Éditions Chronique

A la veille de 1788, la situation était instable, et les signes avant-coureurs d'une commotion se multipliaient.
Pourtant, une révolution paraissait bien improbable.
Ceux qui s'agitaient le plus ne la souhaitaient pas.
L'opposition des parlements qui paraissait la plus efficace ne visait qu'à substituer l'oligarchie des juges à l'absolutisme monarchique dont elle redoutait les velléités réformistes, désirait contrôler le roi pour l'empêcher finalement d'imposer les solutions qui auraient pu assurer la survie du régime.
Quant à ceux qui rêvaient de grandes secousses, ils ne disposaient que de moyens médiocres et leurs efforts semblaient voués à l'insuccès.

La société que Bonaparte trouva en s'emparant du pouvoir avait été renouvelée depuis 1789.
Les ordres avaient disparu et les séparations qu'ils établissaient entre les citoyens abolies, mais une autre ligne de rupture divisait la société et elle était tout aussi contraignante : l'argent.

Diana a toujours défendu le naturel, la douceur et la joie de vivre. Elle a su imposer ce souffle de spontanéité et d’affection dans un univers extrêmement corseté. Dès le début, à la naissance de William, la famille royale n’a pas eu d’autre choix que d’accepter qu’elle accouche dans un hôpital public. Elle a fait valoir l’argument que les ors du palais ne remplaceraient pas un équipement médical en cas de problème. Mais sa détermination dissimule autre chose : une volonté symbolique de donner naissance au futur roi dans la modernité, tel un monarque promis à vivre avec ses sujets, et non pas comme un souverain coupé des réalités.

La mort tragique de Lady Diana dans un accident de voiture survenu le 31 août sous le tunnel du pont de l’Alma, à Paris, a bouleversé des millions de personnes. Nombreux, déjà, sont ceux qui sont venus se recueillir près du lieu du drame, qui deviendra un lieu de pèlerinage. Aujourd’hui, à Londres, ils sont deux millions à suivre les funérailles de l’ancienne épouse du prince de Galles. Devant sa résidence de Kensington, un océan de fleurs a été déposé, accompagné de milliers de photographies, de lettres et de mots d’amour adressés à la jeune princesse disparue.

La biodiversité a par ailleurs des fonctions régulatrices sur l'écosystème.

S'il tentait de passer les portiques d'aéroport, "l'Homme qui valait trois milliards" (d'anciens francs tout de même) ferait sonner toutes les alarmes! A la suite d'un accident de pilotage, le colonel de la NASA Steve Austin, qu'on croyait perdu, est remis en service avec quelques pièces qui ne sont pas d'origine. Avec ses deux jambes, son bras et son oeil bioniques, il est l'homme le plus performant de la planète! Il est désormais sous les ordres d'Oscar Goldman (Richard Anderson), agent spécial du gouvernement. (Janvier 1975)

La prise des Tuileries, après un combat de trois heures, qui a fait plus d'un millier de victimes, a virtuellement mis fin à la monarchie capétienne, vieille de huit siècles.

Victimes de la récession, mal entretenus, les ponts qui relient l'île de Manhattan à la ville sont attaqués par la corrosion et menacent de s’effondrer.

Dans Diana, sa vraie histoire, l’auteur révèle que la princesse est une femme malheureuse, qu’elle a tenté plusieurs fois de mettre fin à ses jours et qu’elle souffre de boulimie, une maladie nerveuse qui consiste à se gaver de nourriture avant de la vomir. Tout au long de ce livre, le prince Charles est décrit comme un piètre époux qui, après avoir accompli son devoir en engendrant deux fils pour sa succession, n’a souhaité rien d’autre que de revenir à sa vie de célibataire. Il saute aux yeux que ce livre a été rédigé en collaboration avec les meilleurs amis de Diana. Elle y est constamment présentée à son avantage, afin que le lecteur prenne parti pour elle contre son mari et les officiels de la cour. Le livre a choqué le pays, et on lui reproche de faire intrusion dans la vie privée de la famille royale. L’authenticité des faits est pourtant indéniable et la presse n’y voit que la confirmation de ce qui a déjà été dit sur Diana et Charles. Désormais, leur mariage semble inexorablement voué à l’échec.

Londres est devenue, à égalité avec la capitale danoise Copenhague, la ville la plus chère d''Europe.