Chris Morton

Mais la lumière était considérée comme une des rares exceptions à la règle, jusqu’à ce qu’on se mette à étudier plus en détails les particules subatomiques. Au niveau subatomique, la distinction traditionnelle entre onde et particule disparaît. Les choses ne peuvent plus s’expliquer comme étant l’une ou l’autre. Elles ne peuvent se comprendre comme étant les deux à la fois. En un sens, la matière est énergie, l’énergie est matière. Les choses sont aussi des ondes d’information, et donc, en fait, l’information ou l’énergie est l’essence de toute chose.
Certains scientifiques voient en cela comme une contradiction grotesque. L’un d’entre eux est le professeur David Deutsch de l’Université d’Oxford, l’un des plus grands spécialistes de la mécanique quantique. Selon lui et d’autres spécialistes, le fait que les particules individuelles se composent comme si elles faisaient partie d’une onde d’énergie ou d’information s’explique, en réalité par le fait de l’existence d’univers parallèles. Voici comment il l’explique :
« A vrai dire, nous ne voyons pas des ondes et des particules en même temps. Les résultats de l’expérience d’interférence à photon unique sont en fait dus à l’influence de particules qui existent dans des univers parallèles. Dans notre expérience les photons interagissent avec ces autres photons dans ces autres univers que nous ne pouvons tout simplement pas voir. (…)
La mécanique quantique est fondamentalement une théorie aux nombreux univers parallèles. Certains de ces univers sont très semblables au nôtre, et d’autres très différents. Les univers proches diffèrent du nôtre par, disons, un seul photon, tandis que d’autres univers plus distants, sont totalement différents. (…)

Les parallèles entre les théoriciens du quantique et la vision du monde amérindienne et avec les idées que nous avions entendues exprimer par les détenteurs de crânes de cristal et les médiums sont frappants. Les indiens d’Amérique croient depuis longtemps que nous n’habitons qu’une seule dimension de la réalité et qu’il existe d’autres dimensions, non physiques. Ils pensent aussi que les choses peuvent à la fois exister dans un temps et un lieu, comme une particule, et avoir simultanément une influence ailleurs, comme une onde. Dans cette optique, la présence des crânes de cristal peut être ressentie partout simultanément et ils peuvent nous aider à communiquer avec ces autres niveaux de réalité que nos physiciens modernes commencent seulement à entrevoir. Nous n’étions d’ailleurs pas loin de conclure que la compréhension amérindienne du fonctionnement réel de l’univers a une longueur d’avance sur la science moderne.
Les indiens d’Amérique croient, par exemple, qu’il est possible de communiquer à un certain niveau avec des objets physiques inanimés, comme les crânes de cristal, aussi bien qu’avec d’autres choses vivantes ou non. Ils croient également que ces communications peuvent ouvrir des portes sur les autres mondes des esprits, ou des « univers parallèles » dont parlent aujourd’hui nos physiciens, et peuvent nous permettre de transcender les limites du temps ou de l’espace. Ici encore, de récentes expériences scientifiques, au niveau subatomique, laissent à penser que cela pourrait être le cas. (…)

La mécanique quantique est fondamentalement une théorie aux nombreux univers parallèles. Certains de ces univers sont très semblables au nôtre, et d’autres très différents. Les univers proches diffèrent du nôtre par, disons, un seul photon, tandis que d’autres univers plus distants, sont totalement différents. (…)
Ce que nous voyons c’est un univers parmi des myriades d’univers possibles.

Des scientifiques se sont employés à extraire l’information des crânes. Ils disaient qu’il y avait en eux des perspectives gigantesques et qu’ils comportaient une banque de données permanente qui avait été créée au niveau moléculaire.

Beaucoup d’archéologues croient que les crânes de cristal ne sont pas Maya car ils ont une apparence plus réaliste que l’art maya traditionnel qui était très stylisé.

Ils (les Maya) étaient obsédés par les dieux du ciel qu’ils observaient beaucoup. Ils étaient experts en astronomie, mathématiques et en éphémérides.

Les crânes de cristal font partie d’une matrice de cristal qui nous, sur cette terre, nous relie à tous le reste de l’univers.

Les Maya utilisaient un système de calcul binaire dans lequel toutes les opérations se décomposent en chiffres un et zéro.