Pour lui, l’autre n’existe pas comme être différencié, avec une identité, des sentiments, des émotions, des pensées propres. Il refuse l’altérité, car il est tout puissant. L’autre est son pantin, une extension de lui-même. Il le dirige comme il l’entend. Il peut l’exploiter, le vampiriser, le détruire, puis le jeter sans culpabilité.