La sincérité n’existait pas. Il y a toujours un moment où on finissait par apercevoir le fond où ça s’écrasait, il ne restait rien entre les gens, aucune parole ne restait vraie, rien ne tenait. Personne ne disait jamais rien de vrai, les vérités étaient valables par secondes. Je pensais la même chose, moi qui avais cessé d’aimer tous ceux que j’avais aimés les uns après les autres, j’en avait fait le tour.