Chloé du Colombier

De jolis dessins qui permettent de faire découvrir quelques animaux. Cependant les couleurs ne sont pas assez variées. Une joli moment mais qu'on n'a pas forcément envie de recommencer.

Un livre en forme d’arbre pour mieux explorer cette plantation & la vie qu’elle abrite ! Toute ma chronique à lire sur la BBthèque : https://bebetheque.wordpress.com/2016/08/17/a-l-abri-chloe-du-colombier/
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Un livre en forme d’arbre pour mieux explorer cette plantation & la vie qu’elle abrite ! Toute ma chronique à lire sur la BBthèque : https://bebetheque.wordpress.com/2016/08/17/a-l-abri-chloe-du-colombier/
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Mon avis :



Avec ce petit album tout cartonné en forme de sapin, les petits lecteurs partent à la découverte des animaux qui trouvent refuge dans un sapin. Les écureuils jouent, l’aigle royal scrute l’horizon du haut de son perchoir, l’ours brun développe son odorat en respirant l’odeur des aiguilles et le bec-croisé cherche une pomme de pin. Le format rigide et robuste est adapté aux manipulations des tout petits qui découvrent, grâce à ce livre, des animaux vivant près des sapins. Véritable livre objet, les textes courts et les illustrations colorées de Chloé du Colombier vont enchanter les petits. La collection « A l’abri du » des éditions du Ricochet permet aux curieux en herbe d’associer un arbre et son milieu naturel, comme dans ces autre titres : A l’abri du palmier, A l’abri du saule, A l’abri du pommier. De jolis moments en perspective pour apprendre et découvrir tout en douceur.




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Il y a quelque temps je vous avais chroniqué « A l’abri du saule ». Je reviens donc pour vous faire découvrir un autre arbre : le sapin. Personnellement c’est un arbre que je trouve très beau et que j’aurais aimé avoir dans mon jardin.

Comme pour tous les livres de cette collection, la couverture et les pages sont en carton très épais pour résister aux petites mains pas toujours très soigneuses…

Le livre est aussi découpé en prenant la forme d’un beau sapin.

Un petit écureuil sur la couverture nous invite à découvrir les animaux qui peuvent se cacher dans un sapin.



Il y a très peu de texte sur chaque page, juste une seule phrase. Je pense que c’est aux parents de raconter une histoire avec les animaux mis en avant. Comme pour « A l’abri du saule », on retrouve le même paysage, et ce sont les animaux qui sont différents. Je pense que pour un enfant c’est une bonne idée de retrouver le même type de livre dans une collection ! Par contre je reste tout de même sceptique et je me demande si un enfant a envie de retrouver le même dessin à chaque page avec juste un élément qui change…



Les couleurs sont très belles et adaptées à l’arbre, ce qui m’a un petit peu déçue c’est le fait que le livre soit colorié avec un ordinateur et non aux crayons de couleur…

Le sapin est un arbre assez commun. Lors d’une promenade en forêt ou dans un parc cela peut être l’occasion de découvrir certains de ces animaux en liberté, dans leur milieu naturel.

En résumé, malgré quelques petits bémols c’est un livre que je conseille aux tout-petits ou alors aux grands frères et/ou sœurs qui ont envie de lire un livre assez simple au nouveau venu.


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La couverture est en carton très épais comme toutes les pages du livre. C’est essentiel selon moi pour les livres qui sont pour les jeunes enfants. Il faut que le livre soit résistant pour durer dans le temps.

Le livre est découpé pour prendre la forme de l’arbre qui est au centre de l’histoire, ici un saule pleureur. Personnellement j’aime beaucoup ces arbres.

Le dessin de la couverture est coloré et donnera, j’en suis certaine, envie aux jeunes enfants d’ouvrir le livre pour découvrir l’histoire.



L’intérieur du livre est assez bien fait, ce qui est dommage c’est que l’on retrouve le même décor, une vue d’ensemble avec un saule pleureur, un petit lac et un pont et un autre dessin avec l’arbre vu de très près. Ce qui change heureusement ce sont les animaux qui s’y cachent. Ils sont curieux, joueurs, cherchant la fraîcheur des branches de cet arbre si particulier.

C’est un livre adapté aux tout-petits, il n’y a pas vraiment d’histoire mais plutôt des petites phrases pour expliquer les scènes. L’adulte qui lira le livre devra, je pense, inventer un récit pour compléter les illustrations.



Les dessins sont très jolis, ce que j’ai trouvé un peu dommage c’est le fait qu’ils soient colorisés à l’ordinateur. J’aurais plus apprécié ce livre si l’auteure avait utilisé des couleurs douces comme des pastels ou de l’aquarelle pour y créer aussi des contrastes… Malheureusement ce n’est pas le cas ici.

En résumé un livre à découvrir à partir de 6 mois mais que l’enfant pourra redécouvrir plus tard en grandissant si le parent y ajoute des petites histoires.


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J’aime beaucoup ce style d’albums cartonnés, à coins ronds, et avec des animations particulièrement solides… Des rabats, des roues à tourner, des images à faire glisser, en quelques pages, ce livre propose une belle variété d’activités pour les petits à partir de deux ans. Par exemple, sur l’illustration ci-dessous, l’enfant doit faire tourner une roue sur le côté droit, qui donne l’impression que l’eau coule du tuyau des pompiers, et que les flammes s’animent.

Les dessins sont très parlants, simples à comprendre, mais aussi assez détaillés pour engager une discussion avec l’enfant. Que font les personnages ? Certains sont au coeur de l’action, d’autres sont spectateurs… Au début de l’album, Sam a un accident de skate-board, et tout à la fin, on le voit sortir de l’hôpital plâtré et prêt à rentrer chez lui.

Dans ce livre, l’autrice présente des situations qui peuvent être très anxiogènes pour des petits, et les explique de manière à dédramatiser. On a moins peur de ce que l’on connait, et c’est important de savoir qu’il y a des gens présents pour aider et sauver.

Un joli album, bien solide, pour aborder les urgences et les secours.
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L’hibernation, quel processus mystérieux. Certains animaux hibernent, ils vont passer les mois d’hiver dans leur terrier et dormir tout au long de l’hiver pour ne se réveiller qu’à ‘arrivée des beaux jours. Le saviez-vous ? C’est le cas de la marmotte, du hérisson et de l’écureuil. Avec ce petit livre aux couleurs toutes douces, nous allons mieux comprendre ce qui se joue sous la terre bien à l’abri des frimas. On va jouer les invités à l’intérieur du terrier où se regroupent tous les membres d’une même famille. Après avoir fait des réserves de graisse tout l’été, c’est le moment du grand repos. Tout ralentis, le cœur, la respiration mais l’ours ne dort que d’un œil et peu se réveiller en cas d’alerte. J’ai succombé aux charmes des illustrations de Chloé du Colombier, l’harmonie des couleurs jaune-orangé et gris-blanc s’accorde parfaitement. Les terriers sont superbement représentés et les animaux aussi. Les textes de Françoise Laurent nous bercent et pour un peu, on ne demanderait qu’une chose avoir le droit de les rejoindre pour une petite sieste. Bonne lecture.




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Cet album documentaire pour les tout-petits présente l’hibernation de différents animaux. Dès la fin de l’été, les marmottes, écureuils, loirs et autres animaux hibernant mangent du matin au soir pour prendre du poids. À l’automne, ils préparent leur nid douillet, en creusant la terre, en trouvant le creux d’un arbre, en amassant des feuilles. L’hiver arrive, il est temps d’aller se cacher et dormir pour toute la saison. Grâce à leur réserve de graisse, ils peuvent profiter d’un long sommeil. Leur corps fonctionne au ralenti.

Quant à l’ours, ou au castor, ils hivernent, c’est-à-dire qu’ils sont engourdis, mais ils ont des phases de réveil.

Au printemps, tout le monde ressort pour manger jusqu’à l’hiver prochain !



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Voici un petit livre parfait pour tous les enfants aimant la nature et plus particulièrement les oiseaux.

Dans les p’tits voyageurs, le thème traité est celui de la migration et on retrouve de nombreux oiseaux migrateurs. Ce très bel album est destiné aux petits à partir de trois ans. Les textes sont à la fois simples et explicites. On y trouve de splendides doubles pages illustrées avec talent, les couleurs sont lumineuses. Le format est parfait pour les petites mains environ 20cm X 20cm. La couverture est en papier glacé qui supportera quelques coups de lingettes pour être nettoyée. Les coins auraient bénéficié à être arrondis.

J’ai aimé

La page avec la carte du monde et le trajet effectué par les oiseaux migrateurs.

Les magnifiques planches de dessins

On découvrira plusieurs espèces d’oiseaux migrateurs plus ou moins connues parmi lesquelles les enfants reconnaitront, les hirondelles, les cigognes et les oies cendrées et bien d ‘autres encore.

Le cycle de la vie est ainsi bouclé, puisqu’à la fin du livre, une fois dans les pays chauds, on nous explique que :

Quelques mois plus tard, hop !

Le ballet aérien recommence ;

Les oiseaux migrateurs retournent vers le nord

Pour pondre et élever leurs petits.



Bonne lecture.


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En hiver, il y a des animaux qui hibernent, mais chez les oiseaux, il se passe autre chose : au lieu de rester sur place, certains préfèrent bouger et aller dans un endroit où il fait meilleur. C'est la migration.



Dans cet album, tout est expliqué. Tout comme des animaux hibernent par manque de nourriture, les oiseaux, eux, voyagent vers les pays chauds. Il y a d'ailleurs une carte pour montrer ce long trajet. On apprend que, pour ne pas trop se fatiguer, les oiseaux ont différentes stratégies : se relayer pour être à la tête du groupe, se laisser porter par des courants d'air chaud... Certains migrent même en solitaire !

Et à la fin de l'hiver, ils reviennent pour pondre et élever leurs petits.



Cet album m'a légèrement moins emballée que "Les p'tits dormeurs" sur l'hibernation. J'ai trouvé que certains oiseaux nommés étaient peu connus (enfin la fauvette surtout). Comme c'est à destination des tout-petits, ça m'a un peu gênée. Mais on peut très bien faire des recherches avec l'enfant, et lui montrer des photos. Ça peut titiller la curiosité aussi !



Mais ça reste un livre très intéressant, avec des textes courts mais suffisants, pour faire découvrir ce phénomène aux enfants à partir de trois ans.

À la fin de l’été la plupart des oiseaux partent passer l’hiver dans les pays chauds. Pour cela ils doivent voler des jours et des jours pour traverser les mers et les pays.

La route est très longue et cela leur demande beaucoup d’énergie. C’est pourquoi l’été, ils mangent beaucoup afin d’emmagasiner des réserves et durant le vol ils se font aider par l’air chaud. Et ils referont le chemin dans l’autre sens à la fin de l’hiver.

Un livre parfait pour les petits qui aiment les oiseaux. Les illustrations sont lumineuses et les textes simples.



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Des mots simples pour des situations simples et des aplats de couleurs douces pastels.



Un miroir à déplier pour jouer à toutes les pages.

Des amorces de comptines populaires, des jeux de coucou caché!

Chouette petit livre cartonné pour les tout-petits.