Christian Peron-Debarbieri

Biographie :

Né d’une famille d’immigrés italiens vers le milieu du siècle dernier (1954), il était, tout jeune enfant, passionné par la lecture, et lisait tout, même les affiches publicitaires, qu’on appelait alors les réclames.

Devenu ingénieur et accaparé par ses occupations professionnelles, il n’a pas pour autant oublié ses amours littéraires. Les meilleurs auteurs, à l’entendre, sont français : Giono et Magnan, depuis longtemps ses maîtres à penser, alimentent son besoin inextinguible de toujours faire mieux.

Et puis le destin, ce bras armé de la Vie, pour lui rappeler, sans doute, que nous ne sommes rien qu’un petit brin d’humanité sans importance, l’a frappé ; sa chiquenaude l’a fait tomber de la moto qu’il pilotait en pensant à autre chose. Après l’accident il est resté assis dans un fauteuil roulant pendant près d’un an avant de remarcher. Pendant cette période, où il a découvert cette citation attribuée à Confucius : « On a deux vies. Et la seconde commence le jour où on se rend compte qu’on n’en a qu’une. », il s’est mis à écrire.

Dans son premier livre, l’histoire romancée de son grand-père et de sa famille italienne, il a mis son cœur d’enfant, sa rage de vivre et son amour des autres ; par bonheur il a eu le privilège de trouver un éditeur : « Le syndrome de Caporetto » était né.

Dès avant la sortie de ce premier roman, il s’est remis à noircir des pages avec d’autres histoires : une longue nouvelle, inspirée de la vie de tous ces entrepreneurs et risque-tout de l’économie qu’il a côtoyés pendant tant d’années, ça a donné « Marcher au soleil »,
et puis surtout une histoire bâtie autour d’une mutinerie sur un cuirassé français. C’est son troisième ouvrage et ça s’intitule « Un goût de cendre ».

Ses projets : d’abord écrire un roman sur le naufrage de la Santa Maria pendant la nuit de Noël 1492. Et aussi continuer à voyager, et à rencontrer les gens du monde…