Comment néanmoins séparer les violeurs repentants des violeurs psychopathes ? À qui offrir une chance de rédemption sans qu’il y ait danger de récidive ?
Qui croire ? Le violeur conscient de son problème et qui acceptait de le régler en suivant une thérapie — il y en avait, de ces hommes, même s’il était exceptionnel qu’ils se dénoncent eux mêmes — ou le fauve qui pensait à sa prochaine victime avant même d’être libéré ?