Citation de Fanbooks76
Il sort d'un sac un énorme ventilateur.
- Tu as acheté un ventilateur?
- Je ne pouvais pas te laisser fondre.
C'est le moment idéal. Prenant mon courage a deux mains, je me lève, fais le tour de son bureau et ose entreprendre ce dont je rêve depuis six mois:effleurer sa cravate. Je prend mon temps, en profite pour rectifier le noeud et lisser la soie de la cravate sur sa poitrine.
Il inspire profondément. J'attend. Ai-je franchi une limite? Gaché tous les petits progès que nous avons accumulés ces dernières heures? Le silence s'étire entre nous, s'alourdissant à chaque tic-tac de l'horloge.
Je murmure:
- Merci pour le déjeuner.
- Je t'en prie.
Finalement, il me prend les mains et les remonte le long de son corps. Je sens les muscles de son torse, ses abdominaux, ses pectoraux en acier, sous sa chemise.
A mon tour de retenir mon souffle. La possibilité que quelque chose arrive entre nous est passée du statut de fantasme absolu à une croix dans la colonne Nombre de Fois Où Niall Stella A Passé Mes Mains sur Sa Poitrine.
Que se passe-t-il?
Une senteur légère d'eau de Cologne envahit la pièce alors qu'une odeur de café et de peinture fraîche émane d'un autre bureau. Je me penche lentement, mon corps est en mode autopilotage, mon cerveau ne contrôle plus rien du tout.
Lui aussi, il se penche. Nos mouvement discrets réduisent l'espace entre nous. Son nez effleure le mien, je regarde ses cils, sens son haleine sur mes lèvres. Je ferme les yeux, j'ai l'impression que cet instant changera ma vie à jamais.
- Tu va m'embrasser? je demande, surprise par mon audace.
Son torse est collé contre ma poitrine, mais il ne fait pas ce à quoi je m'attend. Il s'écarte juste assez pour me regarder dans les yeux.
- J'ai peur de ne pas être capable de m'arrêter, murmure-t-il.
- Tu as acheté un ventilateur?
- Je ne pouvais pas te laisser fondre.
C'est le moment idéal. Prenant mon courage a deux mains, je me lève, fais le tour de son bureau et ose entreprendre ce dont je rêve depuis six mois:effleurer sa cravate. Je prend mon temps, en profite pour rectifier le noeud et lisser la soie de la cravate sur sa poitrine.
Il inspire profondément. J'attend. Ai-je franchi une limite? Gaché tous les petits progès que nous avons accumulés ces dernières heures? Le silence s'étire entre nous, s'alourdissant à chaque tic-tac de l'horloge.
Je murmure:
- Merci pour le déjeuner.
- Je t'en prie.
Finalement, il me prend les mains et les remonte le long de son corps. Je sens les muscles de son torse, ses abdominaux, ses pectoraux en acier, sous sa chemise.
A mon tour de retenir mon souffle. La possibilité que quelque chose arrive entre nous est passée du statut de fantasme absolu à une croix dans la colonne Nombre de Fois Où Niall Stella A Passé Mes Mains sur Sa Poitrine.
Que se passe-t-il?
Une senteur légère d'eau de Cologne envahit la pièce alors qu'une odeur de café et de peinture fraîche émane d'un autre bureau. Je me penche lentement, mon corps est en mode autopilotage, mon cerveau ne contrôle plus rien du tout.
Lui aussi, il se penche. Nos mouvement discrets réduisent l'espace entre nous. Son nez effleure le mien, je regarde ses cils, sens son haleine sur mes lèvres. Je ferme les yeux, j'ai l'impression que cet instant changera ma vie à jamais.
- Tu va m'embrasser? je demande, surprise par mon audace.
Son torse est collé contre ma poitrine, mais il ne fait pas ce à quoi je m'attend. Il s'écarte juste assez pour me regarder dans les yeux.
- J'ai peur de ne pas être capable de m'arrêter, murmure-t-il.