A la veille de la Révolution, la diversité locale demeure la norme. Les langues dessinent une France divisée entre langues d'oil au Nord et langues d'oc au Sud, chacune déclinée en de nombreuses variantes, sans compter une langue intermédiaire, l'arpitan ou franco-provençal, ou le breton. La majorité des sujets du roi ne parlent pas la même langue que leur souverain.