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Critiques de Claude Boujon (137)
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La brouille

Tout nouveau tout beau : ces deux lapins voisins s'entendent à merveille... au début.

Assez vite, M. Brun est importuné par le désordre devant le terrier de M. Grisou, lequel se plaint du bruit de l'autre. Ou l'inverse.

La situation s'aggrave, on se supporte de moins en moins. D'ailleurs, est-ce que l'autre n'en rajouterait pas un peu pour nous faire *** ?

Les deux lapins se font crétins, en viennent aux pattes et se crêpent les oreilles.

L'occasion est trop belle pour un prédateur : il n'a qu'à se pencher pour cueillir deux proies d'un coup, trop occupées à se battre pour voir arriver le danger.



Album jeunesse subtil et amusant sur les difficultés de la vie en société (école, fratrie...), et les moyens d'y remédier.

On n'est pas obligés de se faire un ennemi pour ça, mais l'union dans l'adversité, ça peut aider !

Sinon, il est vivement conseillé de lâcher du lest, et de réfléchir à ce qui, chez soi, peut agacer les autres.



PS : un adulte peut y voir les mesquineries des hommes/femmes politiques, notamment en période pré-électorale... avec le renard qui pourrait profiter du bazar ambiant pour rafler la mise.
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La brouille

Deux lapins, amis et voisins de terriers, se brouillent pour des broutilles. Au fil du temps le conflit dégénère, l’un érige un mur, l’autre le démolit, ils en viennent aux mains (ou plutôt aux pattes ). Un renard passe par là, enchanté de découvrir « deux casse-croute qui se battent ».

Cette histoire, véritable petite fable, permet de dédramatiser les conflits (l’ennemi n’est pas celui qu’on croit) . Elle aborde les thèmes du vivre ensemble, l’entraide, les différences, … La mise en page est sobre et efficace, avec une utilisation astucieuse des doubles pages : le terrier de Mr Brun en page de gauche, celui de Mr Grisou en page de droite, sauf dans la page où apparaît le renard et dans la page finale.

Une histoire toute simple qui parle à tous les enfants.
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L'Apprenti loup

On ne mélange pas les torchons et les serviettes.

Dans la chaîne alimentaire (naturelle), dans une hiérarchie humaine (construite socialement), il y a peu de chances que les rapports s'inversent ou s'égalisent. Un loup n'est pas censé devenir pote avec des papillons, des lapins et des moutons.

Sauf dans la littérature jeunesse.

.

Et puisque 'L'Apprenti loup' est un album pour enfants, j'ai voulu croire à une belle histoire d'amitié, au-delà des apparences, des appartenances.

Mais la conclusion est aussi désolante que celle de la fable d'Esope*, 'Le Laboureur et le Serpent gelé'.

Bienvenue dans ce monde sans pitié, les petits !

.

Brutal et sans intérêt, selon moi.

.

* La fable d'Esope :

Un laboureur trouva dans la saison d'hiver un serpent raidi par le froid. Il en eut pitié, le ramassa et le mit dans son sein. Réchauffé, le serpent reprit son naturel, frappa et tua son bienfaiteur, qui, se sentant mourir, s'écria : « Je l'ai bien mérité, ayant eu pitié d'un méchant. »

Cette fable montre que la perversité ne change pas, quelque bonté qu'on lui témoigne.
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La chaise bleue

C'est l'histoire de deux amis, Escarbille et Chaboudo, qui se promènent dans un improbable désert où se trouve une chaise bleue. Chaise pour laquelle ils imaginent de nombreux et divers usages, qui n'ont pas grand-chose à voir avec le fait de s'asseoir dessus. Mais voilà, une chaise, c'est justement fait pour s'asseoir dessus.



La belle idée de Claude Boujon, c'est d'avoir inventé un décor désertique, probablement fait de sable, avec un horizon très abaissé et juste une petite bande bleue au fond, dont on ne sait pas s'il s'agit du ciel ou de la mer - et pourquoi pas les deux à la fois ? Un bleu qui se retrouve dans cette petite chose minuscule, perdue, inatteignable, qu'on aperçoit tout d'abord de si loin qu'elle n'a pas de forme, et dont on ne saura que c'est une chaise que lorsqu'Escarbille et Chaboudo s'en seront suffisamment approchés. Ce qui amène l'histoire à se dérouler dans un paysage aux accents oniriques, qui peut rappeler certains tableaux étranges (on peut penser à certaines toutes petites toiles de Dalí, par exemple). C'est tout simple, avec à l'appui un graphisme très sobre, mais ça révèle une composition très maîtrisée du dessin, l'air de rien. Et ce n'est pas pour rien que les pages d'ouverture et de fin se répondent.



Partant de là, je m'attendais à ce que les jeux d'Escarbille et Chaboudo se révèlent un peu moins terre à terre et plus originaux que ceux qu'ils inventent, assez formatés. Mais c'est un fait qu'ils m'ont rappelé des jours lointains, où la minuscule véranda de ma grand-mère devenait un engin capable de se transformer en avion ou en toutes sortes d'engins de transport plus ou moins bizarres, où le lit de ma tante et de mon oncle était un radeau au milieu d'une mer hostile (la moquette bleue de la chambre), dans laquelle mes cousines et moi ne manquions pas de tomber invariablement et dont nous devions nous extirper pour échapper aux requins. Je pense aussi à mon neveu qui avait transformé un petit pont de parc pour enfants en bateau et me demandait d'effectuer des choix délicats et décisifs, en me demandant systématiquement "Commandant-toi-qui-sais-tout, sur quel bouton je dois appuyer maintenant ?" - les boutons étant des rivets. Je me trompais à tous les coups, provoquant des catastrophes que mon capitaine rattrapait in extremis, mais j'adore toujours me faire appeler "Commandant-toi-qui-sais-tout"... Chaboudo et Escarbille se comportent comme beaucoup d'enfants, en détournant de son usage un objet destiné à une fonction particulière pour le métamorphoser en matière à divertissement. Et le détournement d'objet, c'est un concept en analyse du travail, qui possède un nom scientifique - nom qui m'échappe complètement -, et dont il est bien dommage que Chaboudo et Escarbille ne connaissent pas l'existence (d'autant que ça plairait bien à Chaboudo, féru de vocabulaire précis), parce que ça leur permettrait de clouer le bec aux importuns qui leur disent qu'une chaise, c'est fait pour s'asseoir et rien d'autre (n'importe quoi!!!)



J'ai lu la critique de jamiK, qui voit dans cette histoire une référence au théâtre de l'absurde. Je n'y ai pas du tout pensé en lisant l'album, mais maintenant que j'y réfléchis... Un décor qui ressemble un peu à une scène de théâtre dépouillée, une chaise sortie de nulle part, des noms de personnages qui peuvent rappeler ceux de Vladimir et Estragon... Il y a peut-être bien de ça !



J'ai eu aussi l'impression que Nadine Brun-Cosme et Olivier Tallec, avec le graphisme des personnage de Grand Loup et Petit Loup, ou encore les décors oniriques de Moi devant, avaient pu s'inspirer de cet album. Voici en tout cas un plaidoyer pour laisser l'imagination des enfants s'épanouir, peut-être pas aussi beau que Le jardin invisible, qui est devenu ma référence en la matière, mais qui prend la forme d'un joli album, en sus très utile en ces temps de matérialisme forcené.
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Bon appétit Monsieur Renard

J ai toujours adoré les histoires de Claude Boujon.

En particulier parce que j aime son coup de crayon caractéristique. Ici le renard a une bonne bouille. Ca donne envie de le dessiner.

Monsieur Renard n a plus de viande. Il se décide donc à chasser mais il est ridicule. Comme si ça ne suffisait pas, il se vante auprès de Corbeau d avoir déguster entre autre de l elephant, de l hippopotame. Il compte même manger un lion.

Tout cela pour finir avec des pommes et une bonne compote. Car dans les livres de Claude Bouton les renards ne sont pas futés.

Ces histoires traversent bien le temps et plaisent toujours aux petits.
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Ah ! Les bonnes soupes

Ah les bonnes soupes

Qui, comme Ratatouille, n’a pas eu envie de devenir belle et admirée ? Et comme c’est une sorcière, elle va mitonner différentes soupes pour le réaliser. J’adore cet album que j’ai animé et qui fait rire les enfants. On prend une voix de sorcière, on chante, on montre de drôles de bestioles et sorcières confectionnées. Succès garanti, pas comme cette Ratatouille qui rate son coup.
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Bon appétit ! Monsieur Lapin

« Monsieur Lapin n’aime plus les carottes. » (p. 4) C’est un comble, pour un lapin ! Comment remplir son estomac, désormais ? Monsieur Lapin va jeter un œil dans l’assiette de ses voisins, mais les mouches de la grenouille, les vers de l’oiseau, les larves du poisson ou les bananes du singe ne lui ouvrent pas vraiment l’appétit. Et voilà qu’il rencontre le renard dont le plat favori est… le lapin, évidemment ! Sauve qui peut ! Finalement, s’en tenir aux carottes, ce n’est peut-être pas plus mal, n’est-ce pas Monsieur Lapin ?



J’aime les histoires où le héros va voir si l’herbe est plus verte dans le pré d’à côté. La morale est pratiquement toujours la même, à savoir qu’il est bien inutile de chercher ailleurs ce qu’on a sous le nez. Mais il ne faut pas se laisser berner par la simplicité de cette conclusion : la sobriété heureuse, concept tellement à la mode en ce moment, véhicule tout de même un message plein de sagesse. Et dans le cas de cet album, un message plein d’humour !

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Bon appétit ! Monsieur Lapin

Monsieur Lapin en a assez des carottes et en vient à se demander ce que mangent les autres animaux. Ce qui fait un beau prétexte pour un conte en randonnée. On ne peut pas dire que le menu de la grenouille (des mouches), de l’oiseau (des vers), du poisson (des larves), …, ni même celui du singe, ne l’attire, jusqu’au moment où il rencontre le renard qui a tendance à apprécier le lapin. La conclusion est toute simple et s’impose d’elle-même, mais c’est sympathique et très drôle quand le renard croque un bout de l’oreille du lapin. Dès la première relecture l’enfant peut s’approprier les paroles des personnages, et en plus apprendre quelques notions sur l’alimentation des animaux. Un album très réussi.
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La chaise bleue

Deux animaux se promènent dans un paysage minimaliste, probablement un désert, qui occupe presque toute la page à l’exception de quelques centimètres en haut de la page, en bleu : à l’horizon, le ciel, ou la mer. Au loin ils voient une tache bleue, ils s’approchent, c’est une chaise, bleue. A partir de cette idée de départ très sobre comme le dessin, les deux animaux (assez stylisés, qui ressemblent à un chien et à un croisement de loup et de lapin) jouent, comme le feraient des enfants, à inventer toutes sortes de détournement de l’objet chaise, comme ils le feraient à l’intérieur d’une maison, sans se demander un seul instant ce que peut bien faire cette chaise dans le désert. Jusqu’à ce qu’un camélidé, pour être précis, un dromadaire, finalement plus terre à terre que les deux bestioles … Une jolie charge contre le prosaïsme et le matérialisme, et surtout un bel hommage à l’imagination, au jeu, à la fantaisie créatrice, sans qu’à aucun moment de l’album il ne soit fait mention d’enfants ou d’adultes. Et en plus, et surtout, c’est tendre, cela parle à tous les enfants comme à tous les adultes, car tout le monde a joué un jour de son enfance à détourner un objet du quotidien. Un album très réussi !
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Un beau livre

Lapin Ernest a trouvé et rapporté au terrier un livre. Lapin Victor, son petit frère, n’en a jamais vu et interroge son grand-frère : A quoi peut servir cet objet ? Le grand-frère lui explique tout ce que l’on peut savoir faire grâce aux livres. Un bon moyen de faire découvrir le sens de la lecture avec les moins de cinq ans.

Mais soudain, un renard pointe son museau, et les deux lapins vont utiliser le livre pour se défendre contre lui de manière fort peu conventionnelle. Ce qui montre que la lecture permet de se défendre au sens propre comme au sens figuré.

Efficace, un très bon album pour découvrir l’univers de Claude Boujon, même si ce n’est pas mon album préféré de cet auteur.
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La brouille

Album destiné aux 6-8 ans.

Deux lapins vont tenter de partager un petit coin de terre. Voisins de terriers, ils s'entendent bien mais avec le temps, les maladresses de l'un et le manque d'attention de l'autre font monter la tension. Jusqu'où iront-ils dans leur querelle de voisinage?



Découverte de l'autre, conflits, intolérance, disputes puis réconciliation. Le quotidien des enfants (et celui des adultes!) est évoqué dans cet album. La simplicité de la situation, les décors et les personnages mis en scène mettent en relief le mécanisme de ces fâcheries.

Ce qui est appréciable c'est que, malgré le fait que les deux lapins se réconcilient, les prochaines disputes ne sont pas exclues ("uniquement quand c'est indispensable"). Car l'on peut être amis et se chamailler!



Une histoire qui permet de dédramatiser les conflits et de comprendre que leur origine est souvent futile. Comme le dit l'adage "l'union fait la force" et l'ennemi n'est pas toujours celui que l'on croit.

Les verbes d'énonciation sont nombreux et le vocabulaire choisi est soigné. Je ne suis pas très adepte des illustrations de Claude Boujon mais la réflexion que cet album emmène est vraiment très intéressante.
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La brouille

Dans cet album, le regretté Claude Boujon nous emporte au pays des lapins, deux plus exactement.



Des meilleurs amis du monde ils sont devenus les meilleurs ennemis.

Comment en est on arrivé là ? Que sont ils capables de faire, de dire pour bien le signifier à l'Autre ?



Tout, tout, tout....vous saurez tout sur les origines de cette grosse brouille et ce qu'ils peuvent en faire.



A recommander pour apprendre à vivre ensemble malgré nos divergences.



Album culte.
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La chaise bleue

Le théâtre de l'absurde en version "pour les petits".

Escarbille et Chaboudo, dans le désert, découvrent une chaise :

"C'est une chaise" dit Escarbille

"C'est une chaise bleue" compléta Chaboudo...

Les dessins sont expressifs, mine de plomb et aquarelle un peu grossière. Escarbille et Chaboudo sont deux chiens aux silhouettes comiques, tels des clowns de cirque, et cette histoire est une ode à l'imagination, au ludique, au loufoque, une critique de la pensée prosaïque, matérialiste. Un petit livre qui ne paye pas de mine, chargé de subtilité, de légèreté, et de philosophie.

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Le Crapaud perché

Un tout petit album qui parle d'un crapaud fan de lecture et cracheur trop souvent dérangé dans sa passion par une sorcière désagréable et étourdie.



Avec des dessins simples (Claude Boujon !) mais très expressifs, les enfants découvrent l'univers impitoyable de la sorcellerie, le goût des livres (point fort de cette histoire selon moi) et l'absolue nécessité d'unir ses forces comme ses différences pour progresser et survivre.



A partir de 5 ans.
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Un beau livre

Un jour Ernest, le petit lapin, trouva un livre et l'emporta chez lui. Son petit frère Victor, qui n'en avait jamais vu, lui demanda :

" Un livre, ça sert à quoi? "

" Un livre, ça se lit ", expliqua savamment le grand frère, plus aguerri à la littérature pour lapereaux.



Dans ce livre, on parle de courage, de lapins et de renards.

On y rêve, on y apprend des choses... sur la vie, car il ne faut pas oublier la réalité.

Fuir par l'imaginaire n'est pas une solution, car la vie est partout. Dans l'écrit, et à côté aussi.



Un beau livre est une merveilleuse introduction à LA lecture et au sens qu'on peut lui donner quand on a 5 ans et plus.

Et c'est également une chouette " histoire dans l'histoire".



Vous l'aurez compris, ce livre est INCONTOURNABLE.



Voici LE livre qui m'a fait pénétrer dans l'unique univers du regretté Claude Boujon.

Après la lecture de ses albums toniques et malins, on ne peut plus regarder les lapins et les renards de la même manière.

Les albums de Boujon se servent des lapins et des renards pour dresser un portrait de l'humanité pas piqué des vers !
Lien : http://justelire.fr/un-beau-..
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Bon appétit ! Monsieur Lapin

Un indétrônable de la littérature jeunesse, et on le comprend ! Un lapin tout mignon qui en a marre des carottes, qui part chercher une autre idée de repas, rencontre des animaux différents qui mangent des choses bizarres, déclenchant chez lui un rejet, un final rigolo, en plus efficacement écrit et joliment illustré : comment ne pas devenir incontournable ??
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Bon appétit ! Monsieur Lapin

Un classique de la littérature pour enfants !



Les carottes BEURK ! Monsieur Lapin préfère encore aller voir ce que mangent ses voisins les animaux. Des mouches, des vers, des larves... BEURK BEURK et REBEURK ! Et le renard qu'est ce qu'il peut bien manger... heu les renard, vite fuyons !
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Bon appétit ! Monsieur Lapin

Une petite histoire très drôle sur un lapin qui en a marre des carottes. Il décide d’aller voir ailleurs ce que mangent les autres animaux. En regardant les mouches de la grenouille, la pitance de la baleine ou le plat préféré du renard… finalement les carottes, c’est très bon !

Ma fille a beaucoup aimé ce petit lapin qui n’aime pas ce qu’il doit manger (ce qui est son cas parfois !) Et la fin est amusante, on rigole bien même si ce vilain renard fait son apparition. Un bon moment que nous avons relu plusieurs fois avec ma fille !

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Pauvre Verdurette

Mignon, mignon. A lire auprès d'enfants de 4, 5 ou 6 ans. Ce qui est intéressant dans ces livres pour enfants, c'est le sens caché. Celui pour les adultes.

Mais moi ce que je préfère, ce sont les illustrations.

Quand je lis ce tout mignon livre aux enfants de 5 ans, et que je leur montre les images, ils deviennent tout diserts, et ce livre, ce que j'en espéraiS, est devenu le déclencheur de belles discussions. Et mieux, quand un de ces enfants joyeux s'exprime un peu abruptement, nous lui rappelons avec le livre qu' il peut le dire autrement.

Bonheur, bienfait de la lecture auprès des enfants.

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Bon appétit ! Monsieur Lapin

Un Lapin qui n'aime pas les carottes ! Monsieur Lapin va voir dans l'assiette du voisin pour comparer. C'est servi par un dessin très simple, assez grossier, au pastel gras avec des couleurs gouachées, lumineuses et vives. Un jolie petite histoire, un conte classique de style randonnée par énumération qui se transforme soudain, avec l'arrivée du renard. Drôle, dynamique avec son petit moment de frayeur et une morale toute simple, vraiment chouette à lire aux petits.
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