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Critiques de Chris Wraight (23)
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Space Wolves, tome 2 : L'appel de la tempête

Brouillon.



La mission, un Space Hulk plein de spores de la damnation. Le détruire ou condamner le prochain monde-ruche et ses 7 milliards d’âmes. Mais Badlr n’est plus un Space Wolf comme les autres, touché par l’appel de la tempête, résistera-t-il à la corruption du Warp ?



On en revient toujours un peu au même avec les romans de la Black Library. N’est pas Abnett ou McNeill qui veut. Et ce roman, que je qualifierais de mineur, sur les space marines n’échappe pas à la règle. Les enjeux sont importants et bien identifiés, mais j’ai trouvé les personnages et les situations brouillonnes, voire manquant de relief, ce qui est un comble pour des demi-dieux de la guerre.



Il est des romans de l’univers Wh40k qu’on dévore, happé par l’histoire, surfant sur l’hémoglobine, l’héroïsme et les scènes dantesques. Ce récit n’en fait pas partie.
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L'hérésie d'Horus, tome 28 : White Scars : Un..

Après 27 tomes, certaines légions restent encore bien mystérieuses et il était plus que temps que les fils de Chogoris, les fameux White Scars, fassent leur entrée en scène. Pour cette occasion, c’est le britannique Chris Wraight qui s’y colle, marquant par là même sa seconde participation à la gigantesque saga de l’Hérésie d’Horus après la novella Brotherhood of the storm déjà centrée sur les fils du Khan.

Après deux romans autour des Spaces Wolves, le britannique revient donc à ses premiers amours et tente de réaliser un roman synthétique qui revient en arrière et se situe juste après la chute de Prospero.



L’âme d’une légion

White Scars, contrairement à ce que semble indiquer son titre, n’est pas uniquement centré sur l’action de la légion du même nom.

La première partie alterne entre l’affrontement de Leman Russ et d’une partie de l’Alpha Legion, et la lente prise de conscience de la situation galactique par les White Scars alors que ceux-ci sortent tout juste d’une campagne xénocide contre les orks du monde éloigné de Chondax.

Pour approcher la légion de Jaghataï Khan, Chris Wraight choisit d’entrelaçer trois fils narratifs.

Le premier se concentre sur les Space Wolf et se termine très abruptement, le second s’intéresse aux déboires de Yesugei, le plus puissant des psykers des White Scars, et le troisième (et plus important) sur le lent cheminement du primarque et de ses fils dans le conflit intergalactique qui a déjà commencé sans qu’ils en aient conscience. Si toute la partie sur Russ semble artificielle et, pour tout dire, complètement inutile, les deux autres arcs finissent évidemment par se rejoindre afin de donner une vision globale de ce qu’est la légion des White Scars mais aussi la raison de son ralliement tardif à l’Empereur, qui n’est d’ailleurs pas sans incident !

Ce qui est intéressant dans White Scars, c’est que Chris Wraight tente vraiment de montrer une nuance à l’intérieur même de la légion en opposant la faction terrane et la faction chogorienne à travers les personnages de Torghun et de Shiban. Il illustre ainsi à la fois la façon de penser radicalement différente de ces deux peuples mais permet également de justifier la quasi-scission de la légion lorsqu’il faut répondre à l’appel du maître de Guerre. Wraight réutilise le principe des loges guerrières introduites dès L’Ascension d’Horus par Dan Abnett et revient ainsi sur les différences de philosophies guerrières entre White Scars et Luna Wolves. Dans un souci évident de bien intégrer la légion du Khan parmi ses soeurs, plusieurs primarques feront une apparition, notamment Magnus, Mortarion ou encore Leman Russ. Une participation qui permet de montrer que les White Scars sont bien différents de leurs frères tout en étant complémentaires dans leur approche. Chris Wraight offre une personnalité et un background convaincant à la légion et à son primarque, l’insaississable mais honorable Jagathaï Khan.



Choisir un camp

Si l’on excepte toute la partie avec les Space Wolf, White Scars est une excellente surprise qui parvient non seulement à nouer des fils narratifs parfois inattendus (la rencontre avec les légions éclatées, l’amitié entre Magnus et Jaghataï…) mais aussi de revenir sur l’autre évènement déclencheur de l’Hérésie extérieur au massacre d’Isstvaan : le concile de Nikaea.

Chris Wraight ose poser une question qui n’a été que très peu abordée jusque là dans l’Hérésie d’Horus : la responsabilité de l’Empereur… du point de vue loyaliste ! White Scars se demande frontalement si l’un des deux camps est meilleur que l’autre et offre un véritable dilemne moral à la légion de Jaghataï. Dès lors, et de façon assez malicieuse, derrière sa façade de divertissement spatial et son histoire de trahisons, le roman s’interroge sur les limites du pouvoir confié à des êtres aussi puissants et sur ce que l’oisiveté peut faire à un conquérant, même animé des meilleures intentions. Cela apporte une dimension réflective assez inattendue au récit et permet de poser la légion des White Scars comme l’une des plus réfléchies et des plus mesurées alors qu’ils sont souvent considérés comme trop fougueux et sauvages.

Pour les amateurs d’action cependant, n’ayez crainte puisque que White Scars propose son lot de combats épiques, spatiaux ou terrestres, et montre même une certaine maîtrise au niveau de la tension narrative qui entoure le choix de la légion et son comportement final.

Jaghataï y apparaît comme un personnage aussi fort que subtil, aussi indomptable que noble tout en laissant assez de place aux autres pour exister, notamment Yesugei et Shiban, et cela sans jamais oublier de faire avancer à sa façon l’immense conflit en route.

Chris Wraight comble un manque dans la saga et permet finalement à une légion jusque là complètement ignorée de prendre une place de choix dans la bataille pour le sort de l’humanité.



Surprenant, White Scars donne un visage et un esprit à une légion jusque là beaucoup trop discrète. En se proposant de faire le point sur l’après Nikaea et les énormes conséquences du concile, le roman permet aussi de s’interroger sur l’existence réelle et clairement délimitée d’un camp du bien et d’un camp du mal dans cette immense empoignade galactique où les frères se tournent contre les frères.
Lien : https://justaword.fr/lh%C3%A..
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L'aigle et le marteau : Icônes de Warhammer

Ce volume présente plusieurs personnages récurrents de l’univers Warhammer 40.000 et de l’univers médiéval fantastique de Warhammer – Age of Sigmar.



Riche idée qui donne à voir quelques personnages iconiques, des “gentils” et des “méchants, dans différentes séries d’histoires, mais sans être exhaustive. Chaque début de chapitre nomme l’auteur, le personnage présenté et son statut. A la fin il y a le titre du livre dont l’extrait est tiré.



J’ai pu apprécier les différentes manières des auteurs de s’immerger dans les univers et à travers les âges ! Vu la complexité j’aimerais que ce genre de recueil continue à être édité et qui présenterait les diverses séries avec une chronologie.



Je me suis régalée de l’imagination sans borne des auteurs, mais il est préférable que les âmes sensibles s’abstiennent c’est très sanglant et rempli de monstres plus atroces les uns que les autres dans les 2 univers.



Age of Sigmar m’a suffisamment accrochée pour me donner envie d’en poursuivre la lecture, étant déjà fan de Warhammer 40.000.



#LAigleetleMarteauIcônesdeWarhammer #NetGalleyFrance



Challenges MAUVAIS GENRE 2021

Challenge PAVES 2021
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Les archives interdites, tome 1 : Trône-Sarcop..

J'ai eu des difficultés à rentrer dans l'histoire et surtout à m'y intéresser parce que je voyageais donc moins de temps de lecture, plus de fatigue, etc.



L'histoire se passe sur Terra qui n'est plus qu'une immense construction avec des sous-sols sans fin où se cachent des conspirateurs et des abominations ! L'Interrogatrice Luce Spinoza qui vient de rejoindre l'équipe de l'Inquisiteur Erasmus Crowl, enquête pour empêcher le Faux Ange de parvenir à ses fins.



Le thème ne m'a pas particulièrement intéressé, même s'il est bien géré. Il est avant tout question de politique, d'adoration et de puissance de l'Inquisition. Je me suis sentie un peu enfermée et j'ai nettement préféré Les Fantômes de Gaunt ainsi que certains volumes de L'Hérésie d'Horus !



Tout ça pour dire que je n'accroche pas particulièrement avec l'écriture de Chris Wraight et je voulais voir si mon ressenti était différent avec des situations aux antipodes de mes lectures précédentes de cet auteur dans l'univers Warhammer.



Je pense que le relire en format papier sera plus agréable, le format numérique n'est absolument pas pratique pour revenir en arrière et le moment n'était pas non plus favorable.



A réserver à ceux qui connaissent et aiment cet univers, je ne pense pas que ça soit le bon livre pour débuter.



#LesArchivesInterditesleTrôneSarcophage #NetGalleyFrance #rentreelitteraire2020



CHALLENGE MAUVAIS GENRE 2020
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L'hérésie d'Horus, tome 31 : L'Héritage de la t..

» 17 nouvelles dans l’univers Warhammer 40K . Elles se situent à des moments divers de la saga « L’hérésie d’Horus » et concerne divers épisodes survenus après la trahison . Certains en sont très proches (Veritas Ferrum/Frapper et disparaître/) et directement liés à Isstvan , d’autres beaucoup plus lointains et périphériques , voire anecdotiques. Les chapitres concerné sont variés White Scars (La confrérie de l’orage),Iron Hands (Veritas Ferrum/Tiraillé/) Salamander (Veritas Ferrum/Frapper et disparaître/)Ultramarine (Honneur aux morts/La marque d’infamie ) World Eaters.(Les clous du Boucher/ Le chemin à huit branches) Word Bearers.(Les clous du Boucher/La marque d’infamie)Space Wolwes(La Griffe du Loup/Loup solitaire) Thousand Sons(Les voleurs de révélation) Emperor's Children(Lucius la lame éternelle) .A remarquer un nouvelle avec Horus comme seul personnage (Maître de guerre) .Pas désagréable mais inégal.
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L'hérésie d'Horus, tome 36 - Le chemin céleste ..

Décidément les White Scars sont vraiment à l'honneur dans l'hérésie d'Horus contrairement au Salamanders. Dans ce livre, Wraight fait beaucoup, il révèle des détails sur la nature de cette guerre et les secrets de l'Empereur, mais développe également non pas une, mais trois légions. Quatre ans après les événements de White Scars , la V Légion mène une guerre désespérée et coûteuse contre la majeure partie des légions traîtres. Avec trois légions estropiées, trois autres piégées à Macragge et les Imperial Fists refusant de quitter Terra, ils sont les seuls à faire obstacle aux ambitions d'Horus. Ils se sont bien battus, mais pour chaque seconde ou ils résistent, les traîtres ont été retardés dans leur assaut final. Maintenant, ensanglantés et épuisés par la guerre constante, ils se battent pour remplir le serment du Khan d'être à Terra lorsque la bataille finale sera menée devant les portes de l'empereur ...



Ce roman est là pour mettre la légion à jour avec le reste de l'univers, ça a complètement changé, allant de la fin victorieuse et étonnamment optimiste de White Scars droit dans une guerre déprimante et bouleversante. De nombreux personnages ont vu des changements soudains au cours de cette période, d'autres sont passés à la logique du 41eme millénaires et certains sont même morts d'emblée. Cependant, Wraight gère cela magnifiquement en commençant par l'ennemi. En montrant d'abord la légion et les événements de la guerre des yeux des Emperor's Children nous apprenons progressivement les victoires des White Scars, comment elles ont tenu la ligne face à quatre légions majeures et le bilan que ces actions ont eu.



L'ouverture explosive remplit plusieurs fonctions en plus d'offrir au lecteur plusieurs conflits majeurs dès le départ. Alors que nous assistons à des embarquements sur une flotte, à des duels de champions et à une invasion orbitale massive rivalisant avec les meilleurs moments de Félon, cela nous donne une vision claire et présente de chaque personnage principal et de la façon dont l'auteur les aborde. De nombreuses légions ont tendance à changer selon les personnes qui les écrivent de manière subtile ou majeure, et Wraight n'est pas différent à cet égard, en particulier en ce qui concerne les Emperor's Children. Le travail de Wraight ici adopte une approche très différente, mais il ne s'avère pas moins engageant que les auteurs précédents. Il les dépeint embrasse leur corruption, tout à fait conscient de cela et de la bénédiction du Chaos, même en se perdant, tout en conservant un étrange professionnalisme fataliste qui se concentre sur les meilleurs aspects de leur recherche du gloire, perfectionniste. C'est un changement de rythme bienvenu et cela permet même à Eidolon de développer son personnage si nécessaire. La même chose vaut pour Mortarion, qui obtient plus de développement dans un seul livre que ce que nous avons vu à travers presque toute l'hérésie.



Comme pour d'autres personnages, nous avons une vue imprenable sur la psyché et la vie de Navis Nobillite. Chris Wraight a accompli un travail magistral en décrivant ce que signifie être un navigateur et à quel point sa vie est dure et dangereuse. Et dans l'hérésie d'Horus, les navigateurs jouent (par nécessité) les deux côtés à la fois. Ils sont indispensables, aussi précieux que les diamants, même après avoir combattu pour vos ennemis. Ainsi, la vie du navigateur au 31e millénaire n'est pas une promenade près de l'étang.



Pourtant, le livre n'est pas tout à fait parfait et il y a quelques points de blocage irritants qui ressortent du récit. Le plus important d'entre eux est que, comme beaucoup de livres de Wraight, l'attente est longue pendant le deuxième acte, il y a une ouverture énorme et palpitante au début, mais un milieu très calme ou même lent. Jaghatai Khan lui-même est également un problème ici. très distant que, nous ne le voyons pas beaucoup dans ce livre, et une grande partie de ce que nous savons ne se dit que par des informations de seconde main. Nous en apprenons vraiment très peu sur lui ici. Il semble être touché par le même épuisement que le reste de sa légion, mais au-delà de cette inquiétude, nous ne pouvons guère nous étendre sur son rôle.



Mais à part ça, c'est un très bon livre de l Hérésie d Horus.
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L'hérésie d'Horus, tome 36 - Le chemin céleste ..

Pour la première fois depuis le début de la saga, il y a une indication temporelle sur le déroulement de cette guerre civile.

4 ans sont passés depuis les évènements ayant conduit les white scars à se battre pour l'empereur et contre Horus. 4 ans de guérilla et d'attaques éclairs contre les différents mondes et autres légions traîtres.

Nous les retrouvons en plein conflit contre des emperors's children, dirigé par Eidolon, l'âme damnée de Fulgrim qui lui semble dans son kif de prince démon de Slaanesh. Ils veulent tuer du white scars car ils sont encore les derniers à leur opposer une vraie résistance sur leur chemin vers Terra.

Les death guards les rejoignent. C'est donc une lutte à 2 contre 1 que nous aurons. Le début de la fin. En effet, les hommes du Khan souhaitent rejoindre Terra pour la dernière bataille, ne pouvant plus survivre dans un modèle d'attaques de convoi.

Une première partie dans la bataille mais un peu flou, une seconde partie lente ou l'on ne s'intéresse pas assez aux protagonistes et leurs motivations ( à part mortarion qui devient de plus en plus intéressant ) et une troisième partie avec conflit spatial bien agréable.

Un opus de la saga qui tient la route, pas un chef d’œuvre mais qui remplit son rôle en attendant d'arriver vers la bataille finale;
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L'hérésie d'Horus, tome 43 : Les légions brisées

Un nouveau recueil qui, comme tous les recueils de la Black Library, est très inégal. Lui se focalise sur ce qu'est devenu les Iron Hands après le massacre d'Itsvann V. Dans chaque nouvelle, on va suivre comment va se remodeler cette légion brisé pour redevenir une arme. Au moins ce recueil aura l'obligeance de nous fournir un bon début et une fin prometteuse, cette fois ci, les auteurs apprennent de nos critiques sur ce genre de forme. Mais bon, il leur aura fallu plus d'une dizaine d'années pour comprendre comment fonctionnait un recueil. Mais par contre, ils n'ont toujours pas compris le concept d'avancer dans une saga. Littéralement, ce tome peut se lire après le 5eme.



Et comme toujours, on a nos deux types d'auteurs, les bons et les mauvais. Et malheureusement, la seconde catégorie n'apprend pas beaucoup des critiques. Les premières nouvelles commencent bien, on nous présente une situation bien sombre. Le sentiment accablant de désespoir, de perte et de colère se manifeste tout au long de ces histoires. Personne ne sait à qui faire confiance. Personne ne sait quelles légions sont dignes de confiance. On veut se rebâtir mais on se heurte aux égaux des autres. Dan Abnett nous offre un bon début et on comprends bien la difficulté des personnages.



Les Iron Hands sont dans le meilleur des cas difficiles à aimer. Ils prennent un besoin psychopathe de soulager la chair «faible» avec un fer sombre et implacable. Cela les conduit vers une logique brutale pour ne pas dire inhumaine. Ils sont froids, implacables et feront tout ce qui est nécessaire pour atteindre leurs objectifs. Il est facile d'en faire des personnages ennuyeux et antipathiques tout comme plutôt complexes. Tout dépend malheureusement de l'auteur derrière la tache.



On retiendra surtout de cette anthologie une nouvelle très marquante, celle du septième serpent. Une infiltration au rebondissement très tragique et inhumain. Cette équipe de choc (car déjà vu dans Ange Exterminatus) chargé de tuer le Primarque Alpharius donne cependant plutôt l'intérêt à l'Alpha Légion. D'une certaine manière, c'est dommage pour une anthologie sur les Iron Hands. Une scène finale plutôt magistrale...



La dernière nouvelle aurait dû être conté par Aaron Dembski-Bowden. Graham McNeill n'arrive pas à écrire de scène frappante chez nos méchants favoris. Et pourtant, il y avait quelques belles possibilités. Ce que je retiendrai de cette anthologie est malheureusement le fait qu'elle n'a rien de bien marquant sur les Iron Hands. Le plus triste dans ce genre d'anthologie, c'est qu'on nous parle de chose anecdotique. On parle de grosse bataille et de situation géopolitique intéressante mais comme si elle appartenait à un autre roman. Un roman qui n'existe pas, le dernier défaut à lui mettre, et pas des moindres, c'est de n'avoir aucune importance dans la trame...
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Ragnar Crinière Noire, tome 7 : Le sang d'Asa..

Roman situé dans l’univers de Warhammer 40K , consacré au chapitre des Space Wolves . Un groupe de sept Chasseurs Gris doit effectuer une mission de défense d’un monde relique contre la Death Guard . Comme on peut s’y attendre avec les loups de Fenris , ça bastonne dur. Mais il y a aussi une analyse fine des rapports de meute avec des personnalités bien marquées. De plus l’alliance avec les Sœurs de bataille ,qui sont d’un fanatisme assez rigide , n’est pas sans poser problème. Un bon roman.
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Ragnar Crinière Noire, tome 7 : Le sang d'Asa..

Une fois n'est pas coutume, commençons par juger le livre à sa couverture : elle est superbe. Avis à tout ceux qui croyaient que les fils de Russ n'avaient aucun sens de l'esthétisme.

Une belle couverture comme celle ci nous rappellera toujours pourquoi le livre papier à encore de beau jours devant lui.

Mais on achète pas un livre pour sa couverture (quoique, celui ci astucieusement placé peut dissimuler à vos yeux un bibelot que visiblement quelqu'un qui ne vous aime pas trop vous a offert).

L'histoire peut paraitre simple au premier abord, un guerrier revient dans sa meute après une cinquantaine d'années d'absence passées dans le secret et dont il ne devra rien dire à ses frères d'armes. Il devra retrouver sa place au sein de sa troupe alors qu'une catastrophe s'apprête à déferler sur un monde impérial.

Simple. Et pourtant.

On en apprend un peu plus sur les missions que sont amenées a mener la deathwatch, sur Ragnar Blackmane, et sur les règles de combat au sein du chapitre des space wolf. Et surtout sur les rivalités au sein même de l'Imperium

Un premier tome facile à appréhender, mais qui recèle son lot de mystères.
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Sanguinius The Great Angel

La Black Library a des auteurs talentueux, mais force est de constater qu'à force de sortir des romans à un rythme effréné, les intrigues et les scénarios commencent à tourner en rond.



Ce roman ne fait pas exception: un énième commémorateur mal vu parce qu'il écrit la vérité se retrouve propulsé dans le grand bain de la Croisade auprès, rien moins, que de Sanguinius et de ses Blood Angels. Bien vite, il entend parler de ce qu'était la légion avant l'arrivée de Sanguinius, et se rend compte qu'il y a quelque chose qui cloche.



Sans enjeu particulier, sans non plus de grande révélation sur le passé de la Légion, ce roman est plat et sans saveur appréciable. Ce n'est pas mauvais, c'est simplement fade. Et oubliable: un mois après l'avoir refermé, il m'a fallu quelques secondes pour me rappeler le scénario. D'ailleurs, c'est exactement la morale finale du livre, que je m'abstiendrais de spoiler ici.



Bref, dispensable. Dommage.
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Valdor : La naissance de l'Imperium

En débutant ma lecture je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre. Bien sûr je connais l’univers de Warhammer 30 k et 40 k mais ici….l’histoire prend place bien avant l’évènement clé appelé Hérésie d’Horus. Nous sommes ici sur Terra, bien loin ( ou presque) du lointain futur où il n’y a que la guerre.



Je ne savais pas à quoi m’attendre et j’ai été très agréablement surpris. L’histoire prend son temps tout en abreuvant le lecteur d’infos très peu évoquées dans d’autres romans de cette univers. On assiste entre autre à la construction du gigantesque palais Imperial au cœur de l’Himalaya , à l’enlèvement des Primarques, a la fin des guerres d’unification et a biens d’autres événements fondateurs de cet univers.



J’ai particulièrement apprécié la narration mêlant récit classique et « entretiens » entre Constantin Valdor et une haute seigneuresse de Terra.



Ce récit qui mêle habillement science-fiction, politique et évidemment batailles épiques, prouve que l’univers de Warhammer peut proposer autre chose que des récits de guerres bas du front.
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The Horus Heresy - Primarchs : Scions of th..

Un recueil de nouvelles qui ne déçoit pas! Je dois avouer que je suis très agréablement surpris par la qualité des textes qui composent ce recueil, et de façon générale, toute la série "Primarchs" et ses dérivés, qui ne m'a jusqu'ici pas déçu (hormis Fulgrim, dont l'histoire n'apportait rien au puzzle).



Ici, ce sont donc huit nouvelles qui abordent tour à tour l'un des primarques et ses relations avec les autres et leurs légions. Je les ai toutes appréciées, ce qui est rare sur un recueil, et ceci d'autant plus que je n'apprécie pas certains primarques, comme Jaghataï ou Roboute.



Le recueil se paie même le luxe devenu rare ces derniers temps de mentionner explicitement les IIe et XIe légions, dans la nouvelle consacrée à Rogal Dorn, et de nous en révéler un peu plus sur la Damnatio Memoriae qui les frappe.



Bref, une belle réussite, et un bon divertissement pour quiconque apprécie l'univers de l'Hérésie d'Horus.
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L'hérésie d'Horus, tome 28 : White Scars : Un..

Voila un bon opus de la saga de SF l'hérésie d'Horus.

Un excellent space-opéra avec rythme et personnages en doute. On y rencontre plusieurs chapitres qui étaient peu présents jusque-là, les white scars, la death guard, les spaces wolves, l'alpha légion et un peu de word bearer,de salamander et de iron hand, rien que ça, ça donne envie.

Tous sont différents et se retrouvent dans des positions ou il faut faire des choix cruciaux. Pour qui lit la saga dans un semblant d'ordre, ce volet fait avancer la guerre civile et on sent qu'on avance dans le récit. Beaucoup de discussions avec différent primarques ou personnages secondaires permet de comprendre les points de vue de chacun et leurs rôles à jouer dans la guerre.

Le rythme est bon dans ce tome, on ne s'ennuie pas et les différentes histoires se combinent bien. Le fait d'avoir une lutte interne au sein d'un chapitre est un clin d'oeil aux premiers tomes, surtout avec le retour des loges, où l'on voyait ces conflits fratricides avec la fin qu'on leur connaît. Ici, l'histoire est toute autre, et la résistance se construit.

Un excellent opus à ne pas louper de la saga.
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L'hérésie d'Horus, tome 31 : L'Héritage de la t..

Anthologie avec du très bon et du très inutile:

La confrérie de l'orage 4/5 Je ne suis pas un grand fan de White Scars; cette histoire et le tomes 28 ont changés cela. J'ai apprécié les points de vue différents (intérieur et extérieur à la légion) et la façon dont chacune a permis de comprendre un peu la V Légion . Avec bien sûr, les liens forgés dans la bataille entre les différents frères de la Légion, avant que ces liens ne soient rompus par la trahison et la méfiance. Il compte plus de 120 pages, avec de très bonnes actions mais sans grand rebondissement .

Serpent 2/5 Ce micro-serpent de John French, qui est un très bref aperçu d'un rituel du Chaos exécuté par un prêtre de l'un des cultes davinites. Trop court. J'ai seulement commencé à ressentir l'atmosphère chaotique à la fin de l'histoire.

La lune du chasseur 4/5 Celui-ci raconte à la première personne ce qui se passe lorsqu'un légionnaire de Space Wolves s'écrase sur un monde sans importance et est sauvé de la mort par des mortels. Le pêcheur Tidon est un merveilleux narrateur qui raconte au public le sort final de l’équipe Space Wolves envoyée à la Légion Alpha pour la surveiller. J ai plutôt bien aimé pour ma part.

Veritas Ferum 4/5 Un merveilleux prélude à la damnation de Pythos, intense et plein d'action. Aussi bref que cela puisse être, cette histoire vous jette à bord du navire Veritas Ferrum et il n'y a nulle part où aller.

Tiraillé 5/5 Je trouve cette histoire très inhabituelle et inquiétante, ce qui est exactement ce que je recherche dans les HH/40k. De retour sur Terra, le premier capitaine Sigismund des Imperial Fists demande l'aide d'un guerrier Iron Hands pour rechercher les survivants du massacre. Il est astucieusement réalisé et met en évidence le froid et le désespoir des Iron Hands après les trahisons d’Isstvan et la mort de Manus avec un super concept.

Frapper et disparaitre 3.5/5 Les Salamandres se vengent ... et rien d autre.

Honneurs au mort 6/5 Je lui donnerais bien plus d'étoiles si je le pouvais. Titans, Calth, Ultramarines et civils. Il était étonnant d’avoir quatre perspectives différentes, en particulier celles des citoyens ordinaires de Calth. Bien joué.

Les clous du boucher Nous obtenons une description très claire de la manière dont ces clous affectent réellement l'Ange Rouge et sa légion, il y a beaucoup de préfigurations, un changement dans le personnage de Lorgar par rapport au premier hérétique. ET la féroce Lotara Sarrin, l'un des meilleurs personnages humains de HH! C'est fascinant de voir la relation entre Angron et Lorgar, sachant ce qui se passera ensuite. La dynamique entre Kharn et Argel Tal, qui traverse déjà une triste transformation. Magnifique ajout à Félon.

Maître de guerre 3/5 Trop court

Kryptos 4/5 Raven Guard et Iron Hand rencontre Mission Impossible

La griffe du loup 2.5/5 Space Wolf vs Alpha Legion et ... que ça et en plus l action est pas super

Les voleurs de révélations 5/5 Ahriman et Magnus qui discute, une scéne excellente, immersive et obsédante, me donne hâte de lire le roi écarlate.

La parole divine 4/5 la Garde Impériale de Therion est en action, agréable bataille.

Lucius, la lame éternelle 5/5 Lucius mais quel BADASSITUDE.

Le chemin à huit branche 4/5 Après les événements de la croisade des ombres, nous voyons Kharn dans les fosses de combat. Juste un peu moin court et c était mieux.

Gardien de l'ordre 2/5 Retour sur Caliban et bien trop court

Le Coeur du Conqueror 5/5 Regard intéressant sur les astropathes chez les traîtres. J ai adoré

La marque de l infamie 4/5 Ce n’est pas comme si nous avions besoin d’autres histoires de Calth, mais celle-ci m’a plutôt plu. Thiel est de retour et fait ce qu'il fait de mieux. Être insubordonné.

Loup solitaire 4/5 Court mais assez bon

A part le prix en version papier, c est un recueil assez bon.
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L'hérésie d'Horus, tome 28 : White Scars : Un..

Le 28 ème volume appartenant à la saga « L’hérésie d’Horus » dans l’univers de Warhammer 40 000 . Encore un bon opus , bien construit , point trop manichéen (même les demi-dieux sont emplis de doutes ) et d’un rythme digne des motojets . 400 pages qui se dévorent. Cependant , si vous n’êtes pas familier de ce monde-là , vous ne comprendrez pas grand-chose .
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L'hérésie d'Horus, tome 33 : La Guerre Eterne..

Ce trente-troisième tome de la collection Horus Heresy est un recueil de nouvelles comprenant une petite vingtaine d'histoires toutes assez intéressantes. On y retrouve énormément de personnages issus des tomes précédents, qui se croisent dans des histoires situées entre les volumes écoulés et à venir.



La diversité des nouvelles ne se fait pas au détriment des qualités de chacune, même si toutes ne sont pas égales. Toutes sont cependant agréables à lire et apportent quelque chose à la grande toile de fond qu'est la saga de l'hérésie d'Horus. Elles ne sont néanmoins pas, à mon avis, indispensables à lire pour la compréhension des divers fils scénaristiques en cours à ce niveau de la collection. Certaines histoires ont monté d'un cran le "grimdark" par rapport à certains volumes précédents, sans tomber dans le cliché trop facile du gore caricatural. Sur ce dernier point, et bien qu'elle soit tout à fait réussie, la nouvelle Chirurgeon, mettant en scène Fabius Bile, pourrait tout de même décontenancer des lecteurs sensibles (est-ce qu'il y en a, seulement?), en raison de ses descriptions détaillées et très évocatrices de dissection...



Un volume réussi, qui se lit très agréablement, et offre un choix assez large de personnages et de légions impliquées qui satisfera aisément ses lecteurs.
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Space Wolves, tome 2 : L'appel de la tempête

Un roman agréable mais un peu trop prévisible

Cela reste agréable de suivre les péripéties des Space Wolves pour empêcher l𠆚nnihilation d’un monde ruche et de ses 7 milliards d’êtres vivants.



Ce n𠆞st certes pas un roman inoubliable ou un chef d’œuvre mais ce roman réussit son objectif de nous entraîner dans les ténèbres du 41e millénaire où il n’y a que la guerre.
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L'hérésie d'Horus, tome 35 : L'Oeil de Terra

Ce recueil de nouvelles est plutôt bon sans être incroyable.

La nouvelle sur Lorgar, selon quelqu'un qui mis top 4 "Le premier Hérétique", est la meilleur et a toute l'allure de scènes coupées du 14eme roman.



Le thème de la remise en question de la loyauté est toujours bien présent.



Big up aux 2 nouvelles de Nick Kyme sur Thiel qui pour une fois ne déçoit pas !
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L'hérésie d'Horus, tome 31 : L'Héritage de la t..

Un recueil de nouvelles et novelas à la qualité inégale, comme souvent avec ce genre de publication. La première nouvelle qui sert d'introduction au roman Scars, est particulièrement laborieuse avec ses 140 pages qui n'apportent pas grand chose si ce n'est "compléter" l'histoire déjà racontée dans le 28e roman de l'Hérésie d'Horus.

Le reste est un ensemble de nouvelles et de novelas qui servent plus d'histoires d'ambiance qu'à faire progresser la trame générale. Beaucoup sont issues des audiodrama de la Black Library, et la plupart sont sympathiques à lire.

Un volume pas forcément indispensable, qui n'apporte pas grand chose mais se laisse lire sans aucun problème une fois passé le premier quart.
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