On se fait couramment des illusions sur la rage. On pense : « Si la rage me quitte, je changerai, je serai plus faible » (la première affirmation est correcte, la seconde non) ; ou bien : « Je tiens ma rage de mon grand-père/ma grand-mère/mère, etc... et j'y suis vouée pour la vie » (première affirmation correcte, seconde incorrecte).