Chaque individu étant différent et doté d’une sensibilité qui lui est propre, Erwan ne fut pas bouleversé tout d’abord par l’horreur et l’incongruité du tableau auquel il était confronté.
C’est l’odeur qui lui souleva le cœur.
Au contraire de son prédécesseur, il n’eut pas le temps de se retenir et de vomir dans le couloir.