La vieillesse qui serait un retour à l’enfance, je n’y crois pas, c’est un cliché pour dissimuler l’horreur. En fait, c’est un couloir de plus en plus étroit, de plus en plus sombre dans lequel les vieillards avancent à tout petits pas. Leur maladresse n’est pas celle des enfants, mais celle de l’épouvante.