Je me promène dans les Rousses avec Hortense dans la tête, Hortense, qui depuis sa disparition, se pose souvent sur les visages que je croise. Alors je leur souris doucement, à ces visages étoiles, à ces maitresses d'école, àces vétérinaires. Il n'est pas rare qu'Hortense me rejoigne en ballade, que j'ouvre la portière arrière de la voiture avant la mienne pour assoir son fantôme dans le siègne enfant trop petit pour elle.