J'ai adoré l'importance et la manière de traiter les différences, étant moi-même hypersensible, ayant des problèmes d'interactions sociales... Je me suis beaucoup retrouvée en Gabriella, comme si elle était un reflet de moi-même. Une romance qui pour ma part manquait d'alchimie, de cohésion notamment vers la fin.



Comme tous les jours et plus encore en période de fêtes, Gabriella commence sa journée à la librairie Bailey avec sa petite routine journalière, à savoir un cacao chaud à la menthe poivrée. Tout semble idyllique si ce n'était Jonathan Frost, co-gérant avec elle de la plus ancienne librairie indépendante de la ville. Douze mois à supporter cet ours mal léché qui lui fait des remarques. Comme si ça ne suffisait pas, une chaîne de librairies s'est implantée dans le quartier mettant la librairie et son emploi en danger. Gabriella sait que Jonathan est l'employé parfait et a plus de chances qu'elle de conserver son emploi.



Un duel professionnel commence, une attirance également ainsi que le harcèlement de l'ex de Gabriella, Trey Potter dont la famille tient la chaîne de librairies concurrente. Grâce à ses amis, June et à Elie, Gabriella apprend à mieux appréhender, comprendre les relations humaines et notamment les relations amoureuses.



Ses échanges avec Mr Reddit pourraient-ils évoluer vers de l'amour ?



Les difficultés de la librairie face à la concurrence vont les amener à travailler ensemble pour éviter sa fermeture et ce malgré leurs désaccords.



Un défi va les pousser à se surpasser qui amènerait à une trêve bienvenue.



Qui fera le plus de ventes de livres ?



Jonathan découvrira-t-il qui se cache derrière sa mystérieuse correspondante ?



Un match de hockey va donner un coup de pouce du destin à leur relation pour le moins difficile. A moins que leurs différences ne cachent quelque chose de plus...



Une attirance que tous les deux se refusent par peur de leurs secrets.



De la rivalité à l'amour, il n'y a qu'un pas...



Jonathan Frost :



Adore les polars et a le sens du détail.

Appelle sa co-gérante Miss Di Natale et lui fait des remarques.

Ne sait pas que Gabriella est autiste mais connaît ses habitudes.



Gabriella Di Natale :



Co-gérante avec Jonathan Frost, se sent inférieure à lui si normal.

Est autiste, se sent antisociale et a une chatte Gingerbread.

Adore les romances, Noël et est chocoholique.

A apporté une âme à la librairie.

A peur de perdre son emploi.

Trouve Jonathan intimidant et arrogant.

Dialogue avec Mr Reddit de livres sur Telegram.



Comment en arrive-t-on à mentir par peur de ne pas être accepté, d'être jugé différemment et que la société dans laquelle on vit traite différemment les gens qui ne sont pas dans la norme.



Une romance de Noël originale emplie de sensibilité, de sentiments et traitant de sujets importants (handicap, autisme, diabète...). Malgré tout, je n'ai pas ressenti une alchimie entre les personnages, l'évolution de leur relation et je n'ai pas réussi à cerner Jonathan. Je me sentais plus proche de Gabriella au niveau de ses émotions, de la manière dont elle essaie de s'adapter à la société tout en restant elle-même.



Une romance à découvrir dans l'ambiance de Noël, bien sûr !



Une romance de Noël originale et séduisante !



Quand les différences vous rassemblent et qu'un bonheur est possible !
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Des étincelles sous le gui

Ils ne s’aiment pas et pourtant ils sont obligés de se supporter puisqu’ils travaillent ensemble.



Gabriella et Jonathan gèrent une librairie. Malheureusement, lorsque les propriétaires viennent leur rendre visite, les nouvelles ne sont pas bonnes. La librairie ne génère pas assez de revenus. Ils ne vont pas pouvoir les garder tous les deux.



Gabriella et Jonathan vont se déclarer la guerre. Celui qui fera le plus de vente en décembre gardera son job. Alors que le meilleur gagne...







Dernière lecture dans le cadre des masses critiques en partenariat avec Kobo.



Cette fois-ci on part sur une comédie romantique et ambiance de Noël.



Une lecture qui offre ce que l’on attend de ce genre de livre : détente, légèreté et divertissement.



Quand j’ai lu que l’héroïne était autiste, je m’attendais à plus de profondeur. Ce trait de personnalité n’est finalement pas du tout travaillé et mis en avant ici. C’est bien dommage. Je pense que ça aurait permis au livre de se démarquer.



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Des étincelles sous le gui

Cette romance de noël est vraiment atypique parce qu’elle aborde le handicap avec ce regard honnête, un brin dérisoire. Alors je ne vais pas vous dire de quoi il s’agit parce que cela enlèverait un brin de suspense.





Gabby adore les livres et travailler dans cette librairie à taille humaine et chaleureuse est le graal. Malgré ses particularités, elle se sent épanouie et ne manque pas d’idées originales pour faire vivre ce lieu. Son collègue de travail a tout du grincheux contrôle freak. Sa présence : rendre la librairie rentable et éviter sa fermeture.





Leur relation est aussi glaciale que le blizzard et leur inimitié est leur leitmotiv quotidien.





Cette romance « ennemies to lovers » m’a happé dès le départ. J’adore les rouages de leur relation et surtout le personnage de Gabby pour laquelle j’ai ressenti un attachement immédiat. Il n’y a pas de véritables rebondissements mais tous les éléments s’enchainent et s’accordent à la perfection. J’ai tout de même deviné rapidement « la petite anguille sous roche » mais cela ne m’a pas empêché de suivre avec avidité l’évolution de leur histoire. L’aspect du handicap n’est pas repoussant. Au contraire j’ai retrouvé certains aspects qui font écho à ma vie. La dimension humaine est importante et découle sur l’acceptation de la différence et la tolérance. C’est une histoire qui met du baume au cœur et l’esprit de noël est vraiment omniprésent. J’ai été décontenancée par la fin où je ne m’attendais pas à quelque chose de cette ampleur mais loin de me rebuter.





Une romance de noël agréable et très touchante.
Lien : https://misschocolatinebouqu..
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Des étincelles sous le gui

Ambiance Nöel assurée !

Gaby est une jeune femme pleine de ressources qui adore les fêtes de Noël, elle co-gère avec Jonathan la librairie de quartier qu’on imagine bien douillette avec des étagères en bois, des fauteuils et une cheminée. Le seul problème est qu’ils ne s’entendent pas du tout et c’est une guerre sans merci au quotidien. Jonathan est froid, grincheux et cherche absolument à faire des économies et donner une touche de modernité à la librairie en question. Vient le moment où les patrons les informent que la librairie est au bord de la faillite. Ils décident de faire un défi à celui qui vendra la plus de livre et j’imaginais une guerre sans merci avec des coups bas et malheureusement ce n’était pas vraiment le cas. C’est le moment où ils ont décidé d’établir une « trêve » et où l’ambiance était plutôt « fleur bleue » et c’est vraiment ce qui m’a manqué. J’imaginais vraiment une comédie romantique avec cet aspect comédie et des événements décalé et non c’était plutôt une romance de noël qui se laisse lire facilement, qui nous guide vers la fin que nous devinons mais qui reste bien chamallow. Donc pour se mettre dans l’ambiance pourquoi ne pas déguster cette romance de Noël avec un chocolat chaud (avec de la menthe et de la chantilly pour faire comme Gaby) et des biscuits de Noël. Je remercie Babelio et Kobo orignals pour cette dernière lecture bien cosy.

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Des étincelles sous le gui

Des étincelles sous le gui



Une petite romance de Noël croustillante et avec tout les ingrédients pour en faire un moment lecture agréable.



Même si l’intrigue est cousue de fil blanc, j’ai été prise totalement du début à la fin.

J’ai adoré les diverses rebondissements et les instants flous où les deux protagonistes se rapprochaient mais « est-ce que ça veut vraiment dire ce que je crois que ça veut dire? ».



L’ambiance de noël est également bien au rdv: neige, sucreries, cafés bien chauds… Le tout sur fond de débats littéraires ce qui ajoute un charme certain!



le seul bémol à mon gout: le coté nymphomane de la protagoniste…
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Des étincelles sous le gui

J'ai commencé ce challenge avec une lecture de Noël avec « Des cookies pour Noël ». Alors quoi de plus logique que de lire une romance de Noël en cette période festive. Voici donc ma nouvelle lecture en partenariat avec Kobo et Babelio, et cela promet d'être intense.



La libraire dans laquelle Gabriella travaille risque de mettre la clé sous la porte si les ventes d'augmentent pas car une chaîne de librairie vient de s'implanter dans le quartier. Les propriétaires sont inquiets. Et pour rajouter une couche de froid à cette période de fête, Jonathan, son collègue est un véritable ours mal léché au cœur de pierre. Leur seul point commun est un intense mépris mutuel. Pourtant face à cette situation professionnelle tendue, ils se retrouvent dans le même bateau. Les deux employés concluent un pacte, celui qui aura fait le moins de vente démissionnera de lui-même.



Pour tout lecteur un tant soit peu amoureux de Noël, cette romance s'annonçait plutôt prometteuse. La plume de Chloé Liese est fluide et très agréable à lire. Les deux protagonistes n'ont rien qui pourraient les attirer l'un vers l'autre. Tout a assez mal commencé entre eux, et les choses ne vont pas en s'arrangeant avec ces problèmes financiers. Les thématiques abordées par l'autrice sont intéressantes, notamment sur la différence et le handicap. Malgré le sérieux de ces thèmes, il s s'intègrent bien à l'histoire.



Il est pourtant dommage que l'auteure ne développe pas une relation plus alchimique entre les deux principaux protagonistes. Peut-être les a-t-elle trop enfoncé dans leur rôle ? En tout cas, cette histoire n'est pas sans rappeler la comédie romantique « You've got a message ».
Lien : http://lillyterrature.canalb..
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Des étincelles sous le gui

Chloé Liese : Des étincelles sous le gui 🍀



Gabriella travaille dans une librairie au côté de Jonathan, un jeune homme bougon, froid et amère. Elle, elle adore Noël, prend plaisir à décorer le magasin tandis que lui, il déteste tout ce que représente les fêtes. La seule chose qu’ils ont en commun c’est qu’ils aiment leur travail plus que tout. Seulement, la menace des coupures budgétaires arrivent et ils comprennent alors que d’ici la fin du mois, il ne devra en rester qu’un. Ils décident de conclure un marché et de faire rester celui qui fera le plus de ventes pendant le mois de décembre. Alors que la pression monte, les deux se découvrent petit à petit et apprennent à se connaître de façons différentes. Peut-être bien que le gui accroché dans la librairie pourrait envoyer des étincelles.



J’ai bien aimé cette petite histoire légère. L’autrice aborde tout de même des thèmes difficiles comme l’autisme ou la maladie chronique mais finalement, ce n’est pas du tout dans le pathos et cela ne se ressent pas pendant la lecture. Je me suis complètement attachée aux personnages, surtout à Gabby, que j’ai trouvé très touchante. Jonathan a su m’émouvoir par la bonté et la bienveillance qui se dégagent de lui. J’ai trouvé que cette histoire était un peu différente de ce qu’on peut lire habituellement, ce qui a donné pas mal de rythme au récit. Même si tout est prévisible, même si l’histoire est assez simple, j’ai passé un bon moment de lecture dans cette librairie avec ces deux personnages.



Vous connaissez ? Il vous tente ?

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Des étincelles sous le gui

Tout était mis en place pour me faire aimer l'histoire malheureusement, ça ne l'a pas trop fait avec moi. Même si j'ai beaucoup aimé l'écriture, le style et l'ambiance, les personnages m'ont pas mal embêté durant ma lecture.



Les chamailleries et les taquineries, j'adore ça. Mais là c'était beaucoup trop venant de la part d'un seul personnage (qui est le personnage féminin).



Pourtant, l'histoire peut clairement plaire surtout si vous n'êtes pas fan des histoires avec des piques qui viennent de tous les côtés. Comme je l'ai aussi dit, j'ai beaucoup aimé la plume, le style et l'écriture mais le reste n'était clairement pas fait pour moi malheureusement.



C'est un roman que j'ai apprécié découvrir.

Un roman qui pourrait plaire j'en suis certaine.
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Des étincelles sous le gui

Noël est la période la plus magique de l'année et, à cette occasion, j'apprécie d'étendre cette douceur jusqu'à mes lectures et m'imprégner de la féérie qui s'en dégagent.

Cette opportunité m'a été offerte dans le cadre de la dernière lecture proposée dans le contexte de la masse critique Babelio spéciale Kobo à laquelle j'ai pu participé cette année.

Dans ce roman, on fait plus ample connaissance avec Gabby et Jonathan que tout semble opposer. Du goût littéraire à leurs traits de personnalité, tout les sépare, si ce n'est leur passion commune à œuvrer pour tenter de sauver la librairie dans laquelle ils travaillent ensemble.

Concernant le contenu, l'originalité du roman réside, selon moi, dans les thématiques abordées par l'auteure et la nature de ses personnages. Elle traite d'autisme, diabète et de sexualité avec une aisance qui démontre sa connaissance de ces mêmes sujets. Cela pourrait ajouter de la profondeur à nos deux héros, mais malheureusement, j'ai eu du mal à pleinement m'attacher à eux. Surtout à Gabby, dont il m'était difficile de comprendre la rancune qu'elle nourrissait à l'encontre de Jonathan. Dès le début, je n'ai pas retrouvé les caractéristiques du profil qu'elle dépeint et, au fur et à mesure, j'ai ressenti plus de sympathie pour lui que pour elle. Cela s'explique par sa perception du monde quelque peu atypique, mais ce point n'a pas suffit à me convaincre.

Par contre, la librairie m'a totalement charmée. Je me suis imaginée dans ce lieu chaleureux, un chocolat chaud à la main et entourée d'un décor de Noël époustouflant. Il n'est pas difficile de comprendre la motivation qui anime Gabby et Jonathan à vouloir préserver son authenticité.

Pour conclure, un dénouement qui se laisse rapidement entrevoir mais une histoire agréable à lire, plus que propice à la saison et qui offre un joli moment de détente.





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Des étincelles sous le gui

J'ai beaucoup aimé cette romance de Noël, qui tombe à point nommé juste avant les fêtes.

J'aime bien la période de Noël pour tout ce qui est féérie, lumière, parfums, ambiance de Noël, mais pas autant que Gabby! Je ne suis pas aussi accroc qu'elle.



Je dois avouer que si ça n'avait pas été mentionné dans le livre, je n'aurai pas supposé dès le début qu'elle puisse être autiste. Il existe des personnes un peu particulières comme elle l'est, qui ne sont pas autistes pour autant. Au moins ça mettait un peu d'originalité à son personnage.



J'ai aussi appris des nouveaux mots: neuro-typique, neuro-divergent, et demi-sexuel. J'ai été curieuse et j'ai cherché un peu plus d'explications sur Internet. C'est toujours intéressant d'apprendre de nouvelles choses, de nouveaux termes en lisant.



Passons à l'histoire... Eh bien je me suis sentie "comme si j'y étais" quand l'histoire avait lieu dans la librairie! Je me suis sentie chez moi, comme si c'était un lieu que je fréquentais depuis longtemps et que je connaissais bien. Je regrettais presque de ne pas avoir une librairie comme ça à côté de chez moi!

J'ai beaucoup aimé le fond de l'histoire pour sauver cette librairie de quartier, petite, chaleureuse, proche de ses clients, face à la grosse librairie impersonnelle et un peu "fast food".



Par contre pour l'histoire d'amour, bon... c'est pas l'histoire du siècle, et ça n'est pas bien original!

Je voyais venir gros comme une maison que . ça encore, passons... ça reste une histoire, le lecteur a des informations privilégiées sur les personnages, donc peut deviner certaines choses très facilement.

Ce qui m'a un peu plus ennuyée, c'est tout le côté Gabby déteste Jonathan alias Monsieur-Je-n'aime-pas-Noël-et-je-fais-la-tête-tout-le-temps.

Peut-être que je ne suis pas arrivée à me mettre à sa place et que j'avais du mal à voir tout le mal en lui à travers les yeux de Gabby.

J'en avais donc un peu assez quand Gabby pestait contre Jonathan.

Surtout que quelques pages plus loin elle passait à un furieux désir pour lui, qu'elle ne maîtrisait et ne comprenait pas toujours.



J'ai en tous cas passé un bon moment de détente, l'histoire se lit bien, l'écriture est fluide et dynamique. On a envie de connaître la suite (même si on se doute plus ou moins de la fin).

C'était une découverte avec des personnages qui ont particularités qui font qu'ils ne sont pas comme la majorité des gens. L'auteur n'est pas tombée dans un côté pathos trop marqué, donc pas de quoi rebuter le lecteur.



Merci encore à Babelio et Masse Critique Kobo Originals!

Je finis l'année par une lecture qui m'a fait plaisir, qui m'a fait du bien et m'a donnée envie de goûter au fameux chocolat chaud à la menthe de Gabby!
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Des étincelles sous le gui

Quel est le point commun entre un jeune homme pince-sans-rire et une jeune femme avenante et souriante ? Aucun, me direz-vous. Et bien moi, je vous répondrais : « une librairie ». Co gérants de la librairie Bailey, le moins qu’on puisse dire, c’est que Jonathan et Gabriela s’entendent comme chien et chat. Toujours à se chercher, toujours à se chamailler, ils ne se comprennent pas. Mais ils vont pourtant devoir affronter des difficultés financières de taille et pour cela, se dépasser afin que la petite librairie ne ferme pas.



Gabriela, pour qui les relations sociales sont compliquées, entretient, en parallèle une correspondance virtuelle avec quelqu’un qui lui semble être l’homme de ses rêves. Mais voilà, Jonathan, jaloux, ne manque pas de lui faire remarquer qu’elle ne fait peut-être pas le bon choix.



C’est une romance sur le thème de Noël, certes. Très agréable à lire, c’est sûr, grâce à la plume de l’auteure, mais malheureusement, elle ne m’a pas convaincue, car j’y ai relevé beaucoup d’incohérences. Tout est trop convenu et trop cousu de fil blanc, du coup, il n’y a pas vraiment d’intrigue ni de suspense, et on tourne les pages sans surprise. De plus, je pense que le thème du handicap qui est abordé ici, n’a pas sa place. Je n’ai pas vu ce handicap, ni dans Gabriela, ni dans Jonathan, hormis par petites touches qui semblaient être rajoutées çà et là, mais sans réelle construction, comme un cheveu sur la soupe. J’ai aussi trouvé que parfois, dans le cas de Gabriela, c’était vraiment trop exagéré et que cela finissait par faire lourd, surtout dans une romance ayant pour thème Noël.



C’est donc une lecture mitigée pour moi, malgré une plume agréable, mais bien sûr, cela ne reflète que mon avis, et cette romance, je n’en doute pas, saura trouver ses lecteurs.



Merci à Babelio et masse critique spéciale Kobo Originals pour ce dernier livre de l'année, qui malgré tout, avait un petit avant-goût de Noël.


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Des étincelles sous le gui

Je ressors mitigée de cette lecture, je n’ai pas vraiment aimé, mais je n’ai pas détesté non plus.



L’histoire est simple et ne contient pas grand-chose à part l’attirance de nos deux personnages principaux. On est ici en plein dans un « ennemies to lovers ».



Je n’ai pas réussi à m’attacher aux personnages, il me manquait un petit quelque chose. J’ai plusieurs fois eu l’impression qu’il s’agissait de deux ados. J’ai par contre aimé qu’ils aient certaines particularités qu’on retrouve peu dans ce genre de roman.



La plume de l’autrice était agréable et fluide; c’était une lecture facile sans prise de tête.
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