Je pense sincèrement que c'est un choix éthique, un acte de résistance sain et salutaire que de refuser de s'égarer dans l'explication d'actes monstrueux. On peut explorer les mécanismes qui y conduisent, pour renforcer la vigilance. Mais surtout, surtout ne pas risquer, par des interprétations captieuses, de laisser s'infiltrer dans l'humain ce qui, absolument, est inhumain.