Citations de Christian de Metter (115)
On peut faire souffrir quelqu'un qu'on aime, mais quelqu'un qu'on n'aime pas... Non, c'est bas.
A croire qu'il faut frôler la mort pour comprendre la beauté de la vie.
- Tu vas me larguer, pas vrai ?
- Dis pas de conneries.
- C'est pas des conneries, c'est écrit sur ta tronche. c'est ta technique.
Tu baises et tu te casses.
Salaud ! (en s'en allant)
- j'avoue que je ne vous comprends pas. Si vous voulez récupérer le cheval c'est pour partir avec et nous laisser... Alors pourquoi nous avoir sauvés de [...] ?
- je marche à l'instinct. Mais vous savez, dans ma vie j'ai sans doute plus souvent sauvé que tué. Mais on ne juge que le mal dans ce monde, on n'fait jamais la balance.
Elle savait que le moment était venu... Celui auquel elle s'était préparée et dont elle pressentait la douleur abyssale qu'il fallait lui causer. Ce fut très lent, très long... Les lèvres butant sur chaque syllabe... Madeleine attendait, patiente, voyant se dérouler la vie de son fils... Une vie dont elle ne savait rien, qui parlait d'un enfant qui était le sien et qu'elle ne connaissait pas.
C'est l'Amérique, Georges. Si tu gagnes, tu as tout. Si tu perds, t'as rien. C'est comme ça, c'est un pays pour ceux qui ont des couilles.
Qui baise avec une tarée s'expose à se faire baiser par une tarée.
- vous avez connu mon père ?
- George ? Oui. Très bien même. D'ailleurs c'est marrant mais la dernière fois que je l'ai vu, il neigeait aussi. C'était à Wounded Knee.
- vous étiez à la bataille de Wounded Knee ?
- la bataille ? Ah non, Wounded Knee, c'était tout sauf une bataille.
C'était un massacre.
De tout ce que vous possédez, c'est encore votre liberté qui a le plus de prix.
Ce sont les morts qui se chargent de réunir les vivants.
Madeleine était une femme divorcée....
"On se remarie à cet âge-là", lui avait dit son père, " Une banque qui a des intérêts dans de nombreuses sociétés commerciales, ça n'est pas une affaire de femmes ."
Si je ne vois pas de pingouin d'ici 30 secondes, je me casse d'ici et je n'y remets jamais plus les pieds.
-- Mais... A qui pensez-vous en parlant d’être civilisé? A l’Indien qui vit en paix avec la nature ou au colon qui extermine tout un peuple, des femmes, des enfants, des vieillards, tout ça pour des terres?
A l’esclave ou au maître? A celui qui est enchaîné ou à celui qui a l’idée d’enchaîner un de ses semblables?
- Il n'y a aucune raison valable pour que cet animal meure ainsi, si ce n'est la cruauté de l'Homme. La mort devrait arriver quand on est vieux, pas quand on est jeune et...
- C'est comme ça. C'est la vie. C'est sa fragilité qui la rend si belle et intense.
- C'est comment la guerre ? Vous avez tué des gens ?
- Non et j'en suis fier. Deux jours de guerre... Veni, vedi et j'ai pris un gros obus sur le gueule.
- Vous allez où ?
- Nulle part .
- Je viens avec vous . C'est là que je vais moi aussi .
- Il semblerait que les habitants de cette planète aient systématiquement une irrésistible envie de la détruire et de scier la branche sur laquelle ils sont assis.
- Je lève mon verre à l'humain, un éternel crétin.
– Nous sommes d'une famille qui a des principes très stricts.
– J'aime les principes surtout lorsqu'ils sont déclarés par d'aussi jolies bouches.
Je lève mon verre à l'humain , cet éternel crétin.
Dis, tu veux une turlutte ?
Hein ? Heu....Non. Je conduis, c'est dangereux.
Oh la, je suis tombé sur un taureau sur le retour, ma parole
Angie, on l'a fait six fois depuis hier. Je suis vanné. T'as pas eu ta dose ?
Tu rigoles ?
M'est avis que tu vas avoir besoin d'une sérieuse remise en forme, mon mignon