J'ai apprécié ma lecture malgré une certaine lacune dans la subjectivité (qui m'a fait défaut tout au long du récit). Ressenti sûrement dû au style de la plume. Je l'ai trouvée un peu trop clinique, surtout dans la première moitié du livre. Les faits sont relatés mais ne laissent pas beaucoup de place à l'émotion. C'est un peu trop sec parfois, sans sensibilité dans le choix des mots. Malgré l'utilisation de la 3ème personne omnisciente, et donc le point de vue parfois des victimes, ça reste trop survolé. Je n'ai pas ressenti l'horreur des victimes conscientes, c'est dommage.
Mis à part ce détail, l'histoire est bien, sans grand suspens cependant. Mais j'ai aimé le côté gore et le récit reste fluide.
La fin me laisse sur ma faim malheureusement. Je vais donc tenter le second tome pour voir si justice il y a.
Commenter  J’apprécie         40
Je ne connaissais pas ce livre et j’avais envie de le lire grâce à @oceadorable__ qui en a beaucoup parlé. Comme le livre l’indique sa lecture est réservé un à un public majeur et averti et je confirme que ce livre n’est pas pour tout le monde. C’est très hardcore et ce n’est pas une darkromance je vous préviens ! Il faut s’accrocher pour le lire, personnellement ce n’était pas un coup de cœur mais j’ai quand même bien aimé et je l’ai lu en une journée. Ce livre est très petit et se lit vite. J’aime beaucoup la plume de l’auteure et j’ai donc mis ses autres livres dans ma wishlist.
Gaëlle souffre de dédoublement de la personnalité jusqu’au moment où elle en prend conscience. Elle pensait juste à du somnambulisme mais lorsque au fur et à mesure du temps beaucoup de part de pizza son préparer alors qu’elle ne s’en souvient plus c’est quand même bizarre. Elle fait donc appel à un hypnotiseur qui pourrait potentiellement répondre à ses questions et à savoir pourquoi des choses étranges se passent dans son appartement qui semble tout à fait normal.
Et bien ses questions vont avoir des réponses plutôt inattendues. Je n’en dirai pas plus pour ne pas spoiler. C’est un roman noir mais avec une excellente plume. Ce n’est pas le premier livre que je lis qui est aussi sombre mais il est quand même premier parmi ceux que j’ai lus.
Il me tarde de lire le tome 2 🤩
Commenter  J’apprécie         40
Si vous aimez la série de films « Saw » comme moi, vois allez forcément adorer aussi ce livre! C’est mon premier de cet auteur (dont j’ai eu le grand honneur d’avoir une jolie dédicace!) et ce ne sera pas le dernier! Vous y trouverez du gore, beaucoup de sexe très hard, de l’intrigue,… Un très beau mélange que j’ai adoré!!!
Commenter  J’apprécie         40
Si le premier tome passait bien, cet opus est une véritable déception. En fait il a même cassé mon intérêt pour le Tome un, quand j'ai compris qu'Elia était une "entité" à part entière. J'aurais préféré que l'autrice reste sur l'histoire de départ, c'est à dire la schizophrénie et une double personnalité dont la malade n'a pas conscience. Découvrir l'existence d'un "fantôme" m'a un peu refroidie je dois l'avouer. J'aime le fantastique, mais là ça ne colle pas, tout simplement.
Le scénario ici est cousu de fils blancs, des personnages en carton, une succession de meurtres gores mais rien derrière, même l'hôte d'Elia ne sert à rien à part justifier quelques dialogues ici et là. Ma seule consolation, la punition de Gérald, après je tournais les pages à reculons... je me suis ennuyée à tel point que souvent je lisais une ligne sur deux pour finir plus vite et passer à autre chose.
L'épilogue... arrive comme un cheveu sur la soupe, genre parce qu'il fallait en écrire un, mais c'est sans intérêt cette histoire de prostituée chinoise à Vegas, sans blague ? Quant au bonus sur l'origine d'Elia, je me demande encore ce qu'il vient faire là... J'ai eu la désagréable impression que l'auteure cherchait à nous fournir les pièces manquantes d'un puzzle. Il aurait été plus judicieux d'inclure tout cela dans le récit, avec des retours en arrière, des réflexion de la narratrice... pas comme un mode d'emploi à la fin du livre... Et que dire d'Antoine, personnage décoratif par excellence ?
Bref, je n'ai pas aimé, c'est mal amené, pas intéressant, sans émotions, vide de sens. Cependant la plume est fluide, agréable malgré quelques fautes non corrigées ici et là.
Commenter  J’apprécie         30
C’est avec une grande déception que je termine ce roman. Comme d’habitude, je me suis fiée à la multitude de commentaires positifs faisant son éloge, mais ici, le charme n’a pas opéré pour moi.
Tout commence pourtant avec un sujet fort original. Gaëlle, jeune femme de 25 ans, est atteinte de schizophrénie. La nuit, elle laisse place à Elia, qui a l’effigie de la mante religieuse, torture et tue ses partenaires sexuels après l’acte. En soit une intrigue prometteuse, mais pour ma part, je trouve que l’auteur est passé à côté du sujet. L’histoire met beaucoup de temps à se mettre en place : pendant près de la moitié du livre, il n’y a pas réellement d’action et Elia n’est pas assez mise en avant. On a une intrigue qui est alourdit par des conversations sans valeur ajoutées (je pense notamment à celle avec l’hypnotiseur pour prendre le rendez-vous, entre autres), on suit Gaëlle dans sa journée de travail, jour par jour, sans rien qui se passe. Il y a quelques flash-backs d’Elia, par-ci par-là, mais rien de croustillant à se mettre sous la dent. Dans la seconde partie de l’intrigue, le rythme s’accélère rapidement, comme si l’auteur avait compris que les pages étaient comptées avant la fin de l’histoire. Mais malheureusement, le rythme s’accélère sans forcément avoir plus d’action.
Au niveau de l’intrigue en elle-même, je n’ai pas compris l’intérêt. Je suis peut-être passée à côté, ou ce n’est pas mon type de roman, mais j’ai eu envie de dire « pourquoi ? ». Il y a des idées intéressantes, comme l’apparition des pizzas par exemple, mais elles ne sont pas exploitées jusqu’au bout. Je m’attendais à avoir une interaction entre les deux personnalités de Gaëlle, que sa personnalité sombre prenne le dessus dans sa vie quotidienne pour la mettre dans des situations embarrassantes. Mais rien de tout ça, et je ne parle même pas du dénouement de l’intrigue. J’ai beaucoup été déçue à cet instant où je me suis dit « tout ça pour ça ? ».
Concernant le personnage de Gaëlle, je n’ai pas réussi à tisser de lien avec elle. Je l’ai trouvé assez niaise (surtout avec l’histoire des pizzas), je ne comprenais pas vraiment toutes ses réactions et ses actions. Seul son passé ne m’a pas laissé de marbre, car c’est un thème que j’évite de lire. Elia, pour le coup, est beaucoup plus travaillé psychologiquement et est donc plus intéressante.
La quatrième de couverture, et beaucoup de commentaires, avertissent les lecteurs qu’ils vont lire des actions pouvant les choquer (scènes de tortures & de sexes). Je m’attendais à beaucoup plus hardcore, mais ce point est propre à chacun. Il y a beaucoup plus de scène de sexe que de torture, donc des lecteurs qui cherchent le frisson resteront sur leur faim. Mais effectivement, pour le peu qu’il y a, ce n’est pas à mettre dans les mains de tout le monde.
Pour conclure, vous l’avez compris, ce roman ne fut pas une réussite pour moi. Comme c’est beaucoup lecteur dépendant, et qu’il y a du travail, je ne mettrai pas une mauvaise note. En effet, la plume de l’écrivain est agréable et nous entraîne dans la vie de Gaëlle. Ainsi, je ne trouve pas intéressant de le descendre alors qu’il peut plaire à beaucoup d’autres lecteurs. Cependant, je déconseille ce roman pour les amateurs d’horreurs et de lecture noires.
Commenter  J’apprécie         20
Attention: GROS TRIGGER WARNING...
Un roman strictement interdit au moins de 18 ans...et ce n'est pour l'horreur que j'écris cela mais pour la pornographie continue de ce roman.
Trop de pornographie d'ailleurs. Ca va 5 minutes mais pas tout le long du roman.
Et que dire du labyrinthe meurtrier inventé pour punir l'homme le plus abject que j'ai pu voir dans les romans d'horreur ou les thrillers... Hannibal Lecter a quand même un peu d'humanité... Un labyrinthe ridicule loin de la saga Saw, les personnages ne sont pas attachants, pas de psychologie, et les moments dans ce "labyrinthe" sont pathétiques: les personnages ne sont pas stressés, se lancent des vannes ou des insultes comme s'ils étaient chez eux dans leur salon...
C'est dommage car l'écriture de l'autrice est plaisante... Un raté pour moi.
Commenter  J’apprécie         20
C’est mon second livre de Christal Card, après avoir lu « Sawsex » que j’ai adoré, je lui ai réservé celui-ci quelques jours avant sa sortie en France pour l’avoir dédicacé! déjà c’est une personne vraiment agréable avec qui c’est facile de communiquer et ça, j’apprécie vraiment donc tout d’abord un grand merci à elle!
Pour l’histoire : on suit Maëva qui se rend à son travail et prend un raccourci qui va la menait tôt droit dans un labyrinthe de l’horreur (le titre du livre est parfaitement bien choisi!). Elle devra suivre les ordres d’un inconnu pour massacrer (car tuer ne serait pas assez fort comme mot) des gens qui n’ont aucun scrupule, des crapules en tout genre, qu’on a nous aussi en tant que lecteur, envie de tuer en fait! Maëva va passer de pièce en pièce afin d’atteindre son but ultime : l’espoir de sa délivrance!
Sincèrement j’ai adoré car déjà dès les premières pages, l’intrigue est posée! Christal Card a une imagination débordante pour tout ce qui est Tortures et vices sexuels (ça en est mêlé inquiétant 🤣🤣) mais quel régal!!! Et la fin est vraiment très intéressante!
Bref il faut découvrir Madame Card car elle en vaut la peine! Si vous aimez les livres bien noirs, les tortures mélangées à du sexe et une bonne intrigue ce livre vous plaira à coups sûrs!
Commenter  J’apprécie         20
Autant le dire de suite, c'est une déception. Il n'y a pas grand intérêt pour moi. Il aurait mieux valu, à mon avis, allonger le premier volet.
.
On apprend ce que devient le père de Gaëlle, et on en sait plus sur Elia, en toute fin, avec Spin Off.
À part, du gore à revendre pour les amateur.
Je respect quand même le travail de l'auteur, pour en redonner, du sang, qui ravira les amateurs du genre.
Commenter  J’apprécie         20
J’ai découvert la plume de Christal Card Auteure avec La Mante religieuse et je n’ai pas été déçue ! J’appréhendais un peu le côté sexe et torture mais franchement, ces scènes servent très bien l’histoire et ne sont pas du tout malvenues. Je classe donc ce roman dans la catégorie des thrillers sachant que la mention « Pour public averti » est annoncée dès le résumé.
La plume est très agréable, fluide, sans fioriture. L’histoire est vraiment bien amenée et menée, du début à la fin, rien n’est laissé au hasard. J’ai adoré le parallèle entre les deux personnages principaux, Elia et Gaëlle, deux alters d’une même personne qui souffre de TDI sans même le savoir. Cette idée m’a fascinée. La construction des personnages est très bien réalisée. Les deux alters sont aussi différentes que le jour et la nuit. On s’attache à l’une, on redoute l’autre, et pourtant on ne peut s’empêcher de vouloir connaître les raisons de cette réponse extrême d’Elia à un probable traumatisme subit par Gaëlle. On passe donc d’un quotidien plutôt calme, avec Gaëlle, à travers son travail, ses visites dominicales chez ses parents, qui amènent du répit pendant notre lecture à des nuits bien plus agitées aux côtés d’Elia, qui nous changent totalement d’ambiance. Séduction, sexe, violence, mort.
Les scènes de sexe et de violence qui s’enchainent et augmentent crescendo la pression enrichissent le scénario d’une sacrée dose de frissons et d’adrénaline. Je n’en dévoile pas plus sur l’histoire au risque de trop en dire, mais cette lecture est devenue rapidement addictive. Faire souffrir, se venger, tuer en le faisant avec violence, sans limite, pour compenser un mal-être impossible à contenir. Les meurtres s’enchainent, l’incompréhension grandit chez Gaëlle qui ignore tous des actes de son alter. Elle finit par chercher des réponses auprès d’un thérapeute et ce qu’elle va découvrir va la bouleverser. Le lecteur devient le témoin d’actes de plus en plus barbares, choquants, l’autrice ose tout, mais elle le fait bien. J’ai été totalement absorbée par cette lecture, cette histoire, à la fois secouée, mais également bouleversée. Les personnages deviennent rapidement attachants, même Elia, dans une certaine mesure.
Bref, malgré ma sensibilité, j’ai beaucoup apprécié cette lecture, donc à vous de voir si vous voulez tenter l’aventure, mais ce serait dommage de passer à côté ! Et comme il y a une suite, je vais m’empresser de la découvrir dans les prochains mois.
Commenter  J’apprécie         10
J'ai adoré ce thriller, il m'a tenu en haleine et je voulais aboslument connaître la fin!
J'espère qu'il y aura une suite sur le personnage de la mère que j'ai trouvé des plus inspirants!
Merci Christal de nous partager tes univers, même les moins gores!
Commenter  J’apprécie         10
Gaëlle jeune fille de 25 ans, bien sous tout rapport le jour..
Elia, 25 ans également, mais tueuse en série...
Qu'est-ce qui peut les rapprocher ???
A part le même corps pas grand chose...
Effectivement Gaëlle souffre de dédoublement de la personnalité mais sans le savoir jusqu'au moment où le pire du pire s'insinue en elle et qu'elle en prenne enfin conscience..
Au début elle pense juste à des crise de somnambulisme, c'est quand même cool de se préparer des pizzas toutes les nuits sans s'en rendre compte et donc de faire ses nuits comme ci de rien n'était.. enfin presque...
Pour ne pas spoiler je n'en dévoilerai pas plus.. ba oui cela ne serait pas drôle...
A si une dernière chose: je ne verrai plus du tout les parties de jambes en l'air et les pizzas de la même façon.....
Pourquoi me direz vous?? Et bien lisez ce super roman et vous verrez pourquoi....
Commenter  J’apprécie         10
La mante religieuse
Christal Card Auteure
Amis lecteurs ,
"Gaelle , pétillante , jeune femme souffre sans le savoir de troubles dissociatifs de l'identité. A la nuit tombée , elle laisse sa place à Elia , une prédatrice qui attire chez elle les hommes pour assouvir ses envies de sexe et de sang.."L'auteure nous avertit : voici une lecture pour public averti ( mieux vaut deux fois qu'une !).
Personnellement , j'ai foncé , tete baissée "Meme pas peur !"
Le titre de ce premier roman m'a interpellé : la mante religieuse , vous savez , cet insecte qui peut se camoufler pour mieux sauter sur sa proie ? Oui , beaucoup de choses se cachent sous ce titre.
Ce livre est d'une forte intensité, dans tous les sens du terme, mais il nous délivre un sacré message .
Je ne vais quand même pas spoiler !
Si vous avez subi un énorme traumatisme ou mieux si vous avez été victime : que choisissez - vous le pardon , l'indifférence , le déni , la haine , la vengeance ou ?
A vous de me le dire après cette lecture parce que pour un premier roman , l'auteure ne fait pas dans la dentelle mais elle réussit parfaitement !
Bravo Christal Card Auteure : tu as su franchir bien des barrières et ça fait du bien
Commenter  J’apprécie         10
Maeva en a ras la foufounette des pulsions lubriques de son compagnon.
Pas de chance pour elle, parce que dès le premier chapitre, elle se perd dans un sacré dédale, sans réseau, et en compagnie d'un drôle de clodo.
Le Labyrinthe de l'horreur (qui aurait dû s’appeler Le Labyrinthe du viol) n'essaye même pas de proposer un semblant d’histoire en se contentant d’enchaîner les sévices sexuels.
Commenter  J’apprécie         00
Noémie, cinquantenaire invisible aux yeux des autres, adopte un chaton trouvé dans une benne à ordure. La petite créature a besoin d'amour et ça tombe bien, elle en a plein à donner.
Mais Noémie n'a pas toujours été aussi vieille et fade, non, non.
La voilà bientôt en train de se remémorer son adolescence. Plus particulièrement de l'époque où elle fit la rencontre de David, un étudiant aux yeux trop clairs, porteurs d’une étrange aura. David, son premier amour.
Si je ne suis pas toujours convaincue par la formalité des dialogues de Christal Card, je dois avouer que cette aventure adolescente riche en premiers émois est cependant prenante.
De part sa fraîcheur et son réalisme, l’histoire est parvenue, comme Noémie, à me re-propulser dans une époque pas si lointaine. Par contre, fallait-il vraiment détailler à ce point la sexualité de nos jeunes protagonistes ?
Malheureusement, j’ai trouvé que les révélations (et plus généralement, la gestion de la tension dans la dernière ligne droite) n’étaient pas à la hauteur.
Je retiendrai surtout l'éclat de cette tranche de vie adolescente, plutôt que ce qu’il y avait autour.
Commenter  J’apprécie         00
La Mante religieuse avait-elle besoin d’une suite ? Je dois bien avouer que je ne m’y attendais pas. Surtout que celle-ci s’avère encore plus crue, avec pour victime une Ania âgée de dix ans, à peine. Le florilège malsain se poursuit ainsi avec, en bonus, le fantôme d’Elia.
Comme pour le premier tome, le scénario se veut aux abonnés absents, avec une fois encore de multiples infos éparpillées dans l’épilogue, que l’autrice n’est pas parvenue à faire rentrer dans le récit de base. Décevant.
Commenter  J’apprécie         00
Tout est dans le titre. La Mante religieuse propose un porno-gore pervers et sanglant. Christal Card se prend d’ailleurs particulièrement au jeu à travers la mise en scène de contenus pour adultes très, très, détaillés. J’aimerais pouvoir dire qu’autant de passion a été mis dans les dialogues, mais on ne peut pas tout avoir dans la vie. Faut pas déconner.
Mais revenons à nos moutons : ces scènes crues de mutilations sexuelles. Il va falloir s’y habituer, s’y accrocher, mais surtout les enchaîner avant de voir poindre à l’horizon un embryon de scénario au milieu de ce foutoir décadent baignant dans l'hémoglobine.
Le pitch, quant à lui, vous le connaissez : Gaëlle, le jour, jeune célibataire timide se transforme la nuit en Elia, avide de phalli (le pluriel de “phallus”, on en apprend tous les jours). Et tout cela pour quoi ? Une conclusion des plus convenues.
Commenter  J’apprécie         00
Je suis assez mitigé sur cette lecture. Vu le résumé et l'interdiction de moins de 18 ans, je ne m'attendais pas tout à fait à cela.
Certes, il y a de la torture, de l'hémoglobine. Mais le thème principal de l'histoire reste le s*xe.
Plusieurs histoires ce rejoignent, parfois bien glauque. Mais du c*l.. ce qui n'est pas vraiment pas tasse de thé.
Heureusement qu'il y a un peu de torture la dedans !
Et puis, je trouve que Maëva est trop froide, fade, sans réelle émotion. Et la fin, je reste dubitative...
Commenter  J’apprécie         00