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4.27/5 (sur 13 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Claire Bianchi est le pseudonyme de l'écrivain Jérôme Dumont, avocat de formation et auteur de romans policiers.

Il a exercé pendant près de quinze ans le droit dans divers pays: la Belgique pendant une dizaine d’années, le midi de la France ensuite et, enfin, le Québec, où il réside depuis un peu plus de dix ans.

Le romancier, connu depuis 2013 pour ses polars (les séries Rossetti & MacLane et David Atlan), a en effet décidé de s'essayer à la comédie romantique... avec succès !

En adoptant un pseudonyme, l'auteur a également dû repartir de zéro en termes de communication. Compte Twitter, page Facebook, site web, mais aussi chroniques sur des blogs littéraires.

sites :
http://jeromedumont.com/apropos/
http://clairebianchi.com/
son blog : http://jeromedumont.com/blog/
page Facebook : https://www.facebook.com/ClaireBianchi/
Twitter : https://twitter.com/cbianchi_auteur

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Source : http://jeromedumont.com
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Citations et extraits (33) Voir plus Ajouter une citation
C’était tout simplement irrépressible, fou, magique. Sans un mot, cet homme que je connaissais à peine me faisait presque jouir en continu ! Lorsque je pensais à son sexe en moi, à ses mains qui me retenaient fermement, à la douceur de sa poitrine contre la mienne, à ses baisers ou à sa langue si délicate, je m’envolais littéralement. Ses mains couraient à présent sur l’arrière de mes cuisses. C’était délicieux. Il attrapa ensuite mes seins gorgés de désir. Je n’étais plus qu’une boule de plaisir pur entre ses mains. J’eus cette impression de vivre une expérience unique, de faire soudain partie d’un club très fermé, sans me soucier de savoir lequel. J’étais bien, comme jamais je ne l’avais été. Il accéléra ses mouvements, par petites touches, avant de s’arrêter, de m’embrasser à bouche que veux-tu, avant de poursuivre. Un mélange de sensations enivrant. Je sentis mon prochain orgasme venir de loin, du fin fond de mon ventre, de tout mon corps.
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Il faut, j’en suis persuadée, un certain réalisme pour assimiler que plus d’un mariage sur deux finit en séparation. De savoir que les contes de fées, dans la moitié des cas, ça finit mal. Bien sûr, mes clients ne s’en doutent pas lorsqu’ils se passent la bague au doigt, tout affairés qu’ils sont aux préparatifs de leur cérémonie, à choisir leur robe, les petits fours, dresser la liste des invités en évitant d’asseoir tonton Albert avec le cousin Roger, hésitant entre trois décorations différentes pour les tables, répétant la cérémonie et, pour les plus hardis, s’écrivant des vœux dégoulinants d’amour et de bons sentiments. Ils planifient cette vie idéale dont ils rêvent et la projettent dans cette journée – qui se doit d’être la plus belle de leur vie, avant même que celle-ci n’ait commencé.
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Aussi caustiques l’un que l’autre, aussi pince-sans-rire, nous avons instantanément formé un duo de choc. Et ça, c’est précieux. Il n’avait même pas fallu une semaine pour que l’on devienne inséparables. Comme si nous nous étions toujours connus. Même si je dois admettre qu’Aurélien avait tout pour me plaire, j’ai vite compris que je tenais plus à son amitié qu’à quoi que ce soit d’autre. Je ne sais trop comment expliquer cette « segmentation », mais elle m’avait paru évidente, dès le départ. Pour lui aussi. Peut-être aussi était-ce dû au fait que nous étions chacun avec quelqu’un. Rien de bien sérieux, d’un côté comme de l’autre. Avec le recul, il est possible que compte tenu de notre complicité, nous n’étions pas prêts, ni l’un ni l’autre à nous investir dans des « relations sérieuses ».
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Mon corps commençait à se laisser aller au plaisir que je sentis m’envahir. Cette sensation qui n’était qu’une ondulation légère se transforma en creux, puis en vague, que je sentis toute proche. J’attrapai plus fort ses hanches, je serrai mes cuisses contre lui, ma respiration se fit haletante. Il accéléra ses mouvements, tout en augmentant son amplitude. Je le sentis presque sortir de moi, avant qu’il ne s’engouffre à nouveau dans mon sexe. Je visualisais ces va-et-vient et mon excitation se fit plus précise, la vague était prête à déferler en moi. J’aurais pu crier mon plaisir, tant ce que je ressentais me faisait du bien. J’étais au bord de l’orgasme, je le sentais. C’était une question de secondes avant que cette douce chaleur n’envahisse mon corps.
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La vérité, c’est que ce qu’on appelle communément l’amour, c’est une sensation passagère, fugace, qui ne fait que trois petits tours avant de laisser sa place à l’horrible quotidien, l’affreuse routine. C’est sans doute là que gît la grande escroquerie. Savamment entretenue par une industrie florissante de films, littérature à l’eau de rose ou pas, le lobby des fleuristes, Saint-Valentin et les restaurateurs qui ne dressent que des tables pour deux convives, j’en passe et des meilleures. Tous ces gens qui s’accordent à faire rimer amour avec toujours, sans en expliquer les effets secondaires aux pauvres fous qui tombent dans le piège, victimes consentantes qu’ils sont de cette gigantesque machination !
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Ah, maintenant que tu en parles, révise les procédures d'expulsion de Hong Kong et les détentions administratives. Et je te suggère d'inviter Martinez à se mettre à jour en droit criminel chinois, on ne sait jamais, je risque d'avoir besoin de vos services !
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Il était fascinant par son maintien et l’aisance avec laquelle il se mouvait naturellement. Plus agile qu’un chat.
J’essayai de me concentrer afin d’éviter les faux pas, enfin, c’est une expression, parce que je doutais que mes déambulations soient parfaitement orthodoxes… Je sentis son étreinte se resserrer quelque peu, il continuait à guider mes pas et, miracle ! Je ne lui avais pas encore écrasé d’orteil ! Je commençais à me sentir un peu moins gourde. Un petit rictus éclaira son visage impassible, alors que le rythme s’accélérait. Il lâcha soudain le haut de mes reins et entreprit de me faire effectuer une rotation… J’appelle ça vivre dangereusement !
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Je savais bien que la moitié de la ville était persuadée que j’étais sa maîtresse mais peu importait. J’agissais de la seule façon qui convenait : en ignorant royalement les ragots. Et le plus important dans tout ça, c’était que Mathieu n’avait jamais eu aucun doute à ce sujet. C’était comme ça qu’on bâtissait un couple. Sur la confiance. De toute façon, on ne pouvait pas aller contre ce genre de rumeurs, colportées à demi-mot. Pourtant, il suffisait de connaître Arnaud pour savoir que ce n’était pas son genre. Ni le mien. Arnaud, c’est l’élégance, un gentleman comme on n’en fait quasiment plus, un homme de parole et fidèle à sa femme qu’il adorait.
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S’il y avait bien une chose qui avait le don de m’énerver, c’était les clients qui changent d’avis comme de chemise. Encore qu’en ce qui concernait celui-là, son problème se situait plutôt dans la difficulté d’en garder une sur le dos… L’expérience m’a appris qu’il valait mieux prendre le temps de la réflexion et s’assurer que les clients étaient bien décidés avant de foncer tête baissée dans les procédures, erreur que bon nombre de mes confrères commettaient. Une vue à court terme, j’en suis convaincue. En revanche, une fois que les hostilités sont lancées, là, il n’y a plus rien pour m’arrêter.
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Cet orgasme, je ne le vis même pas arriver. Il m’emporta, puissant, brutal, alors que mes doigts s’enfonçaient dans ses courts cheveux et que mes cuisses se tendaient sur ses épaules. Il marqua une courte pause, le temps que ma respiration se calme quelque peu, puis revint à la charge, explorant cette fois-ci mon sexe de haut en bas, s’immisçant là où je désirais tant son sexe, puis remontant encore, inlassable, autour de ce clitoris qu’il aspirait doucement de ses lèvres. Cette fois-ci, je sentis l’onde de plaisir déferler, avec une puissance inédite. Je le voulais en moi, de tout mon être.
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