Il aurait aimé accompagner son ami pour récupérer le miroir. D’abord pour l’incomparable sensation de liberté que l’on éprouve à bord d’un bateau en partance pour la pleine mer, le visage fouetté par les embruns et le vent salé. Ensuite, par crainte d’un malheur. Il redoutait une attaque prochaine des membres de la secte des Larmes sanglantes.