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Critiques de Christiane Collange (23)
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Merci, mon siècle

Ecrit en 1998, Merci, mon siècle, est le livre "testament" de Christiane Collange, décédée le 24 octobre 2023.

Elle y fait le bilan des progrès qui ont marqué le vingtième siècle dans les domaines de la santé, des relations humaines, de la mobilité, ...



Chantre de la féminitude plutôt que du féminisme, Christiane Collange a souvent été décriée par les féministes, alors qu'elle fut la première a décrire des phénomènes de société qui ont par la suite été mieux étudiés et décrits : les familles recomposées, le vieillissement de la population, la charge mentale des femmes, les jeunes adultes qui refusent de quitter le nid, ...



Merci, mon siècle montre les changements rapides intervenus dans la deuxième moitié du vingtième siècle. C'est surtout pour faire comprendre aux jeunes générations que ces acquis sont récents, limités à une partie de la population mondiale et pouvant être remis en cause à tout moment.



Le début du 21ème siècle ne pourra que lui avoir donné raison. On ne peut que regretter que Christiane Collange n'ait pas donné une suite à Merci, mon siècle.

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Moi, ta mère

Lu à sa parution, il y a trente ans et rouvert ce mois-ci à l'occasion d'un "challenge" entre amies.

Naturellement, trente ans de vie s'étant écoulés, mon appréciation sur ce livre - plutôt enthousiaste à la première lecture - s'est bien attiédie à la seconde.



Dans un premier temps, je dirais que, si dans le fond il est toujours plus ou moins d'actualité, dans la forme il est quelque peu dépassé.

Ensuite, je pense que Christiane Collange est dans l'erreur quand elle parle des ados sur un plan général car ces ados sont en premier lieu les siens et en second, ceux de ses amis : journalistes, écrivains, médecins, cadres supérieurs... En clair, des ados dont les parents jouissent d'une certaine aisance financière et peuvent, de ce fait, se permettre des comportements abusifs, immatures et superficiels.



Son argumentaire est illustré d'exemples tels que :

- ils sont capables d'engloutir tout le budget habillement d'une saison dans un seul pull avec l'argument "mais il est en cachemire !"

- "Comment, tu as vendu tes chaussures de ski ? C'est de la folie, elles n'avaient même pas deux ans. Tu ne crois quand même pas que je vais t'en racheter !" et elle conclut par : Si, il le croit. Et en fait, il a raison.

- "Mon fils est inoui, s'étonne un père d'étudiant en informatique, il m'a expliqué qu'il aimerait bien vivre seul mais qu'avant de chercher un logement, il fallait que je m'engage à lui payer son loyer, son gaz, son électricité, son téléphone, son assurance et ses impôts locaux pendant au moins deux ou trois ans."



Vous qui êtes une femme intelligente et attentive à notre société dans son ensemble, n'avez-vous pas le sentiment, Madame Collange, que ça fait un peu petits tracas pour gros bourges, tout ça ?

Parce que, ne vous en déplaise, la majorité des ados :

. ne dispose même pas de la valeur d'un pull en cachemire pour son budget habillement d'une saison et, quoiqu'il en soit, a un rapport à l'argent un peu plus cohérent.

- n'a pas de chaussures de ski à revendre pour la bonne raison qu'il n'en a pas, vu qu'il a rarement, voire jamais, l'occasion d'aller aux sports d'hiver. Alors, chaque année, dès les premières neiges... pensez donc !

- quant au troisième exemple... j'en tombe de ma chaise et pense sincèrement que votre ami est aussi "à l'ouest" que son fils.



Non, décidément non, nous ne vivons pas dans le même monde, n'avons pas les mêmes ados ni les mêmes problèmes. Ces ados trop gâtés et leurs parents dépassés ne représentent pas la majorité, contrairement à ce que vous croyez. Car vous le croyez et en êtes même convaincue, comme le démontre cet extrait :

"Certains parents vont hausser les épaules à la lecture de ces exemples : chez eux, les jeunes marchent encore à la baguette, ils respectent les chaînes Hi-Fi et les horaires, ils cèdent leur place aux dames et avalent leur soupe même s'ils lui trouvent un goût de grimace. Je suis convaincue qu'ils sont de bonne foi et ne nourrissent aucune illusion sur la perfection de leur mode d'éducation. J'affirme simplement qu'il s'agit d'êtres d'exception, qui peuvent se considérer comme privilégiés."



Loin de moi l'intention de faire du misérabilisme car je reste persuadée que toutes ces considérations matérielles n'entrent pas en ligne de compte pour assurer l'épanouissement d'un adolescent dès lors qu'il a le nécessaire pour vivre décemment. Je ne prétends pas, non plus, que les classes sociales modestes ont l'apanage du bon sens en ce qui concerne l'éducation de ses jeunes. Mais je maintiens que les ados et leurs parents dont vous faites état ont des problèmes qui ne sont pas "audibles" par la majorité d'entre-nous.



Cela dit, c'est essentiellement cette "généralisation" qui m'a dérangée dans votre plaidoirie car vos revendications sont plutôt légitimes et, dans l'ensemble, bien exposées dès lors qu'elles se cantonnent à une classe sociale bien particulière, la vôtre.
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Moi, ta fille

Ecrit il y a 24 ans par une dame de la génération de ma mère, ce livre a pris très peu de rides tellement sa psychologie reste juste de nos jours.

Christiane Collange nous livre un portrait des relations entre les quinquas « cheveux gris » et leurs aînés, les septuas et plus « cheveux blancs » avec beaucoup de tendresse, une grande impartialité quant aux deux « camps » et surtout sans langue de bois.

Il y a un quart de siècle on s'interrogeait déjà sur le devenir d'une population vieillissante et ce phénomène ne s'est pas arrêté, bien au contraire. En s'appuyant sur quelques statistiques l'auteure enquête sur ce phénomène de société inédit au 20ème siècle.

Puisant de nombreux exemples auprès de ses proches et de témoignages divers, Christiane Collange alors « quinqua » avait déjà vu juste quant aux relations saines et sans conflits devant être établies avec nos chers « vieux » parents.
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Nous, les belles-mères

Mère de quatre garçons, Christiane Collange était donc en première ligne pour donner son avis sur les belles-mères, si souvent décriées dans la littérature et le théâtre et jusque dans les publicités. Elle décide donc de décrire son expérience, en tant qu'ancienne belle-fille et auprès des nouvelles générations. Comme dans ces autres livres, elle donne la parole à de nombreuses femmes, tant à Paris qu'en province, et de différents milieux.
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La deuxième vie des femmes

Paru en 2005, juste avant l'explosion des réseaux sociaux, ce livre destiné aux femmes de plus de 50 ans a pris très peu de rides grâce à l'optimisme communicatif de Christiane Collange. L'auteure alors âgée de 74 ans à l'époque exhorte les « séniorettes » que nous sommes à prendre notre vie en main car nous avons potentiellement un bel avenir dû à l'espérance de vie actuelle.

Elle nous rappelle également que nous sommes démographiquement parlant plus nombreuses (hélas !) que nos homologues masculins.



J'ai apprécié l'enquête sociologique très bien documentée ainsi que tous les témoignages de ces femmes, parfois très courageuses, qui ont eu à passer ce cap de la « maturescence ». Celui-ci coïncide très souvent avec des changements majeurs de vie : départ des enfants, changement de travail, chômage ou retraite, déménagement, dépendance des parents, veuvage, séparation ou nouvelle rencontre...



Quelque soit la tranquillité ou pas du fleuve de notre « première vie » ce livre donne à mon avis quelques clés pour entrer de plein pied, sans naïveté mais sans appréhension non plus, dans une « deuxième vie » intéressante et épanouissante.
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Toi mon senior

Dans Toi mon senior publié en 1997, Christiane Collange parle de la vie après 60 ans du couple en se basant sur son expérience et celles de ses proches. Pour les personnes comme elle nées dans les années 1930, ayant connu la deuxième guerre mondiale dans leur enfance, les trente glorieuses dans leur vie adulte, les crises économiques et les changements rapides dans leur maturité, le fait d'arriver à l'âge de la retraite ne signifie plus la vieillesse, mais le début d'une nouvelle aventure. Aventure à deux pour ceux qui ont su passer le cap des divorces tardifs. Les femmes de la génération précédente ont souvent vécu cette période en solitaire et dans une précarité financière, mais entourés de la sollicitude familiale.

Les hommes, eux, sont souvent désorientés, surtout s'ils n'ont pas choisi de quitter leur travail passionnant, mais poussés vers la sortie par la génération suivante. Etant souvent plus âgés que leurs compagnes, celles-ci doivent continuer à mener leur carrière et gérer le quotidien d'un adulte désoeuvré.

Avec humour et sens pratique, Christiane Collange décrit par le menu comment vivre au mieux cette période de dix ou quinze ans avant le déclin physique qui accompagne le plus souvent le grand âge.
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Ça va les hommes ?

Au début des années 1980, Christiane Collange a parcouru la France pour interviewer une centaine d'hommes, hétérosexuels, âgés entre 23 et 63 ans. Elle s'est limité aux classes sociales les plus aisées et a exclu volontairement les étudiants, les agriculteurs et les retraités.



Christiane Collange ne prétend pas faire une étude sociologique ni dresser un portrait exact de la société française de l'époque. Elle veut simplement donner la parole aux hommes face aux bouleversements de la société et les laisser parler de sujets qui sont généralement le domaine réservé de leurs compagnes : les enfants, la vie familiale, leur vie sexuelle et affective.
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Je veux rentrer à la maison

Et alors, Mesdames, il ne s'en trouve plus aucune pour commenter les écrits de Christiane COLLANGE ? Et oui, le bonhomme que je suis, a lu, récemment, ce livre et a envie d'écrire une critique ! Christiane COLLANGE a été familière pour tous ceux de ma génération qui, durant les années 70, n'écoutaient qu'une seule radio, qui s'appelait à l'époque "Europe Numéro 1", où elle animait les matinées. Il est vrai qu'elle s'adressait surtout aux femmes, et c'était bien normal, elles étaient plus nombreuses, le matin, à écouter la radio. Quant à moi, mon travail me laissait souvent libre le matin pour écouter la radio. A l'époque, les féministes n'émettaient pas les mêmes idées qu'aujourd'hui ( elles délaissaient par exemple, tous les travaux qu'on qualifie de "féminins" comme étant dévalorisants ) mais je n'ai jamais remarqué que Christiane COLLANGE se soit livrée à quelque prosélytisme que ce soit. Bien au contraire, j'aimais bien l'entendre, je trouvais son émission intéressante. J'ai constaté sur INTERNET que, maintenant, ce n'est plus aux femmes qu'elle s'adresse, mais, chaque semaine, aux grands-parents ( génération oblige ! ) sauf que je n'ai plus l'occasion de l'entendre, je n'écoute plus la radio, que pour un journal du matin !

Alors, quand j'ai vu ce titre "je veux rentrer à la maison", j'ai été suffisamment intrigué ! Quoi ? Une féministe prônait le retour des femmes à la maison ? J'avais envie de lire ça ! C'est vrai que j'ai été ni déçu, ni surpris. C'est agréable à lire, et surtout, c'est réfléchi, c'est logique, elle est journaliste, ne l'oublions pas, elle sait approfondir ses idées. Même un homme peut lire ce livre de bout en bout sans s'ennuyer, c'est mon cas. Il ne s'agit pas de résumer un tel livre en quelques mots, mais l'idée que j'en retiens et que j'approuve, c'est qu'une femme ne s'épanouit pas uniquement par sa vie professionnelle, elle peut aussi être heureuse en travaillant pour sa maison et pour ceux qu'elle aime, son homme, ses enfants.

Mais ça serait important d'avoir la réaction de femmes, à ces idées. Ne croyez-vous pas, Mesdames ?

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Nos sous

Après avoir lu un article sur le livre de Lucile Quillet "Le prix à payer" qui vient de paraître, j'ai voulu relire "Nos sous", de Christiane Collange paru en 1989.



A la sortie du livre, si la révolution sexuelle était entrée dans les moeurs, il était encore tabou de parler argent en famille. Aucune statistique, aucun livre sur le sujet n'était disponible en France. C'est donc sur base d'interviews, de proches, mais aussi de professionnels (banquiers, notaires, ...) que Christiane Collange a pu dresser un portrait des différentes manières de gérer un budget dans les couples, légitimes ou non et en famille.
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Moi, ta mère

Même si ce livre est écrit d'une façon assez fluide il n'en reste pas moins décevant. En effet, il ressemble plus à une plaidoirie d'une mère ayant eu des difficultés dans l'évolution de la jeunesse de ses enfants plutôt qu'un réel échange de points de vue entre enfants et parents. Ici cette mère ne se remet pas réellement en question, car même si parfois elle a des interrogations elle ne se rend jamais coupable à la fin de cette interrogation et rend toujours "coupable" la société, les générations passées, et forcément ses enfants.
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Le divorce-boom

Christiane Collange a écrit Le divorce-boom en 1982. Elle-même deux fois divorcée, elle ne peut que constater que, depuis mai 68, un mariage sur deux à Paris se termine par un divorce.



Forte de son expérience et des témoignages de nombreuses femmes et hommes divorcés, elle décrypte cette évolution sociétale de tous les pays développés. Avec l'augmentation de l'union libre, les chiffres du divorce, dans l'absolu, auraient tendance à diminuer à terme, mais le constat est que, comme pour l'emploi, le mariage n'est plus garanti à vie.
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Je veux rentrer à la maison

Alors là, je ne recommande pas du tout. Je l'ai trouvé dans la boîte à livres et j'ai voulu savoir ce qu'on pouvait écrire sous un pareil titre. Ce plaidoyer pour le retour des femmes à la maison, publié en 1979, est hélas assez bien ficelé, on y cite même Beauvoir et d'autres pour retourner la parole libératrice. Chère Madame Collange, restez donc à la maison si ça vous chante tant que ça !
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Moi, ta mère

Une pépite loin d'être imaginée (cachée tout au fond, derrière les Christian Jacques, spécialiste de l'Egyptologie un des mentors de la vaste culture de ma mère, entre autres...exposée pleine face sur les rayonnages, au détriment de la talentueuse Christiane Collange, ma trouvaille du jour! mais dans un autre domaine nettement sensible quand il s'agit d'aimer, tout aussi culturel.

Les pauvres mères!! en occurrence la mienne! et puis celle que je suis devenue à mon tour en me posant des myriades de questions obligées cette fois-ci , puisque la découverte de ce livre m'a surprise, tant ma mère semblait au dessus de tous soupçons, en tout cas ne remettant jamais son statut de mère aimante, et surtout aimée, par nature on esquive le dilemme provoqué, si de mémoire nous en avions discuté d'un sujet tabou coincé par l'éducation reçue de sa propre mère proféré dans la bouche de la mienne. La remise en question brutale d'un coup! suis-je aimée de mes enfants? Ai-je vraiment aimé ma mère? Françoise Dolto aurait-elle raison quand elle écrit que les enfants n'aiment pas leur parent? ce livre paru en 1985 fait toujours débat en 2019 et continuera de faire débattre dans les générations futures.
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La deuxième vie des femmes

un livre emprunté chez une amie : ce livre de 2005 a encore des échos aujourd'hui, comment se positionner quand la retraite sonne, quand les enfants font leur vie, comment trouver sa place, son identité et un sens à sa vie ! des témoignages intéressants

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Chers enfants

Dans Chers enfantS (avec un S majuscule à la fin), Christiane Collange rame encore à contre courant des féministes "traditionnelles". Elle glorifie les familles nombreuses, non d'un point de vue religieux ou économique, mais comme une source d'épanouissement tant pour les parents que pour les membres de la fratrie.



Ce livre est paru en 1987, juste après Moi, ta mère, qui traitait du ras-le-bol des parents de grands adolescents ou de jeunes adultes qui refusaient de quitter le nid. La dénatalité devenait un sujet politique en France, vu l'évolution aux Etats-Unis et dans toutes les économies développées.



Christiane Collange, plutôt que de se baser sur des statistiques et des études sociologiques préfère interroger directement des femmes et des hommes sur leur réalité et leurs désir d'enfantS.
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Je veux rentrer à la maison

Un livre qui change la vie ! A s'offrir et à offrir à toutes les femmes de votre entourage de toute urgence. Une analyse très facile à lire, incroyablement complète et synthétique (124 pages). Un grand merci à la personne qui me l'a fait découvrir via une boîte à livres !
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La Politesse du coeur

Ce livre a ceci de différent par rapport aux manuels de savoir-vivre ou d'étiquette donnés autrefois avant un bal ou une soirée de château. Il ne s'agit pas de saluer trois fois le Roi, deux fois la Reine et à demi les valets, mais de se comporter en société de manière à ce que chacun y trouve sa place, son confort, de manière à ce que quel que soit votre rang, vous vous sentiez aimé, vous autant que vos congénaires.

Comment dire à l'autre, quel que soit son rang, qu'il est respecté, reconnu en tant que tel, attendu dans notre salon ou à notre table ? Comment dire aux participants d'un culte que même si nous ne croyons pas au même Dieu, nous respectons leurs gestes, leurs opinions ? Comment rendre heureux tous les membres d'une famille ?

Ce sont les règles dictées par le cœur que l'autrice rappelle dans ce livre qui se lit facilement, dans la détente plus que la contrainte.
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Nous, les belles-mères

Ce livre est aussi mauvais qu'une belle-mère peut l'être.

Parmi une foule de choses et de gens qu'elle critique, l'auteure va même jusqu'à critiquer Benoîte Groult, MA Benoîte Groult ! Alors moi, vous pensez, ce livre, je ne le donnerai même pas à mon voisin !
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La deuxième vie des femmes

Christiane Collange a voulu savoircomment certaines femmes réussissent leur mutation.Car toutes moins jeunes mais certainement pas vieilles,forment la première génération qui avance dans le temps en si bon état physique et moral.

De nouvelles libertés,le temps de vivre,des découvertes et des rencontres permettent d'envisager des années d'équilibre,de sérinité et de joies.
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Moi, ta mère

Encore une critique rédigée des mois après lecture. Il ne me reste que peu de souvenirs des détails de l'histoire qui ne m'a donc pas marquée...

J'ai souvenir du récit de l'adolescence du point de vue d'une mère qui se permet de critiquer la sacro sainte place que l'on fait à ses propres enfants dans son existence, au détriment parfois de son bonheur et de son épanouissement personnel (parfois).

Quelques vérités dans ce témoignage d'une parentalité qui commençait à évoluer doucement vers plus de bienveillance envers les enfants mais aussi leurs parents ...
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Impressionnisme (2)

Sur les traces d'un jeune artiste né en 1851 à Montpellier dans une famille protestante aisée, passionné de musique et pratiquant la peinture en dilettante. Après avoir abandonné ses études de médecine pour se consacrer entièrement à la peinture il rejoint l'atelier du peintre suisse Charles Gleyre où il rencontre Pierre-Auguste Renoir, Alfred Sisley et Claude Monet auxquels il se lie et qu'il soutient financièrement à plusieurs reprises. A distance de la peinture académique et partageant leurs idéaux esthétiques Frédéric Bazille fait partie du groupe naissant des premiers impressionnistes "les historiques". Pourquoi n'a-t-il n'a-t-il pu participer à la première exposition impressionniste de 1874 alors qu'il en avait suggéré l'idée en 1867 ? 😭✝️

Il s'était brouillé avec Claude Monet en 1873
Son père briguant la fonction sénatoriale s'y opposait
Gabriel Fauré son ancien professeur de piano l'en dissuada
il est mort pendant la guerre franco-prussienne de 1870
Il avait repris ses études de médecine

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Thèmes : peinture , impressionnisme , Expositions , histoire de l'art , peintreCréer un quiz sur cet auteur

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