Citations de Chris Roberson (18)
Règle n°1 des pièges mortels ? Laisser l'autre monologuer. S'il divague sur son « grand projet », c'est qu'il n'a pas encore le doigt sur la gâchette. Plus vous mettez certains individus en colère, moins ils sont susceptibles de vous tuer. Parce qu'ils ont surtout envie de vous invectiver.
Cendrillon : Tu ne changeras jamais. Tu passes ton temps à te préoccuper des objectifs immédiats sans penser aux conséquences à long terme.
Sa marraine la fée : Que veux-tu dire ?
Cendrillon : C'est comme moi avec le bal et les pantoufles de verre. Tu ne t'es jamais demandé si j'allais être heureuse avec le prince charmant. Tu voulais juste que je l'épouse, et tout irait bien.
J'arpente les rayons de lune, une toile argentée reliant les mondes du multivers. Je suis Elric de Melniboné, dernier empereur d'un empire mort. Elric, glorieux prince des runes. L'épée démon buveuse d'âmes Stormbringer à ma hanche. Je voyage de monde en monde afin de préserver la balance cosmique entre la loi et le chaos. Je trouve un passage vers une autre terre et ose espérer que ma quête touche à sa fin.
Dans le jargon des espions, on appelle « légende » l'ensemble des éléments fabriqués pour constituer une identité de couverture. Faux papiers, certificats de travail, casier judiciaire, et j'en passe.
Je ne crois plus au « bonheur éternel ». C'est fini. Mais si je peux m'offrir « un instant de bonheur », alors je prends. C'est mieux que de dormir sur des cendres, non ?
Du sang et des âmes pour mon seigneur Arioch !
Il fut un temps où tu éprouvais tes propres émotions. Tu t'en souviens encore, mais à peine... Tu te rappelles la mélodie, mais pas le nom de la chanson.
On m'a empoisonné, tiré dessus, battu puis noyé. Un homme plus faible en serait mort.
Je suis français. Il n'y a que le style que nous préférons au confort.
Les habitants à la peau blanche, les "blancos" ou même plus vulgairement les "blancs-becs", étaient méprisés et cantonnés aux postes subalternes.
Les hommes restent les mêmes, quelles que soient leur époque ou leurs origines, ils répondent à la différence par la violence.
Le multivers est comme un arbre géant, un enchevêtrement infini de branches et pousses fractales, chacune étant un monde avec sa propre histoire.
L'ère des dieux est finie depuis longtemps, mais voilà que celle des héros aussi ?
Qui croirait qu'un meurtrier puisse parler de loi ?
Le peuple nous admire car il a besoin de héros, non parce que nous le désirons.
Dans un multivers infini, tout est réel.
Depuis que le monde est monde, loi et chaos s'opposent. La balance, elle, oscille d'un côté ou de l'autre en quête constante d'équilibre. Mais des forces extérieures cherchent à la déstabiliser et ainsi à rompre l'équilibre dans le multivers. A moins que le champion éternel n'agisse.
"Je contrôle ma rage. Et ma rage ne me contrôle pas." #Kratos