Que sait-on de l'arbitraire et de la brûlure de l'ostracisme si Maxime Le Forestier ne nous rappelle justement dans son album "Bataclan", qu'"être né quelque part pour celui qui est né, c'est toujours un hasard"?
Et que sait-on de la plaie béante à l'âme que fore un pays qui refuse de reconnaitre pour siens certains de ses enfants, si l'on n'a sué à la voix languissante de J.B. Lenoir et au lamento de sa guitare sur Alabama blues? Combien de jeunes connaissent cette souffrance-là?