La cabane perdue au fond des bois, c'est le cocon englobant de notre enfance [...] C'est le nid d'amour, le "cabanid", comme le nid des marsupilamis, le lieu onirique de l'échappée imaginaire, de la protection et du repli sur soi. On y abrite nos fragilités, on s'y cache, on s'y isole.