Cho Jung-man

Ce sixième tome de la série de manga Witch Hunter est une énième péripétie se déroulant dans ce monde fantastique où les sorcières font la guerre et ont réussi à conquérir la moitié du monde, alors que l’organisation des Witch Hunters parvient tant bien que mal à leur tenir tête. Elle doit envoyer un convoi vers le quartier général de l’ouest et quatre chasseurs de sorcières de classe A doit l’escorter. Évidemment, il s’agit du protagoniste Tasha Goodspell ainsi que Tarras, Xing (dont le dernier tome racontait presque exclusivement son histoire et dont je ne vois toujours pas l’utilité) et Cooga. Puis, comme il fallait s’y attendre, ils sont attaqués par cinq sorcières.



Ce tome est presque exclusivement porté sur l’action. L’intrigue avance peu, je n’apprends presque rien sur les personnages, ni sur leur objectif concernant la guerre. Si les Witch Hunters avaient été plutôt bien définis dans le passé, il n’en va pas de même de toutes les sorcières (incluant les bonnes, celles qui soutiennent les protagonistes) et j’éprouve encore de la difficulté à les cerner, parfois même à les distinguer (la seule aide est leur coiffure et leur chapeau…). Un élément m’agace et c’est la rivalité entre les Witch Hunters. Chaque fois qu’ils combattent et tuent des sorcières, ils gagnent des XP et, conséquemment, ils se nuisent les uns les autres pour éviter que leurs coéquipiers ne prennent de l’avance sur eux. Tasha Goodspell assomme Cooga pendant un combat! Et tout cela à une époque où l’issue de la guerre entre eux et les sorcières est incertaine. Cette immaturité est indigne de personnages de haut niveau. Même incohérente.



Le seul aspect vraiment positif à ce manga, c’est la qualité des dessins. Mais cela, je l’ai traité abondamment dans mes critiques des tomes précédents. Un élément dont je n'ai pas traité et que je peux ajouter : je trouve que les sorcières sont toutes particulièrement jeunes et hypersexualisées et que je pensais qu'au XXIe siècle c'était quelque chose de réglé.

Ce cinquième tome de la série Witch Hunter me laisse ambivalent. Je le trouve superbement réussi, je lui ai trouvé un quelque chose d’épique, de mythique. En effet, Cho Jung-man entraine ses lecteurs dans le passé d’un des personnages (et en profondeur parce que presque tout le tome lui est consacré). Toutefois, et c’est là que ça m’a dérangé un peu, ce n’est pas dans celui de son protagoniste mais plutôt dans celui d’un des personnages secondaires, Xing, un autre chasseur de sorcières. Jusqu’à maintenant, je trouvais que c’était un personnage avec du potentiel et ce plongeon dans son passé le rend encore plus intéressant, unique. Il s’avère que Xing est un prince, l’un des trois fils de l’ancien empereur de Bairong. À ce point, j’aurais aimé que l’auteur insère une carte géographique pour m’aider à me situer : cet empire, est-il le même que celui dans lequel les héros évoluent ou s’agit-il d’un état voisin? Dans tous les cas, les trois fils de l’empereur se sont battus pour succéder à leur père, même si l’un d’eux avait déjà été sélectionné. Bravo pour la cérémonie de succession, qui prend un accent mythologique, mystique, quand un dragon sacré fait son choix. Cette sélection n’empêche pas les frères de se lancer dans une lutte fratricide et des hauts personnages de la cour de comploter de leur côté. Bref, un tome superbement réussi.



Dans ce cas, si ce cinquième tome m’a laissé un bon souvenir, pourquoi suis-je ambivalent? Eh bien, c’est qu’il va à contre-courant de ce que la série propose. D’abord, son titre, c’est Witch Hunter. Au singulier. Cela signifie que Tasha Godspell est le protagoniste. Passer autant de temps sur un autre personnage, même s’il est important, si tôt dans la série, est inusité. Je rappelle qu’il ne s’agit pas de quelques vignettes, non, mais presque d’un tome en entier! D’autant plus que Tasha lui-même n’a pas eu droit à autant. Certains indices sur son passé ont été disséminés ça et là, mais rien d’aussi complet. Aussi, l’humour noir était la particularité de cette série. Or, dans un épisode grandiose qui prend des accents de tragédie grecque, on s’éloigne beaucoup du ton humoristique qui avait permis à la série de gagner ses fidèles lecteurs.



Tout ceci étant dit, je dois m’arrêter sur les dessins, admirablement réussis. Les plans sur la cité impériale et d’autres, de plus près, sur des jardins et le palais, sont tout aussi magnifiques. L’attention aux détails va jusque dans les menus objets (comme des meubles, des vases) qu’on retrouve partout. Les personnages, leurs vêtements, leurs expressions faciales sont également réussis. Quand ils sont « croqués » en pleine action, on a l’impression qu’une photo n’aurait pu aussi bien saisir les poses. Aussi, les trois frères, Xing, Li et Yue, se ressemblent énormément physiquement mais l’auteur a trouvé le moyen de les rendre reconnaissables les uns des autres. Petite remarque, toutefois : plusieurs personnages ont des traits androgynes et, quand ils portent des noms typiquement asiatiques (comprendre ici au sexe ambigu, pour les oreilles d’un Occidental), il devient difficile de savoir s’il s’agit d’un homme ou d’une femme.

Comme je l’avais écrit dans ma critique du premier tome de Witch Hunter, j’avais commencé la lecture de cette série de manga avec un enthousiasme modéré. En effet, l’intrigue et l’univers fantastique semblait se distinguer peu de plusieurs autres œuvres du même genre. Heureusement, le protagoniste Tasha Godspell me paraissait peu sympathique, intéressé surtout par l’argent. Une sorte de antihéros qui faisait classe à part. Toutefois, ce trait semble se dissiper, il tend vers une plus grande responsabilité, il veut retrouver sa sœur, débarrasser le monde des sorcières qui sèment la guerre et la destruction, etc. Bref, à endosser l’étoffe du héros. Ce n’est pas une mauvaise chose en soi. C’est que, des héros, il y en a des tonnes dans les mangas. Ce qui faisait la différence, c’était ses caractéristiques premières, celles qu’il perd graduellement. L’autre élément que je trouvais intéressant, c’était l’humour noir, l’étrange relation entre Tasha et son supporter. Ce dernier, avec son franc parler, sa verve, il m’avait fait sourire. Mais il n’est pas aussi présent que je le souhaiterais. Le premier tome me laissait croire que l’humour serait davantage présent. Ça aussi, c’était un élément qui faisait de Witch Hunter un manga original. Dommage. Au moins, dans ce tome, les combats sont à la hauteur et on peut voir de quoi sont capables les foutues sorcières qui sèment la terreur – et la guerre – dans cet univers.

Le deuxième tome de Witch Hunter, même s’il ne se démarque pas tant de la quantité imposante de mangas sur le marché, me donne tout de même l’envie de continuer cette série. Le protagoniste Tasha Godspell gagne en profondeur, on comprend son désir de retrouver la méchante sorcière Varietty, une des quatre plus puissantes qui ravagent le monde avec leur guerre. Donc, l’attitude de Tasha, dans le genre « je travaille, j’élimine les sorcières que pour l’argent » ressemble plus à une carapace qu’il s’est érigé autour de lui. Même s’il aime réellement beaucoup l’argent…. Aussi, on voit davantage deux autres Witch Hunters, Xing et Taras. Ils semblent intéressants, ils pourraient constituer des alliés utiles et agréables, même si Tasha semble préférer travailler seul. Quoiqu’il est trop orgueilleux…. Aussi, la mystérieuse Monica fait son apparition…



Dans ce deuxième tome, il devient clair que le mangaka Cho Jung-man s’amuse, qu’il a du plaisir avec son histoire et, surtout, ses personnages. Il n’est pas du tout complaisant à leur endroit. Tasha se fait voler, Taras et Xing se font manipuler, etc. Ceci étant dit, si j’ai souri à plusieurs moments pendant ma lecture, je m’attendais à rire plus souvent. L’humour caractéristique du premier tome me laissait envisager davantage à ce niveau. Il faut dire que Halloween, le supporter/familier de Tasha, était peu présent et beaucoup des échanges croustillants, des vannes, émanaient de lui.



Bref, je vais continuer à lire les prochains tomes, parce que je suis curieux et je sens que cette série a du potentiel. Ce potentiel sera-t-il actualité? À voir.

J’ai commencé la lecture de la série de manga Witch Hunter avec un enthousiasme plutôt modéré. Quand on en a lu grand nombre, il devient difficile de trouver une histoire vraiment originale et intéressante. Je passe vite par-dessus la qualité des dessins parce qu’elle est habituellement au rendez-vous dans les mangas qui passent à l’ouest. En effet, les scènes de combats sont hallucinantes, avec des personnages saisis en plein mouvement, et les gros plans permettent de bien saisir les émotions des personnages. Aussi, les mangakas ne se gênent pas pour innover, proposer régulièrement des cases découpées différemment de l’habituel quatre ou six cases symétriques et de forme carrée. Alors, qu’est-ce qui permettrait à une nouvelle série de se distinguer du lot? Dans le cas de Witch Hunter, à ce qu’il parait, c’est l’humour.



Mais je vais trop vite. Cette série se déroule dans un univers fantastique dans lequel les sorcières mènent une guerre sans merci pour conquérir le monde. Les seuls qui peuvent tenter de leur tenir tête, de protéger l’humanité, ce sont les Witch Hunters dotés de superpouvoirs. Et le protagoniste, Tasha Godspell, est l’un d’eux. Seulement… il n’est pas là pour défendre la veuve et l’orphelin mais pour gagner de l’argent. OK, un antihéros jeune, avare et déjà désabusé. Toutefois, ce qui étonne, c’est sa relation avec son supporter/familier, une sorte de créature qui lui sert d’extension magique, de protecteur. Dans son cas, il ne s’agit pas d’un joli petit animal ou d’un monstre terrifiant, non! C’est une tête de citrouille plutôt laide, articulée sur un corps de marionnette : « C’est quoi cette horreur! » Il est nommé justement Halloween. La relation entre les deux est étrange, pour la résumer simplement : l’humour noir règne en maître. Halloween ne se gêne pas pour insulter Tasha autant que ses adversaires. Leurs échanges sont délicieux. Je m’attendais à ce qu’il y en ait davantage mais, bon, je suppose – j’espère – que l’auteur capitalisera là-dessus davantage dans les tomes ultérieurs.

Ce septième tome de la série de manga Witch Hunter se déroule immédiatement après le sixième, dont il est la continuation (et pas seulement une énième péripétie qui vient par la suite). Tasha, Tarras, Xing et Cooga, qui devait escorter un convoi, poursuivent leur combat contre les sorcières qui les avaient attaqués. L’une d’entre elles se montre plus redoutable qu’ils ne l’auraient cru et Tasha doit avoir recours à des pouvoirs extraordinaires pour tenter de la vaincre. Pendant un moment, j’ai cru que les quatre WH allaient vraiment se battre en groupe, s’entraider réellement, mais très peu. Donc, beaucoup de combats mais aucun n’est final. Il faudra lire la suite pour connaitre l’issue définitive (qui est pourtant prévisible, je n’imagine pas les WH vaincus).



Mon intérêt toujours diminuant pour cette série me fait louper des détails et c’est regrettable. Par exemple, Halloween, le supporteur (un familier, une sorte d’extension/protecteur) de Tasha, a pris l’apparence d’une jeune fille dans le tome précédent mais je ne l’avais pas relevé. Il faut dire que toutes les jeunes filles se ressemblent : traits juvéniles, minces, longues jambes, vêtements courts…



Deux personnages mystérieux et puissants font une apparition : Phantom Knight et Lancelot (lequel semble mêlé à l’histoire d’Halloween). Je n’ai aucun doute qu’ils reviendront et joueront un rôle important dans la guerre entre les WH et les sorcières.

Dans ce troisième tome de la série Witch Hunter, on en apprend un peu plus sur l’organisation chargée de défendre le monde contre les sorcières. Après tout, on a découvert récemment que leurs pouvoirs sont terribles, destructeurs. Et, puisqu’elles désirent assouvir le monde, on peut comprendre la méfiance à leur endroit. Toutefois, un certain nombre d’entre elles travaillent aux côtés des Witch Hunter. Pourquoi font-elles ce choix? Surtout, pourquoi leur fait-on confiance? Ce n’est pas très clair.



La relation entre l’apprentie-sorcière Monica et Tasha Godspell se développe un peu, c’est aussi l’occasion d’en apprendre davantage sur ces deux-là, leur histoire, leurs objectifs, etc. Il y a bien quelques combats et c’est une bonne chose car cela ne signifie qu’une chose : la présence accrue d’Halloween, le supporter de Tasha. Cette créature magique est la source d’une bonne partie de l’humour noir de la série.



Ceci dit, dans l’ensemble, je suis resté un peu sur ma faim. J’ai l’impression que c’est un tome qui met en place plusieurs éléments qui deviendront important ultérieurement. Mon enthousiasme s’amenuise mais je continue encore quelques tomes.

Witch Hunter et moi, c'est une histoire d'amour qui dure depuis la publication en France du tout premier tome, en 2008. Acheté sur un coup de tête, je ne m'attendais pas à être happée à ce point par cette histoire, et je dévore chaque tome avec toujours autant de plaisir. Il y a peu, j'ai décidé de me relire les 18 tomes parus à ce jour et j'ai décidé que donner mon avis sur ce manhwa qui n'a aucune critique sur Babelio était un de mes devoirs de fan!



Dans ce premier tome d'introduction, l'auteur démarre fort car l'action y est déjà très présente. La guerre entre les Witch Hunter et les sorcières fait rage et on comprend rapidement que la situation est sur le point de prendre un tournant décisif. Nous faisons bien évidemment connaissance avec notre personnage principal, Tasha Godspell, un Witch Hunter plein de ressources qui semble un peu particulier comparé aux autres. Accompagné par son supporter Halloween, une marionnette citrouille, c'est déjà un point bien mystérieux qu'il faudra éclaircir car seules les sorcières peuvent avoir des supporters/familiers. Ce duo de choc ne semble par particulièrement s'apprécier l'un l'autre mais ils se connaissent très bien, ce qui peut les rendre très dangereux. Très vite, l'auteur dévoile les raisons de la détermination de Tasha à retrouver une certaine sorcière, malgré le danger qu'elle représente pour lui et ses coéquipiers WH...



Ce qui m'a avant tout plu dans ce roman, c'est son humour. Tasha semble complétement avide d'argent et indifférent aux autres et seul ramener sa sœur compte pour lui. Halloween, bien qu'étant juste un familier, a une place très importante dans l'histoire et son humour est aussi noir et vache que celui de Tasha. Ce duo improbable est donc bien trouvé et les étincelles entre eux promettent de bonnes scènes à venir. L'auteur ne fait d'ailleurs lui-même pas de cadeaux à ses personnages et les fait passer pour des crétins, et c'est bien marrant. Les pics qu'ils se lancent entre eux amènent de la vie dans cette histoire et rend les personnages plus humains et crédibles, on a l'impression de faire parti d'un groupe de copains à l'humour vache, qui malgré les apparences s'apprécient et comptent les uns sur les autres.

Bien sûr, l'histoire est ce qui m'a le plus plu au départ, je n'aurais pas acheté ce premier tome sinon. Parlez moi de sorcières, de guerres, de Witch Hunter et de familier, c'est les 4 mots qui me font acheter un livre les yeux fermés, ajoutez à cela de la manipulation, des complots et des malédictions, et vous avez mon entière attention ! Et évidement, le graphisme, bien que relativement simple m'a tout de suite conquise. J'adore les tenues des sorcières et le style des Witch Hunter, particulièrement celui de Tasha qui est un peu rock et celui de Xing, beaucoup plus chic. Tasha est un personnage vraiment charismatique et il a la classe avec ses flingues et Halloween, je pense que vous l'aurez compris, j'adore ce personnage !



Un premier tome qui nous plonge directement au cœur du combat et nous permet de comprendre rapidement la situation. Des personnages bien travaillés, un graphisme plaisant et de l'humour à revendre, qu'est ce que vous attendez de plus pour vous lancer ?!

L'intrigue avance! Tasha en prend plein la figure, mais nous révèle une dimension plus profonde de sa personnalité et de ses capacités... Certaines questions restent en suspens, vivement le prochain tome!

Quelques débuts de révélations dans ce tome, qui promettent des affrontements plus tard... Mais on passe d'une scène à une autre, ça devient un peu fouillis!

Je préfère largement ce deuxième tome au premier!

L'humour est toujours là et toujours aussi bien placé! Il permet d'éviter que les longs combats paraissent TROP longs. Et puis avoir un héros obsédé par l'argent comme Tasha, c'est génial!

On voit petit à petit que les pouvoirs des sorcières sont vraiment puissants et impressionnants! Heureusement qu'elles n'existent pas vraiment, sinon ce serait la pagaille!

Ensuite, j'ai beaucoup aimé la petite description des personnages à la fin du manga avec un petit commentaire de l'auteur pour chacun d'eux!

Enfin, je trouve les dessins vraiment superbes! Les sorcières ont des tenues magnifiques! Et j'aime énormément comment les Witch Hunters sont dessinés. Tasha est mon préféré!

La première chose qui m'a plu dans ce manga, c'est son humour. Peu importe la situation, l'auteur a réussi à glisser des petites répliques qui font sourire!

Je n'étais pas vraiment convaincu au début. Je me demandais où ce manga voulait nous amener. Mais la fin m'a énormément plu, c'est pour cela que je vais lire les tomes suivants.

Ainsi, le héros principal combat des sorcières. Mais pourquoi n'arrive-t-il pas à les détester? Et bien lisez ce premier tome et vous comprendrez!

Tasha un jeune witch hunter se retrouve en prison avec sa marionnette Halloween. Dans cette prison il y a une witch(sorcière) avec lui. Alors va commencer cette magnifique aventure pleine de combat et de sang!!!!!!!!!!!!



Très bonne lecture et découverte de ce manga à la fois sanglant et plein de suspense. On se demande comment ils vont trouver les sorcières et s'ils vont les battre.

Ah j'accroche de plus en plus à ce manga!

L'arrivée de nouveaux personnages rend l'histoire vraiment intéressante. Cooga m'intrigue énormément. Il me tarde d'en apprendre d'avantage sur lui.

Ensuite, on voit que toutes les sorcières ne sont pas des "méchantes" mais que certaines aident les WH.

Comme les tomes précédents, l'humour est présent pour le plus grand plaisir des lecteurs!

Et le gros choc de la fin (dont je ne dirai rien pour ne pas gâcher votre lecture) m'a énormément surprise. Je m'y attendais pas du tout... Qui aurait cru que Halloween était une fille??? Non mais sérieusement!

Un volume bourré d'action, qui se lit malheureusement trop vite, inversement proportionnel à l'attente des lecteurs pour voir arriver ce volume...mais quelle intensité!


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Beaucoup de combats dans ce tome! On a:

-une révélation assez surprenante sur Halloween

-de nouveaux personnages dont le mystérieux Lancelot

-une nouvelle facette de Tasha qui se fait du soucis pour Halloween (c'était d'ailleurs très touchant).

Après le passé de Xing, ce tome est mon préféré!

Ce cinquième tome est pour l'instant mon préféré. Il est centré non pas sur Tasha, comme les tomes précédents, mais sur Xing. On en apprend énormément sur le passé de ce personnage qui n'en rate pas une quand il s'agit de filles! Ses deux frères sont bien différents malgré leurs ressemblances physiques. Mon préféré est irrémédiablement Yue (celui avec la queue de cheval si vous les confondez tous ^^).

Il me tarde de lire le prochain tome! J'accroche de plus en plus à ce manga!

Alors le petit combat entre Tasha et l'autre qui a les mêmes pouvoirs que lui (désolé je n'ai pas le nom en tête) nous apprend énormément de choses. On en sait un peu plus sur le maître de ces deux-là.

notre petit Halloween en fille est tellement plus classe, vous ne trouvez pas? Je suis toujours autant choqué tout de même...

Vous ne trouvez pas que Cooga ressemble à un petit frère jaloux? Il veut tout le temps rivaliser avec Tasha et ça me plait énormément. J'aime trop voir ces deux-là ensemble!

Et puis cette fin... C'est quoi ce supporter sérieusement?! Il est super classe mais il est aussi vachement gore!

Une nouvelle fois, le manga coréen se démarque par son côté créatif et ses nombreux protagonistes charismatiques.
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