Et la nièce mariée à un vicomte qui, à la table, Rue-de-Grenelle, lance entre deux plats : "J'ai vu un type dans le métro. Il me regardait. Il avait une sale tête de Juif. Oh, pardon, mon oncle !" Là, je prends des libertés avec la chronologie. Ses propos racistes ont été tenus après la guerre. Après la Shoah. Avant, elle ne se serait vraisemblablement pas excusée. Tout cela est formulé avec beaucoup de naturel, sans volonté de nuire, sans malice particulière.